Université Djilali Liabes : La bureaucratie  un handicap à la formation médicale continue.

 

 

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Le 09 mai 2015, s’est déroulée la 13é journée de formation médicale continue du conseil régional de l’ordre des médecins dentistes, région de Tlemcen. Le professeur Salah Mars Razika du département de médecine dentaire de Constantine et ex chef de service de pathologie bucco-dentaire du CHU de Annaba a donné une conférence destinée aux praticiens de santé publique, praticiens de libre pratique et aux étudiants en fin de cursus au niveau de la faculté de médecine de Tlemcen. Initialement, il était prévu sur  décision du conseil de tenir la même conférence au niveau du département de médecine dentaire de Sidi Bel Abbés le 10 mai en invitant le même parterre. Aussi, il était prévu le 25 mai l’organisation de la 14é journée avec le professeur Sid Rachid du département de médecine dentaire d’Annaba et chef de service d’odontostomatologie du CHU de Annaba au niveau du département de médecine dentaire de Sidi Bel Abbés. Il a été jugé utile et nécessaire de faire profiter les étudiants des deux départements des facultés de médecine de Tlemcen et Sidi Bel Abbés.  Malheureusement, il a été appris de bonne source au sein du milieu estudiantin, que les conférences programmées à Sidi Bel Abbés au profit des étudiants et des praticiens en exercice ont été annulées. L’université de Tlemcen a répondu favorablement. Deux éminents professeurs des CHU de Constantine et de Annaba, malgré leur agenda ont répondu favorablement pour  se déplacer et ce dans le seul intérêt de la mise à niveau des connaissances. Dans ce sens, l’ordre a saisi officiellement les deux universités.   D’emblée,  des contacts ont été pris  avec le président régional de l’institution ordinale et vice président du conseil national pour donner des éclaircissements  sur la décision de l’annulation de cette rencontre scientifique de haut niveau qui devait être animée par deux professeurs de rangs magistraux et chefs de service hospitalo-universitaires. A Sidi Bel abbés, une fois la demande  reçue au niveau du rectorat, celle ci fut été transmise  à la faculté de médecine. Une semaine après, et suite à un silence de cathédrale, des démarches furent entreprises  auprès de la faculté de médecine pour s’enquérir de la suite réservée à la demande de tenue de la dite conférence .Le courrier transmis par le recteur se trouvait toujours sur le bureau du doyen, car le vice-doyen n’était pas du tout au courant. 24 heures après, des contacts ont été entreprises au niveau du rectorat. Il y a une discussion avec monsieur le recteur. Qui a assuré que le courrier a été transmis à la faculté de médecine et qu’il fallait prendre contact avec le doyen.  Il y eut par la suite,  une discussion  téléphonique avec le vice doyen qui  annonça sans aucune forme de procès que le doyen n’a pas apprécié le fait de s’être adressé directement au   recteur, et a demandé  de reformuler le courrier en s’adressant au doyen afin de finaliser les préparatifs. Il est à préciser que la demande en question a été lu par le recteur et transmis à la faculté de médecine. Finalement suite à cette démarche toute bureaucratique, l’abstention de reformuler la demande selon les humeurs du moment et au détriment d’un apport pédagogique souhaité. L’acquisition des connaissances dépasse les futilités d’ordre administratif. L’action de l’ordre des médecins  s’inscrit dans le seul souci d’apporter un plus à la formation des étudiants de la faculté de Médecine Dentaire de Sidi Bel Abbés qui souffrent sur le plan pédagogique et matériel, pour ne pas évoquer d’autres aspects liés aux conditions de prise en charge des patients. Le conseil régional  s’ouvre aux institutions qui avancent dans le seul souci d’instaurer le climat serein qui avantage en parallèle le comblement du déficit scientifique. Dans ce sens, il est du devoir du conseil de l’ordre de soutenir les étudiants dans leurs efforts d’apprentissage. La déontologie médicale précise que le médecin dentiste est au service de l’individu et de la santé publique. Il exerce sa mission dans le respect de la vie et de la personne humaine. Donc, il est clair que l’un des rôles de l’institution en question est de s’inquiéter de la formation du médecin dentiste. Il y a lieu d’etre vigilants. Au même titre que leurs aînés qui sont en pratique, les étudiants en médecine dentaire de la faculté de médecine de Tlemcen, bénéficieront de la venue des deux conférenciers de rangs magistraux.» Une situation à méditer en cette journée du 19 mai , à haute valeur symbolique.

