DE WUHAN À KIEV

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Préambule du nouvel ouvrage de M. Kadiri mis en vente chez LIBINOVA en téléchargement.
Depuis les années 2000, je me suis consacré à l’écriture d’ouvrages où je suis à mon sixième livre que vous lisez. Pour ce qui est de ces dernières années 2020/21/22; Ce fut le « Jamais deux sans trois ; dont « De Wahan à Kiev » où j’ai donc continué mes écrits et ce, malgré ce qui arriva comme graves aléas à l’humanité entière avec principalement la Covid 19 et ses variantes .

Pour cet ouvrage voire récit romancé : Je ferai part , cette fois-ci pour ses besoins de mon présent ouvrage , de la présence trois principaux personnages virtuels Abbes Bouchta ex-facteur ; Hmida El Asakri ex-maquisard , et de Sofiane Toumi , jeune étudiant qui sont bien sûr fictifs et qui, ici me tiennent compagnie dans cet ouvrage. Ce trio vit dans la localité urbaine de Ameurs ; Elle aussi bien sûr, fictive et à forte densité comme l’est virtuellement ce dit principal trio.
Dans les faits, votre modeste serviteur fut à l’instar des millions des citoyens (es) dans le monde , confiné depuis mars 2020 à début 2022 suite à la propagation de Covid 19, une longue période difficilement vécue ici et là.
Toutefois cette épineuse épidémie m’a déjà beaucoup inspirée dès son arrivée chez nous en mars 2000 et m’a vu éditer mon cinquième livre dont la concrétisation dura un an et demi et pouvoir le publier en France. Et me revoilà cette fois-ci, évoquer à la fois la covid 19 sous un autre angle et la récente guerre en Ukraine où je fus très branché et inquiet des répercussions qu’engendre ce douloureux événement qui est venu ébranler notre humanité au niveau de l’Europe avec ses répercussions mondialement ressenties. Tout ceci arriva au moment où nous pensions nous, en être presque tirés des effets de la Covid 19 et de la crise sanitaire qui reste loin d’être derrière nous !
Ainsi donc l’épidémie mondiale de Covid et la guerre en Ukraine constituent la thématique de mon présent ouvrage autour de ce que vit l’humanité, engendrant une grande désolation face aux désastres provoqués, une atmosphère immonde règne depuis et reste ressentie. Alors la paix, déjà un vœu pieux, deviendra-t-elle ? Une parole creuse, un mot insignifiant, devant l’unique objectif de la folie des hommes. Et dans pareil cas, il est à craindre que nul ne trouvera l’épaule dont il a besoin pour pleurer !. Et c’est ce que tout sage humain ne le souhaite pas dont votre modeste serviteur dont le regard est neutre, dois-je d’emblée le mentionner ici.
À cet effet, ce que j’avance ici, est un récit romancé qui se veut juste traitant de ces deux embarrassants grands moments suivis (covid et guerre) , survenus l’un après l’autre et dont je tente d’en faire part de moult ressentis qui demeureront que je le veuille ou pas avoue-je le, parfois teintés probablement de subjectivisme compréhensif. Et c’est normal comme réactions tantôt spontanées , tantôt éparses pour contribuer à leur mémorisation selon mes modestes outils à commencer par le premier épisode relatif à un survol historique sur la Covid-19 qui se doit d’être documenté avec rigueur et en temps réel pour servir de référence et de ressource futures .
Sûre que cette douloureuse période du Covid 19 a certainement des enseignements à tirer pour tous ; pouvoirs publics , peuples , politiciens, scientifiques , médias etc. En somme cette crise de la Covid-19 a agi comme un catalyseur, accélérant les transformations déjà en cours ou on sera tenté de dire que le monde d’après est déjà là !
Franchement mon ouvrage ne prétend nullement aborder toutes les facettes de Covid 19, car il est évident que les spécialistes vont s’interroger et piocher davantage sur ce satané virus. Outre cela, il est fait part dans mon livre comme déjà cité plus haut , d’un autre second moment qu’est la guerre en Ukraine et toutes les craintes et conséquences qui s’affichent depuis février 2022 à ce jour !

