Sidi bel abbes : Visite du ministre de l’enseignement supérieur

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Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a indiqué samedi à Sidi Bel-Abbès que la place qu’occupe l’université algérienne reflète les efforts de l’Etat pour le développement de ce secteur.

Animant une conférence de presse lors de sa visite dans la wilaya,  M. Hadjar a souligné que sur 20 universités du Maghreb, 12 universités algériennes occupent les premières places, ce qui représente un indice positif du progrès constaté dans ce secteur.

L’université algérienne adopte des méthodes modernes pour se faire connaître au niveau mondial et maîtrise les mécanismes qui mettent en exergue son activité, ce qui l’améliore d’une année à l’autre.

L’Etat accorde une grande importance au secteur et soutient ses projets en vue de développer l’université et la recherche scientifique, a ajouté le ministre indiquant qu’un budget de plus de 4 % par rapport à l’année dernière a été consacré au secteur de l’enseignement supérieur, en vue de soutenir ses projets.

Il a cité, dans ce sens, les structures universitaires en cours de réalisation ou en cours et en voie de lancement à travers le territoire national.

Tahar Hadjar a salué l’université Djillali Liabès de Sidi Bel-Abbès qu’il considère comme “pilote” disposant de tous les moyens et structures homogènes et complémentaires lui ayant permis de réaliser de bons résultats en enseignement scientifique, d’occuper la première place pour la deuxième fois consécutive en matière de recherche scientifique au niveau national et Maghrebin et de se frayer une bonne place au classement arabe et mondial.

Cet établissement d’enseignement supérieur occupe la 27ème place au niveau africain, la 1.725ème sur 27.000 universités dans le monde, ce qui renseigne sur les grands efforts déployés par ses encadreurs (enseignants, chercheurs).

Au sujet de la recherche scientifique, le ministre a fait savoir qu’il existe de larges programmes nationaux dans divers domaines, à l’instar de l’agriculture, la santé, l’industrie, l’économie où le ministère recense un total de 34 PNR s’articulant autour de l’ouverture du champ pour sortir de la théorie vers la pratique et aider les étudiants dans leurs recherches scientifiques au sein des entreprises.

A une question concernant la relance de l’activité sportive universitaire, M. Hadjar a annoncé l’organisation d’un grand regroupement, en mai prochain à Oran, qui sera ponctué par le coup d’envoi de championnats universitaires dans différentes disciplines sportives et activités culturelles, en plus de la tenue de rencontres entre clubs universitaires. Des prix seront décernés aux universités qui se distinguent par leurs innovations, en vue d’inciter les étudiants à la créativité, la production et l’échange entre universités dans l’Est, l’Ouest, Centre et le Sud du pays.

Par ailleurs, le ministre a estimé que l’université qui est “politisée par nature” est une tribune de dialogue de manière scientifique et civilisée.

Il en veut pour preuve la présence de l’université dans le débat sur le projet de révision de la Constitution adopté, faisant remarquer que la plupart des opinions émanaient d’enseignants plus que de politiciens.

Le ministre a inspecté, lors de sa visite dans la wilaya de Sidi Bel-Abbès, plusieurs projets en cours de réalisation dont ceux d’une cité universitaire, d’une bibliothèque centrale, d’une résidence, saluant la qualité des structures dotées de commodités, notamment des annexes communales, postales et d’assurance sociale.

Au terme de sa visite, il a annoncé qu’au titre de la prochaine rentrée universitaire, une école supérieure nationale d’agriculture sera ouverte à l’université de Sidi Bel-Abbès sur le site même de l’actuel rectorat , ( ex:ITMA), partant des atouts et potentialités agricoles importantes de la wilaya.