22 thoughts on “Université Djilali Liabes : La bureaucratie  un handicap à la formation médicale continue.

  1. @la cygogne
    Tout le monde avait réagit devant cette deferlente rué vers les titres et diplome sans aucune limite. Le probléme du plagiat et les differentes forme de trafique sont apprue lorsque le legislateurs commence a accorder des salaires par la justification d’une pieces, apporte moi cette piece et viens prendre cette augmentation..Mais si l’enseigants redevient automatiquement de grade proffesseur d’université qui va plagier? Personne..aux etats unis les choses sont simple, tu te presente avec tes qualifications meme pas un diplome, si le teste est bon, vous negociez le salaire, on vous accorde le poste de repetiteur et ça s’arrete là, t’as pas le droit de sieger dans les differents conseils qui seront reservé a une élite bien établie par leurs traveaux, leurs livres, leurs reflexion leur engagement social et politique etc
    En algerie tout es mélanger a cause des salaires. En pratique tu as le droit de prendre le salaire d’un prof mais pas le statut d’un prof…
    Et si on veut parler franc les titres sont délivrés par le ministére de la justice. Pour obtenir le titres de Docteur dans le domaine médical ou Proffesseur dans le domaine de l’enseignement, ou Ingenieur dans le domaine technique et technologique, on doit passer par le ministére de la justice. Apres l’examin du dossier et une enquete aprofondie des temoignages des proches, le milieu familiale , et surtout la production d’un livret qui resume ses visions sociopolitiques, la justice va decider d’octroyer ou non le titre.
    Le grade non, c’est une operation interne, qui gere la carriere du travailleurs..comme l’armé tu passe d’un grade a un autre automatiquement…
    Voila pourquoi il ya des dérives parceque si la justice accorde les titres, et si par malheur un medecin accroche une pancarte devant son cabinet en posant le mot Docteur ou Proffesseur devant son nom, il sera poursuivie en justice, c’est un délit tres grave.
    En atendant le titre tu ne peux inscrire que le nom et la fonction Salim medecin generaliste, kaddour enseignant au secondaire, ..etc
    En resumé un lMdecin ne peut pas osculter une femme en privé il faut etre deux, un Docteur si.
    Un maitre de conference ne pas le droit de corriger des copie un proffesseur si

    Donc le probléme des universités est un probléme de brade pas de titre..tout le monde cherche l’argent..alors pourquoi continuer dans cette hypocrisie..il faut le dire point c’est tout, ça ira beaucoup mieux et plus vite

  2. @yahya
    Concernant le probléme du plagiat j’ai vu la petite video de la tv echourouk..je pense que Mr Aourag ne diserne pas entre le secteur fondamental et le secteur apliqué dans le systeme dite liberal. Je crois comme la plus part de nos universitaires formé dans l’ecole de la gauche ou socialiste, il y a confusion dans les conceptes. Dans le domaine des sciences dans le clan des libereaux les regles sont claires. Tu as le choix entre le secteur fondamentale ou le secteur appliqué. Si tu veux faire de l’argent qui est interdit dans l’ideologie socialiste tu ne fais pas une publication mais tu dépose un brevet. Si tu veux desister de tes droits tu as le choix entre publier ou ne pas publier. En france il ya ce qu’on appelle les publications non apparentes, ce sont des publications qui renferment quelques donnés jugé prématuré a leurs publications, soit l’auteur ne sait pas leurs portés soit il ne sait pas leur valeurs. Mais dans la comptabilité le chercheur n’est pas pénalisé on lui atribut la note d’une publication non apparentes…mais c’est rare ce genre de publication.
    Dans le secteur du fondamentale que nous socialiste ignorent c’est que dans les pays developpé les grosse sociétés offrent des problématiques
    A resourdre en offrant un budget ”quiconque prendra un probléme aura droit a un soutient financier a condtion qu’il publie ses resultats”
    Tous les pays peuvent concourir pour se partager la tache,t’a pas besoin de faire du plagiat ou faire du vol car le probléme est presque insoluble..parceque si la société voit que le probléme aura une solition dans les 20 ans elle ne le posera pas au publique. Donc si quelqu’un fait un copie collé dans ce domaine il est considéré comme ”voleur et le budget lui sera retiré avec tous les titres et grades qui lui ont été conféré dans ce cadre”.si ce vol etait fait dans un institut de recherche ce n’est pas grave.
    Mais si le vol a été comis dans une université c’est tres grave, car le vol va permetre a l’individu d’acquerir un grade, ce grade va le permetre de sieger dans les conseils et ensuite porter des jugements..ou participer a l’elaboration d’un plan de developements..imaginez un peu les consequences sur les etudiants..donc dans le systeme liberal t’as 2 choix ou le brevet ou la publi dans les deux cas tu dois demander autorisation a la hierarchi
    Si le ministre de la justice et celui de la defense ne trouve pas croisement d’interet ou conflit d’interet tu peux publier dans le cas contraire t’a le droit de demander des reparations …a l’université le plagiat et l’invention des resultats sont tres tres grave…c’est pourquoi il faut arreter la recherche dans les universités et les éloignés des étudiants..le chercheur sera d’une maniére ou d’une autre contaminé. Un maitre assistant saint mieux que mille prof contaminés…la mission de l’enseignant a l’université c’est claire ”former des gens” point c’est tout..la seule recherche toléré est souhaité sera dans le domaine des sciences pédagogique qui ameliore et developpe les outils des formateurs…