Pour cette regrettable guerre à l’Est de l’Europe et sans trop remonter le temps, cela fait presque 15 ans déjà, des dizaines de milliers de morts sont tombés au nom de divers motifs de guerre aussi fallacieux que souvent justifiés par des blessures d’Égos hypertrophiés d’orgueil et d’amour-propre immature qui rendent quasiment fous et irrationnels. Globalement parlant, ce «XX siècle» a fait vaciller l’humanité où on continue de faire des discours, signer des pétitions, écrire des communiqués, procéder à des votes sanctions, etc. ! !
Quelle Folie, quelle supercherie! Où je pense aussi à ces différents décideurs , pouvoirs publics, ces organisations qui doivent sauver le monde de ses turpitudes et ses errances qui ont cru négocier la paix, qui ont cru que l’arme de dissuasion dont ils disposaient, suffirait à effrayer et faire reculer les guerres, jouant aux diplomates et stratèges avertis voulant ignorer cette folle étincelle de l’esprit irrationnel qui est à relever !
Dans les faits, ce 24 février 2022 reste indélébile ,et où la « Une » de la Presse a soudainement changé ; Elle est tout autre par rapport aux années précédentes marquées par la crise sanitaire . Où il nous semblait que notre vie serait désormais rythmée par une épidémie meurtrière et dont on ne verrait jamais la fin ; C’est ce que l’on ne souhaite nullement pas !. Aujourd’hui peu de gens parlent encore du Covid en dehors des spécialistes du milieu médical malgré que dans certains pays, il y a eu recrudescence. Certes moi, j’en reparle ici avec des objectifs relatifs que je me suis fixé à ce livre. Mais désormais un autre calvaire a pris le relais où chaque jour, une image de guerre, de destructions, de carnage , de réfugiés a remplacé la traditionnelle photo des salles de réanimation auxquelles nous avions fini par nous habituer..

Ces nouvelles images sont là pour nous rappeler que la guerre est de nouveau là ; Comme le fut la Covid 19 ; Elle a ses impacts sur tous. On se rappellera ici chez nous que pour la Covid 19 qu’on se croyait loin nos concernés comme populations au vu de notre éloignement de la lointaine ville Chinoise de Wuhan, mais qui a vu ce virus vite se retrouver à nos portes , sur nos continents. Sans doute donc il va falloir s’y habituer comme pour l’épidémie qui l’avait précédée et changer à nouveau nos comportements. En somme, ces deux années de pandémie resteront des moments historiques que nous avions tous traversés seuls. Cela fut dure et aux lourdes et multiples conséquences pour toute l’humanité hélas, ce n’est pas fini, d’autres craintes ont pris le relais à cette cruelle pandémie dont cette guerre en Ukraine. Côté présentation du sommaire de mon présent modeste ouvrage. Il est scindé en deux grandes parties une au Covid et dont la seconde est la guerre en Ukraine.

Par ailleurs, je me dois d’avouer que personnellement , je croyais pouvoir enfin retrouver ma tranquillité et ma concentration sur mes occupations , mes loisirs et projets de vie, etc. à l’instar d’autrui , mais me voilà de nouveau happé par l’actualité brûlante, les titres de presse qui changent d’heure en heure. Comme je n’omettrai pas de signaler que dans mon dernier ouvrage de septembre 2021, écrit sur ma ville, écrit en temps de Covid 19 et ses effets, j’avais laissé une porte ouverte pour raconter une suite sans la vraiment bien cernée jusqu’au moment où je suis tombé sur un appel du professeur émérite de l’université américaine John Hopkins, l’Algérien Elias Zerhouni, autour du Covid 19. Ce fut une des considérations m’ayant poussé à me mettre à l’écrit. En effet notre prof émérite a estimé que l’histoire du Covid-19 doit être « documentée avec rigueur et en temps réel » pour servir de référence et de ressource future aux « experts et preneurs de décisions qui seront amenés à redéfinir leur approche et préparer le système de santé publique à l’avenir ». Comme il est utile de mentionner que le modeste serviteur que je suis , n’a nullement la prétention d’apporter des éléments tous particuliers, mais contribuera à sa manière sous un angle particulier ! parler de cette sinistre période de pandémie , tout en ayant à l’esprit le vœu formulé par Mr Elias Zerhouni qui a déclenché en moi l’envie d’en écrire un ouvrage. Et comme il y a eu l’avènement de la nouvelle sombre période de la guerre en Ukraine, ce fut d’une pierre deux coups. Avec l’historique de l’évolution du virus depuis l’apparition du premier cas et du premier foyer, et aux moyens et mesures mis en œuvre pour y faire face, leur disponibilité à différentes périodes et leur efficacité. Et autres sont grosso modo des étapes abordées via ce récit romancé.

