C’est ce que titre à sa une le MEM (Middle East Monitor) dans sa livraison du 16 novembre citant le journal Ennahar.
Il ajoute que “le ministre Le ministère algérien de la Santé a interdit la vente d’un analgésique mortel qui est produit en Israël dans un certain nombre de régions du pays, a rapporté le journal local Annahar.”
“Dans un communiqué, le directeur de la santé dans la wilaya de Mila a déclaré que les instructions ont été reçus pour que la vente d’un type de paracétamol qui est produit en Israël devrait être arrêté dans un certain nombre de wilaya en Algérie.”
“Le communiqué joute que la tablette pourrait être mortelle. Il a demandé au directeur de la santé de prendre des mesures pour s’assurer que toutes les pharmacies et les fourniseurs des preoduits médicales prennent les mesures nécessaires pour empêcher la vente de ce médicament.”

Traduit par A. Jabli

P.S
El watan de ce jour (18/11) signale “qu’une polémique s’est bien et bel installée cette semaine suite à une note du wali de Mila qui informait le Directeur de la santé (DSP), l’Ordre des pharmaciens et le Syndicat aussi de l’existence du médicament «Paracétamol» en provenance d’Israël. Le produit, selon la note, contiendrait «du fil métallique potentiellement mortel». «La note a fait le tour des forums professionnels et plus…Comment le produit a été introduit ? Cela doit être certainement un médicament introduit frauduleusement en Algérie et pas plus.” (Lire la suite de cet article ICI)