    1. Si Bouterfas,

      Votre commentaire est explicite dans son aspect philosophique que dans le concret. Grave, lorsque vous lisez le commentaire de Mouley(vraisemblablement un responsable à l’université UDL/SBA) dans lequel il indique le “classement” de l’UDL à l’échelle nationale, régionale et internationale pour vanter l’effort scientifique selon un site fictif le webométrics. En parallèle, un ex recteur de cette université , directeur général actuellement de la recherche scientifique au niveau du MESR qui explique gaiement le plagiat selon sa propre définition qui considère légale et autorisée.Aujourd’hui, nous saisissons la culture du plagiat à l’UDL instaurée par les responsables.Heureusement qu’il existe des enseignants qui se sont révoltés contre ce type d’acquisition scientifique par le plagiat. L’affaire du département de chimie et autres ont fait apparaître à la lumière du jour beaucoup de scandales à SBA. La confirmation est annoncée publiquement par l’ex recteur.Grave encore, c’est de constater en plus du plagiat, des responsables qui avantagent leurs progénitures à travers des examens ( concours du résidanat en médecine)et des postes de travail au sein même de l’université en leur octroyant des positions avantageuses. Le transfert d’un département à un autre département dans la même faculté pour bénéficier à son fils un poste de doctorant. Je pense que Mouley a des choses à dire, s’il ale courage de ses mots. Y’en a marre, que le ministère se pense sérieusement sur l’UDL de SBA. Quant au Webométrics où la mesure de la “longueur” scientifique est basée sur la quantité des travaux non contrôlés de point de vue la qualité, je leur dit que l’Algérie en football est classée Vingtième à l’échelle mondiale avec un championnat ridicule, et unique au monde dans sa médiocrité. Les critères de la FIFA ressemblent à ceux de biométrics.Eh bien, monsieur Mouley, l’UDL de SBA est dans le même contexte à l’échelle maghrébine.

  3. @abbassi
    Ce n’est pas un probléme de bureaucratie, c’est un probleme de niveau,regarde le site de medecine, et le texte du mot du doyen incomprehensif et plein de fautes,
    Ce qui est decevant le probléme concerne la fac de medecine ou sont les concernés pour parler et reagir sur le théme de la chrirugie dentaire?
    Ils ne savent pas écrire un comentaire? Ou quoi?
    Apprement le rectorat a fait son travail administratif, ”transmetre l’info” il se peut qu’au niveau de la fac de medecine comme partout ailleur y’a la guerre entre medecin et churdent entre churdent et pharmacie, entre Publique et Privé…au fond il n’ ya en algerie qu’un probleme de jalousie.et souvent pour des fitulité, les gens ne se controle pas devant 1000 dinars environ 7 euro . Pour 7 euro il peut bloquer toute une conference parceque l’autre va prendre 7 euro de benefice..il faut que l’etat reflechisse de distribuer 7 euro pour tout le monde avant de lancer une conference..il prend les 7 euro et apres lui le deluge la tenue de la conference ne le concerne ni de pres ni de loin..il vient a midi s’il y’a une collation, il mange sur place et enroule le reste du gateau et de la viande dans le papier serviette pour l’emmener avec lui…dans la boite a gans de sa nouvelle ibiza, avec la chaleur la ibiza deviendra parfumé a l’odeur de la viande bel marka au kamoune et rass el hanoute
    Mizirya…..esperant qu’un churdent va reagir ou un medecin s’ils savent écrire bien sur …sinon vive ibiza au rass el hanout…lol

  4. salama alaykoum

    hakika mora. nous n’avons pas le moyen pour étudié normalement. les fauteuils en panne. les tp sont fait par les chirurgien dentistes de centres de santé qui nont pas dlexpériance pour le soin. en 5é année, les étudiants ne fait pas d’extraction et de soin, c rare. les profeseurs absent le soir.