En effet , il y a deux ans, presque jour pour jour, nous ouvrions nos yeux incrédules face à un monde en folie. Un mystérieux virus venait de s’échapper de nulle part et s’abattait sur nous alors que le printemps montrait le bout de son nez chez nous. La nature s’éveillait et notre vie se mettait en retrait. Que revoilà donc de nouveau la guerre et la la considération de l’aborder est incontournable comme je ne veux pas nullement ici faire ici de la couverture médiatique de la guerre en Ukraine. Vu l’ampleur de l’événement et ses enjeux, ce sont mes personnages virtuels de ce récit romancé qui s’en sont chargés d’en parlementions en force que c’est l’humanité qui en pâtit dont les pays impliqués en premier lieu et là, du côté des risques encourus par le déclenchement de cette guerre, personne ne pourra pas dire qu’il ne savait pas. Lorsque ont été déployées les tentacules de l’OTAN jusqu’aux portes de la Russie, les dirigeants occidentaux n’ignoraient pas qu’ils jouaient avec le feu. Ils savaient pertinemment qu’ils prenaient le risque d’un embrasement dont le peuple ukrainien serait la première victime ? Et que l’Europe tout entière pourrait payer les pots cassés et ce fut très perceptible en plus d’autres conséquences mondiales !
Ainsi à la fin de cet avant-propos et concernant ma seconde partie sur la guerre en Ukraine où il est impératif de bien souligner que toutes les guerres restent inacceptables. Ce sont les peuples avec la diversité de leur ethnie, religion ou géographie qui en pâtissent le plus à l’avantage des profiteurs et créateurs de crises. Il ne peut y avoir de la réceptivité pour les uns et de l’insouciance pour les autres. Un bébé ukrainien sent la faim et le froid au même titre que le Palestinien ou le yéménite. C’est ainsi, à travers la vigueur d’une communication parfois virulente, si présente, dévorante, envahissante que l’on tente bien d’expliquer et d’interpréter une guerre alors que ce sont les peuples qui la subissent sans défense ni mot à dire. Que des déceptions et de désespoir permanent en attendant des jours meilleurs. !

Amis (es) lecteurs (es), il est utile de vous dire que votre serviteur qui a toujours tenu à agir en électron libre ne se permet nullement de juger en cet ouvrage et demeure au-dessus des chapelles politiques, restant loin des guerres de clocher là où elles se trouvent où je soulignerai avoir tout fait et bien veillé à avoir et garder un regard neutre et ne transcrire que des ressentis du modeste citoyen vivant au sein petit peuple tentant à vous livrer un livre autour de ces funestes périodes (covid 19 et guerre ) et de ne point s’être laissé dupé par qui que soit. Moi qui ne suis avant tout qu’un des citoyens du monde concerné comme tous par ses effets et de guerre .

Je regrette naturellement ce qui passe en Ukraine ! ou a-t-on tous suivi que dès le 24 février 2022 que tout “un bon pan de l’humanité a été ébranlé en Europe par cette guerre aux conséquences multiples ainsi que les inévitables et innombrables dégâts humains et matériels et autres conséquences multiples ! Je ne cacherai pas de dire que j’ai en tête les visages de citoyens ukrainiens (es) tourmentés (es) , embarrassés (es) dès fins février 2022 pur n’en rester qu’à ces six mois de guerre. J’ai en tête le visage de leurs enfants et de leurs petits-enfants qui sont dans ce chaudron guerrier. Je plains les Ukrainiens qui meurent sous les bombes, tout comme les jeunes soldats russes engagés dans cette guerre fratricide. Je plains aussi le triste sort des peuples en général qui souffrent et cela m’importe davantage ! Et de tous ces atrocités d’où qu’elles sont commises, c’est l’humanité qui en subie, souffre et en ressent les affres à l’image de ce grand conflit Russie/Occident : le plus endommageant depuis la guerre froide vu qu’il a mise en péril des millions de citoyens (es) dans le monde. Et comme le disait Paul Valéry, « La guerre, c’est le massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent et ne se massacrent pas ». « Je cultive le silence et je suspends la compulsion d’interpréter ou de qualifier. » comme l’avait si bien dit Jonathan Lehmann.
Par KADIRI MOHAMED

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