FACEBOOK, C’EST GÉNIAL!!

C’est un peu comme cela que je voyais Facebook.Une combinaison sympathiquement morbide de voyeurisme et d’exhibitionnisme. À partir de là, j’essaie de me faire des amis en dehors de Facebook tout en appliquant les mêmes principes.
Tous les jours je descends dans la rue et je prends beaucoup de temps à expliquer à tous les passants que je croise :
– Ce que j’ai mangé,
– Comment je me sens,
– Ce que j’aime et ce que j’aime moins, ou ce que je n’aime pas ou plus…
– Ce que j’aimerai faire,
– Ce que j’ai fais la veille,
– Ce que je suis en train de faire,
– Ce que je vais faire plus tard,
– Que je suis bien allé au cabinet, tout ça, ce matin, l’avant veille etc.…
Le tout avec avec le moindre petit détail: les sentiments, les formes, les couleurs, les odeurs…
Enfin, à peu près tout ce qu’on fait sur Facebook, sans et hors de Facebook. Et ça marche !!
Résultat : j’ai maintenant trois personnes qui ne me lâchent pas d’une semelle.Deux policiers et un psychiatre !!

Facebook: polémique d’ampleur autour de l’utilisation de données personnelles
AFP le mardi 20/03/2018 à 03:31, mis à jour à 11:12

Facebook s’est retrouvé lundi au centre d’une polémique –qui a plombé son cours de Bourse– autour de l’utilisation indue des données personnelles de millions d’utilisateurs par une société liée à la campagne de Donald Trump, un scandale qui touche au cœur de son modèle économique.

Les accusations, niées par l’entreprise britannique en question, Cambridge Analytica (CA), ont fait perdre à l’action Facebook près de 6,8% à Wall Street et ont déclenché des promesses d’enquêtes tous azimuts des deux côtés de l’Atlantique.

Selon plusieurs médias, dont The New York Times et le journal britannique The Observer, CA, spécialisée dans la communication stratégique, a récupéré sans leur consentement les données de 50 millions d’utilisateurs pour élaborer un logiciel permettant de prédire et d’influencer le vote des électeurs.

Ces données auraient été récupérées via une application de tests psychologiques téléchargée par 270.000 utilisateurs du réseau social et développée notamment par le psychologue russe Aleksandr Kogan, qui, selon Facebook, les a ensuite fournies indûment à CA.

Facebook a précisé que l’application avait aussi pu avoir accès aux données des “amis” des utilisateurs ayant téléchargé l’application.
CA, qui a travaillé pour la campagne du républicain Donald Trump en 2016, a indiqué que “ces données Facebook n’ont pas été utilisées par Cambridge Analytica dans le cadre des services fournis à la campagne présidentielle de Donald Trump” et aucune “publicité ciblée” n’a été réalisée “pour ce client”.

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