Une famille habite dans un vieux « haouch », qui menace d’effondrement  à la cité Gambetta

Une famille habite dans un vieux « haouch », qui menace d’effondrement  à la cité Gambetta

Par K .Benkhelouf

Occupant depuis plus de 20 ans,  un vieux « haouch » privé au N05 de la rue Kadi Belkadi dans le mythique quartier de Gambetta, qu’il partage  avec 02 autres locataires, la famille Nelnaaja. occupe une pièce au plafond  qui menace d’effondrement,  avec 03 de leurs enfants. Ce plafond, s’est écroulé plusieurs fois et à maintes fois a été colmaté avec un provisoire qui dure, qui sans cesse cause de la panique.  La pièce qui sert de toit et de refuge à cette pauvre famille, menace de s’écrouler, parceque affaiblie notamment par les années et les intempéries dont les fortes précipitations de cette saison, dans la totale insouciance du propriétaire qui réclament sans cesse le départ des locataires.

A chaque fois, qu’une partie du toit menaçait de péril, le chef de famille, se rendait sur le champ auprès de l’autorité compétente, pour exposer la gravité et à chaque fois, les mêmes réponses  étaient données, sans aucune suite, alors que la famille à formulée  une demande avec dossier, demeurée infructueuse en 2002. Aussi bien les responsables de l’APC, que ceux de la protection civile, qui étaient chargés de constater et évaluer le danger n’ont pas écartés, le fait que cette maison est devenu dangereuse, au point ou ils établissaient un PV de péril imminent d’effondrement du toit et de fissuration des murs.

La mère nous dira que « depuis qu’il y a eu l’affaissement du plafond de leur chambre, à la suite d’intenses averses, tout le monde dort à demi éveillé, parceque nul n’écarte que le péril est à redouter. La mère est asthmatique, le père est hypertendu et les 03 enfants dont le plus âgé de 17 ans dorment avec leur parents Aussi, habiter, péniblement, dans un lieu ou les nuisances de la construction sont vétustes et permanentes,  souffrant de problèmes d’infiltrations d’eau, à cause de l’irresponsabilité d’un propriétaire, qui tout en n’assurant aucune réparation est insouciant des conséquences sécuritaires des familles qui y vivent. Car, pour lui, l’état de dégradation, les fera fuir un jour ou l’autre. Que dire, alors ? Si ce n’est que le danger est patent et que cette famille, comme beaucoup d’autre ont déposé un dossier en 2002.