3 Replies to “Sidi bel abbes : Visite du ministre de l’enseignement supérieur”

  1. Salama Alaikoum

    Je complète le commentaire de monsieur Yahia.s que je trouve logique dans la forme et le fond.L’UDL de Sidi Bel Abbès est classée première en Algérie et au niveau du Maghreb.Sur quels critères s’est basé ce site pour déclarer « championne » maghrébine notre université ?Une question qui taraude jusqu’à ce jour les universités maghrébines, notamment celles de Rabat, Casablanca, Alger Bab Ezouar, Constantine, Sétif, Batna, Blida, Ecole supérieure d’Informatique (ESI) de Oued Smar…
    Au cours d’une discussion avec un enseignant de l’UDL de Sidi Bel Abbès, il m’avoua que le classement est vide dans son appréciation, car une université qui est classée première à l’échelle Maghrébine, veut dire qu’elle accueille des étudiants doctorants dans ses laboratoires, or à ce jour notre université n’a reçu aucune demande pour la délivrance d’une lettre d’accueil. Or le contraire se fait annuellement, c’est à dire que nos doctorants en l’absence de laboratoires de recherche, ils sont accueillis au niveau des universités Marocaines et Tunisiennes. Les laboratoires de recherche dont se vante l’UDL, ils sont nombreux sur le papier, mais inexistants sur le terrain. La preuve, le dernier scandale des doctorants de bilogie de Sidi Bel Abbès qui se déplacent jusqu’à Mascara pour leurs travaux de recherche.L’université de Sidi Bel Abbès a vécu des scandales liés au favoritisme (trafic de notes au niveau de l’institut des sciences médicales) et aux plagiats depuis 2013. Dans ce sens, je laisse à votre juste appréciation un extrait de la lettre d’un enseignant universitaire publiée à travers les colonnes de BAI le 27 ma 2013 sous le titre: Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie: Les Langues commencent à se délier …. : « Alors comment a toujours fonctionné la Faculté des Sciences (UDL)?? En réalité, ce sont les comités et les conseils scientifiques qui sont responsables de ces actes répréhensibles, ce sont les premiers responsables à mettre en cause ; car c’est à ce niveau que sont traités tous les soi-disant dossiers scientifiques. Seulement rien ne se fait dans la règle et les principes, mais plutôt selon le client. Certains membres de comité ou de conseil profitent de toutes les occasions pour se procurer un avantage sans hésiter à transgresser les règles de la morale, et ainsi beaucoup de dossiers non recevables sont acceptés.
    De cette manière, nous avons vu :
    Des doctorants soutenir avec des articles publiés dans des guides, des cahiers, sans aucune concordance avec le thème de la thèse et devant des jurys non réglementaires…
    C’est la relation d’entente privilégiée, que je qualifierai d’entente tacite et coupable …
    Des responsables de Post-graduation (Magister) classer leur sœur ou leur fille en première position ce qui est illégal et refusé dans d’autre Facultés de l’UDL…
    Une étudiante ajournée au Magister après délibération et PV établi, puis réadmise avec falsification du Procès Verbal…
    Des recrutements anarchiques…
    Des Procès Verbaux de Comité ou de Conseil, remodelés à leur guise (preuves disponibles)…
    Des stages distribués sans aucun discernement…
    Des budgets de pédagogie et de recherche gaspillés inconsidérément…
    ET J’EN PASSE……..L’UNIVERSITÉ VA MAL….. CAR ELLE EST MAL…GÉRÉE……..
    Après l’affaire du plagiat des chimistes, épisode 1, voilà que la manière inconvenante se répète à la Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie, épisode 2.
    Ces fautes de conduites (volontaires ou non) portent tort à l’image de la science et de l’université dans le grand public. Cette malhonnêteté scientifique est en augmentation, la compétition en est-elle la cause ??? Alors que le scientifique devrait être au service du VRAI et faire preuve de DROITURE.
    Il faut signaler que la fraude dans ce cas est un plagiat de soi-même : LE SELF-PLAGIARISM : ‘‘publication dans un second journal, sous un titre différent et avec des retouches mineurs, d’un article original, déjà publié dans un premier journal’’.
    En effet, l’auteure a soutenu son habilitation en 2007, avec « Evaluation de l’état anthropométrique et nutritionnel d’enfants âgés de 0 à 3 ans », qui est loin d’être classée telle une publication ; alors que d’autres doctorants sont bloqués depuis des années! (Ci-joint les modalités de soutenance de thèse ou habilitation). Il faut dire que cette dame, considérée comme cas social par la présidente du CS, était la protégée de l’ex-doyen impliqué dans l’affaire de plagiat.
    Tout un chacun est un cas social, seulement nous n’avons pas les mêmes considérations !
    À vrai dire, c’est un groupe, fondé sur des traits et des faits communs, qui réunit des genres et dont la réunion forme un ordre : une systématique ! Même qu’on publie en famille, la mère, la fille et le neveu (voir la suite Antropo 28).
    En 2011, elle publie Mesures anthropométriques chez une population d’enfants âgés de 0 à 3 ans à Sidi Bel Abbès (Ouest Algérien) dans http://www.didac.ehu.es/antropo/Volumen24.htm Antropo.
    Le résumé ou Abstract est le même pour les deux communications précitées, alors que les instructions de publication recommandent que l’article soit original.
    Les preuves de la fraude sont jointes au courrier.
    C’est un manquement à l’éthique de la Science.
    La fraude est inexcusable, elle appelle la sanction !
    L’université sombre dans la décadence.
    Il faut relever le nombre d’affaires non élucidées à l’UDL, c’est une aberration pour les responsables administratifs et les enseignants de cette institution.
    L’existence de l’impunité, sous-entend absence de règles ou de normes, peut entraîner des troubles graves sur le plan comportemental et favoriser la fraude et les imposteurs.Quand on ne dénonce pas, on est complice. »
    Aussi, je joins un commentaire d’un doctorant : « doctorant
    3 mai 2013 – 23 h 28 min je suis un des auteurs d’une publication qui se trouve dans le message de monsieur belarbi. je vous avoue que j’ai honte de voir mon nom à coté d’un fraudeur. il ne m’a jamais aidé et je ne comprends pas pourquoi mon encadreur a mis le nom de monsieur belarbi. je suis Sali . »
    Le département de chimie a connu un scandale de plagiat qui a ébranlé l’institution, et ce grâce à la perspicacité d’une enseignante de rang magistral qui a dévoilé la fraude avec le concours d’une enseignante d’une université Marocaine.Le dernier classement académique des 100 meilleures universités en Afique à travers le site 4Internanational Collèges &Universities est établi dans: 2016 University Web Rankings: Africa, où l’université de Sidi Bel Abbès ne figure pas. La première université Algérienne est celle de Tlemcen Aboubakr Belkaïd.