    1. Ouf hamdoulah merci etudiant2012

      C’est bien pour une fois un etudiant s’exprime..ma3liche meme si tu melange darija avec l’arabe avec le français l’esentiel il faut participer au debats qui concerne la faculté de medecine
      @abbassia
      Si les riches en france plaçaient leurs enfants dans l’ecole française tu crois qu’ils accepteraient une marocaine comme ministre sur leurs enfants? C’est claire le vrai savoir est ailleurs..
      Il ne faut pas peut etre oser changer l’université mais placer les choses dans leurs cadre économiques c’est mieux car l’etudiant et les parents des etudiants auront une meilleurs visibilité
      En medecine il ya des normes connue depuis des milliers d’année il faut
      1 medecin et un chirugeine et pharmacien pour un village..deux pharmaciens ou deux medecins ne peuvent pas vivre par manque de patients. Donc 1 medecin poir 5000 habitants la le medecin peut vivre bien avec un chiffre d’affaires net par mois de 20 millions ..s’il enleve les charges location remboursement des dette si il a acheté une maison par credit et le salaire de l’infirmiére il peut avoir une entrée net pour lui de 8 millions par mois et etre dans l’echelle des homme de metiers..
      Pour 40 millions d’habitant il faut donc 8000 medecins. 8000 pharmaciens et 8000 chirurgien dentistes…c’est tout…un medecin plus il vieillit plus il deviend rentable donc l’inconvenient il ne quitera jamais son poste jusqu’a sa mort..on ne peut pas esperer occuper son poste sur 40 ans au moins….c’est cela les donnés que nos etudiants det les parents doivent savoir avant de faire une formation..sinon une fois dedans il va entrer dans un engrenage…la tactique c’est simple gagner deux fois moins et depenser deux fois moins vous arrivez au meme salaire ..gagner 4 millions par moins et gaspiller deux fois moins vous arrivez au meme salaire de 8 millions par moins c’est kif kif..il faut apprendre a gerer pas a s’esquinter dans des formations qui apparement ne sont rentable que sous certaine condition et certaine spheres..c’est normal la medecine est partout dans le monde est en crise..
      Il faut faire du ménage et voir comment orienter la formation vers le diplome de la medecine preventive…et non uniquement la medecine clinique..traditionnelle..

  5. voila la réponses a ces gens qui ont cassé l’université et continu a le faire

    Dans l’édition 2015 du palmarès QS des universités mondiales, l’Algérie a amélioré ses résultats par rapport à l’année précédente. En effet, selon Webometrics, l’Université de Sidi Bel Abbès a été classée, 1ère en Algérie, 20ème en Afrique et 1781ème mondiale. Avec cette nouvelle place obtenue sur un classement totalisant 24.320 universités à travers le monde, cela constitue «une avancée» de plus de 3.300 places, puisque cette université était classée à la 5.097e place en 2014.

    CLASSEMENT MONDIAL DES MEILLEURES UNIVERSITES : L’université de Sidi Bel-Abbès en tête au Maghreb