    1. cher zanklo
      je ne suis pas l’avocat du diable mais là s’acharcher contre une enseignante dans un panier de serpents là moi je suis sincerement contre..la dame en question zehzeh n’etait que enseignantes comme tous le monde, tout le monde a plagié tout le monde n’a pas publié dans les revues americaines et tout le monde n’a pas eu son diplôme de harvard..lorsque tu vois un enseignants ayant obtenu son ingeniorat a l’age de 40 ans et redevenue prof avec un labo de recherche zehzeh n’a presque rien fait car au moins elle a eu son bac a l’age de 18 ans et sa licence d’oran a l’age sans retards de 23 ans..si vous voulez discuter science là oui je suis d’accords avec vous et si vous consultez ce lien vous allez découvrir aussi que malheureusement nos majorités de enseignants font des travaux en dehors de leurs compétence on saute facilement du coq a l’ane sans avoir aucune retenue ça n’existe malheureusement qu’a bel abbes et en algerie..tu vois des chercheurs faire tout de la biochimie de la botaniques de la biologie animale vers la biologie médical de la médecine vétérinaire vers la médecine humaine . et les gens font des publications en dehors de leurs domaine sans aucune gêne..donc il ya un problème quelques part..donc notre colegue de biologie mme zehezeh est victime d’une compagne elle aprtianait au coufin plein de serpents..soit vous ouvrez le coufin sur tout le monde soit le fermer a jamais..reste le probléme des nouveaux doctorants je dis seulemnt une chose de chahadas quelqu’un qui a fraudé n’a pas le droit d’exiger a un nouveau doctieant de publier dans des revues soit disant international
      ..seul l’enseignant qui obtenu son diplôme de harvards et a publié dans les revues americaines a le droit d’exiger ce parcours..toute publication faire par un algérien est valable car les juges n’ont aucune base morale d’exiger une choses qui eux même ne l’avaient pas remplie dans le passé présent..il faut etre blanc ou noir le gris c’est une qualité de fourbes..
      sinon Mme zehzeh je répétè elle appartient au même couffin
      et détrompez vous les enseignants droits et honnêtes sont des milliers a bel abbes

  2. L’université de Sidi Bel Abbès , il n’ y a que le nom du défunt chercheur Djillali Liabès qui est valable. Selon la déclaration officielle député de Ain Defla au niveau de l’hémicycle, le ministre n’est pas titulaire de baccalauréat . Il a rejoins l’université, lui enseignant de l’éducation nationale grâce à son frère, membre du bureau politique du FLN et actuel ambassadeur. Le classement réalisé par le site espagnol webometric, n’est pas crédible.Seul le classement académique réalisé par .shanghairanking (ARWU). Dans ce classement, les institutions sont classées selon six critères, comme le nombre de prix Nobel et médailles Fields, le nombre de chercheurs les plus cités dans leur discipline, le nombre de publications dans les revues scientifiques Nature et Science, ….De loin plus sérieux que le douteux webométrics. Un ministre qui vient en visite officielle pendant un week-end, signifie le manque de sérieux avec lequel l’université est gérée. Enfin, les universités de Rabat, Tunis, Alger Houari Boumédiène, doivent beaucoup apprendre de Sidi Bel Abbès hhhhhhhhhh. Allah Yestour.

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