    L’université Djillali Liabès de la wilaya de Sidi Bel-Abbès est désormais sans concourants, la première université algérienne selon le classement semestriel “Webometrcis Ranking”, classée 1781e mondiale devant les universités Kasdi Merbah d’Ouargla (1798e) et Abou Bekr Belkaïd de Tlemcen (2297e). L’Université Mentouri de Constantine, 1ère lors du précédent classement, perd 3 places et se hisse au 4e rang de cette édition janvier 2015 (2321e).
    L’USTHB (Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene) se positionne à la 5e place nationale (2554e mondiale), et dépasse les universités Mohamed Khider de Biskra (3142e mondiale), Hassiba Ben Bouali de Chlef (3621e), de la wilaya de Batna (3715e) et Mouloud Mammeri de Tizi Ouzou (3785e).
    L’Université Ferhat Abbas de la wilaya de Sétif (4059e) clôture le TOP 10 du classement algérien. L’Université d’Alger 1, communément appelée “la faculté centrale”, s’efface des 10 premières et se classe au 11e rang (4230e).
    L’université de Sidi Bel-Abbès, 20e africaine, dépasse les universités Mohammed V Souissi, basée à Rabat, 47e africaine et 2827 mondiale, Mohammed V Agdal, 58e africaine et 3219e mondiale, ainsi que l’université Cadi Ayyad’Marrakech, 61e africaine et 3328e mondiale.
    L’université Virtuelle de Tunis, 4412e au classement international, se hisse à la 89e place africaine, étant la seule figurant dans le Top 100 continental.
    L’université de Tunis El Manar, 6382e mondiale est 128e africaine, dépasse l’Institution de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur Agricole, 6716e mondiale et 135e africaine.
    Les universités sud-africaines du Cape Town (328e), Stellenbosch (462e), de Pretoria (494e) et de Witwatersrand (563e) occupent respectivement les 1 e, 2 e, 4 e et 5 e rangs et dominent le classement africain. Et enfin, l’université égyptienne du Caire, 1ère du continent lors de la précédente édition, a perdu deux places durant ce dernier classement mondial 2015 des meilleures universités.

    1. Université de Sidi Bel Abbès est la première université Algérienne du point de vue Scandales monsieur Mouley. Quant au classement “Webométrics”, il ressemble à celui établi par la FIFA. C du khorti si Mouley. A votre avis, l’université de SBA peut concurrencer les universités de Tunis ou de rabat? Les critères établis par ce site se limitent aux nombres de publications et non à la qualité. Elgouaz houa errabah. Pesez la qualité des responsables de l’université de SBA avec celle de nos voisins, de là vous allez automatiquement vous rendre compte de la bétise de” webométrics”.

        1. Le chien est un animal fidèle. Il aboie lorsqu’il se trouve devant des intrus et des malfaiteurs.Si la caravane est composée d’intrus de plagiaires, d’incompétents, certainement qu’il alerte l’environnement sain.En plus de l’incompétence, vous êtes un impoli et un xxxx. ADMIN

        2. L’adage dit ”quand on manque d’arguments, on insulte” Mr Moulay, ce classement vaut ce qu’il vaut; à en faire une nobélisation, c’est vite aller en besogne, que de chemins il reste, mais avant cela il faudra d’abord nettoyer les écuries d’augias, il ne s’agira pas d’Hercule, mais de l’effort de tout un chacun, avant tout l’Université est une entreprise morale, avant d’être une entreprise de comptabilité.

    2. Personne ne casse cette université de SBA. Nous la défendons corps et âme, en notre âme et conscience contre les prédateurs qui profitent de leur poste de responsabilité pour acquérir des privilèges , pour accéder aux promotions professionnelles sans les mériter, pour servir d’abord leurs “copains” dans une institution publique nationale.
      Nous voulons aussi que cette distinction dont jouit notre université UDL ( et il y a beaucoup à dire et à raconter sur ce classement) soit le fruit d’efforts scientifiques et pédagogiques honnêtes et non entachées d’irrégularités.
      Comme dirait ma grand-mère: “Yal m’zaouak mane foug , wache halek mane dakhal”

  6. Malheureusement ce qui se passe à l’université de Feu Djillali Liabès est lamentable, déplorable, honteux. Quand la gestion de l’université est laissée aux mains d’opportunistes, d’arrivistes, nous ne pouvons que s’attendre au pire. La preuve ! Cette dérive bureaucratique n’est qu’une partie émergée de l’immense iceberg des malversations, des brigandages qui passent sous silence complaisant et qui sont bien camouflées par cette administration prédatrice. Vous pouvez trouver des trafics de concours de Magister, de doctorat, de résidanat, des plagiats, des faux et usage de faux pour des doctorat, des affaires de mœurs, harcèlement sexuel, agression et j’en passe …. Mais la plus grande responsabilité de cet état de déliquescence à l’ UDL incombe aux différents Recteurs qui ont géré et qui gèrent cette université d’une manière catastrophique.

    1. Interpellé sur un gros problème qui sévissait dans l’empire, César eu cette remarque pour Brutus:” Mon cher Brutus, le problème n’est pas dans les étoiles, il est en nous.” Le Recteur n’a jamais était un manitou, il essaye un tant soit peu d’appliquer les textes, la réglementation, des fois dans l’excès, parfois dans la précipitation, et souvent les recteurs sont là à gérer des passifs. L’université pour qu’elle s’émule et s’affranchisse de problèmes sus cités, doit instaurer le débat, s’ouvrir, créer les conditions d’excellence, laisser émerger les compétences, notre université est très jeune, elle a l’age de la nouvelle ministre des TIC, adopter la triptyque d’émulation de l’université: Compétence, engagement et honnêteté serait un chantier à entrevoir, installer des comités d’éthique et de déontologie, des comités d’experts qui peuvent être le cas échéant des gardes fous aux éventuelles dérives.

      1. Comité d’éthique dites-vous? Mais Mr. Abdelkader 2015, il existe depuis fort longtemps une charte Nationale d’Ethique et de Déontologie universitaire qui n’est pas du tout appliquée dans cette université. Rien qu’à voir les différents scandales qui sévissent et que leurs auteurs continuent à exercer en toute impunité , vous constaterez alors que ces mots Ethique, Déontologie sont absents du vocabulaire universitaire UDListe. Ce sont les mots, copinage, favoritisme, fricotage, magouillage qui sont régissent en droit et en loi. On protège les amis trafiquants et on les soutient , pour services rendus .
        Sous d’autres cieux algériens bien sûr, pour rester entre-nous, des Recteurs ont pris leur responsabilité en suspendant des doyens, annulant des soutenances de doctorat pour raison de plagiat, estant en justice des faussaires de bac ( affaire de la fac de Médecine à Oran) . Mais à SBA, ces scandales de tout genre ont encore de beaux jours devant eux.

        1. J’en conviens, je ne parlai pas d’un problème spécifique mais de l’université en général, maintenant peut être que les textes ne sont pas assez explicites pour que par exemple le comité en question local ou national s’auto saisisse du problème au cas où le recteur, et ce qui est peu probable, manquerait à ses responsabilités. Ceci étant je trouve que vous êtes assez sévère dans vos arguments et vous insinuez que tout le monde est responsable, alors que les énergumènes ayant commis des forfaits se comptent sur le bout des doigts, généraliser serait malsain, les responsables sont interpellés pour sévir et durement sur tout manquement aux objectifs nobles de l’université. Pour finir je ne manquerai pas de souligner que les problèmes que vous citez ne sont pas spécifiques à UDL, mais ils surviennent un peu partout à travers le monde, il faut peut être prendre ces comités et leur donner des prérogatives assez claires pour qu’ils puissent sévir d’une manière efficace et en dehors de toute influence,'( la composition est importante) et éviter aussi des règlements de compte fâcheux,

          1. Loin de moi l’idée de généraliser en prétendant que toute la communauté universitaire est corrompue et versée vers les malversations. Ce qui me dérange c’est le silence complaisant de celle-ci . Sinon comment expliquer le mutisme de ces responsables administratifs à leur tête deux Recteurs face aux nombreux écrits dénonçant des fraudes scientifiques avec des preuves à l’appui. Ils n’ont même pas la décence de répondre à ces doléances! Le laissez-allez total devant tant de dérives. Certes, ces scandales éclaboussent d’autres milieux universitaires mais au moins, il y a réaction de la part de leurs responsables comme j’en ai citée quelques unes.

  7. Je pense que les aspirations de la société profonde et le contexte bureaucratique dans lequel vit l’Algérie ne font pas l’affaire de la “franche” pensante , et ce, dans tous les secteurs .Le “bourreaucrate” fera tout pour garder son “kourssi” , c’est carrément une bureaucratie répressive .

  8. mon dieu!!!! en2015, il existe des responsables de la sorte. Sidi Bel Abbès ne mérite pas un tel sort. Winrahoum woulad el bled.

  9. Belle citation si Abdelkader. Ici à Bel-abbès, l’université souffre du problème insidieux du clanisme. Chaque ministre installe son équipe selon les liens et la région.Une vérité qui voyage de bouche à oreille.Un drame. Le problème de bureaucratie, surtout à l’université nous montre clairement le degré de maturité des responsables.Allah yehfadh wouladna.

  10. On en fait souvent trop pour peu, à mon humble avis les initiatives telles cette formation médicale continue ne peut être qu’un plus, bâtir une société avide de science n’est pas une mince affaire, que chacun apporte son concours, et écartes les embûches.
    Et je dis malheureusement : « Les gouvernements sont trop stupides pour comprendre que beaucoup trop de bureaucratie ne conforte pas la cohésion sociale, bien au contraire elle la disloque. » Jarod Kintz

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