Conséquences d’un manques de suivi

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Un ami qui m’invitait pour la première fois à prendre un café chez lui, eu le réflexe de me réserver la surprise pour  constater  de mes propres yeux,  la face caché du  quartier, les « Le Rocher-Les Palmiers » dans lequel se comptabilisait son  appartement, Je constatais, alors, une lamentable vérité, que j’avais démenti auparavant dans un débat.

En pénétrant à Sidi-Bel-Abbès, nous sommes, impressionné, par l’architecture de ce  très bel immeuble  sous lequel, le concessionnaire de  « Citroën »  commercialise ses produits sans nous douter un instant,  que les artères, et autres  espaces en constructions se trouvant  derrière  l’ensemble des ilots de façade, se cache « la désolation ».Serais-ce une technique de maquillage du génie civil ?

La face cachée de l’iceberg, est déplorable, messieurs les maitres d’ouvrages, bureau d’études et  entrepreneurs !Vous qui avaient pris ces marchés, à coup de chèques très mielleux, sur le dos de l’état et de  ces citoyens, qui ne réclamaient qu’avoir, un logement décent et un environnement commode et non inquiétant, pour une bonne tranche d’année. Ors, le manque de vos suivis dans les chantiers que vous aviez en charge, nous font apparaître tout le contraire d’une situation rêvé..

Ce paysage dont la vue et l’odorat indisposent, nous interpelle et nous  oblige à demander, ou se trouvent  ce monde chargé de veiller à l’entretien et au respect des mesures d’hygiène ?- Ou se trouve ces associations de quartiers, qui  voyant le pourrissement et les vecteurs de maladie aux portes de leur demeures, demeurent silencieux ?.

Le Réseau d’assainissement  général de cette région  est saturé et le dernier des citoyens, déduira que les normes internationales de  la conduite principale ou celles des conduites secondaires, n’ont pas été respectées.

Celles-ci devrait être rempli des 2/3, pour laisser 1/3  à l’air afin d’éviter toutes explosions, ou débordement,  des eaux usées des canalisations. La lenteur, dans l’exécution et l’approbation des P.D.A.U. (Plan directeur d’aménagement urbain) sont, l’un  des facteurs à l’origine de ces catastrophes. Il s’agit d’un facteur qui aurait du être signalé, par les parties concernées en tant utile et avant la réalisation des travaux.

Alors, dans ce cas de figure, faudrait-il alors s’en prendre, aux bureaux d’études, qui connaissent la procédure, mais semblent jouer le jeu de l’indifférence et de l’incapacité pour ne se limiter qu’à l’établissement d’un plan, et  paraissent ne pas prendre au sérieux le suivi des  travaux dont ils ont la charges ?

Les bureaux d’études auxquels s’adressent les promoteurs sont également responsables de ces drames, causées par la totale négligence du suivit qu’ils auraient dut faire avec sérieux et pour lesquels, ils étaient généreusement rémunérés

Ou alors faudrait-il s’en prendre  à ces entrepreneurs, qui après avoir fait des mains et des pieds, pour arracher ces marchés de l’immobilier, et qui s’inquiétaient pour l’encaissement des  milliards, que cela rapportait, sans trop se soucier si leurs projets et leur environnement répondront aux vœux de ceux qui attendent d’avoir un chez-eux bien livré. ? Des réalisations qui devraient être faites dans le respect des normes internationales. Qu’ont-ils fait alors ces promoteurs  en matière de suivit des  travaux, dont ils avaient la charge ? Des projets qu’ils se pressaient de commencer, et qui évoluaient, sans concertations avec les services de l’hydraulique.

Ne faudrait-il pas s’en prendre à ces citoyens qui restent passif devant des situations semblables et qui tolèrent en silence ce calvaire lamentable et des plus traumatisants, suive son cours normal ? Ne faudrait-il pas s’en prendre aux responsables  de l’éducation ou à ceux de la santé, qui à travers, la signalisation de cet état de chose, par le Directeur de l’école du quartier,  auraient du contribuer au déclenchement du  processus d’alarme à qui de droit, pour stopper, la véhiculassions directe ou indirecte, des maladies transmissibles se trouvant dans ces eaux usées et ces ordures entassées, et que les « vecteurs-écoliers » transportent, à l’école et à leurs domiciles ?

Ne faudrait-il pas s’en prendre aux Services Communaux chargé de l’hygiène, qui devraient   s’inquiéter en apportant aux citoyens, les réponses de proximité d’urgences, afin de solutionner, ces causes des débordements d’eaux usées qui inondent et polluent les ruelles, et ces ordures qui jonchent en s’accumulant sans être enlevées, tout un chacun sachant que cet état de chose sert, le bon plaisir, des chiens errants, des chats sauvages et des rats qui se multiplient, dans le secteur par la force des choses et l’incrédulité des gens  ? (Les habitants de ce quartier, serait-il sanctionnés par les travailleurs communaux, pour la non réception de la Zakat de Achoura, qu’ils réclament presque d’office, en frappant aux portes des citoyens ?)

Il s’agit d’un quartier, dont l’âge est jeune, et comme tout nouveau qui est beau, cette situation ne devrait pas exister. ! Voyez combien que les canalisations des principales artères du centre ville, n’ont jamais inquiétées la population ! Tout simplement parce que celles-ci, ont été faite selon les normes dans le temps ! Alors pourquoi que nos ingénieurs, nos architecte, nos responsables chargé de la chose n’en font pas autant ? Pourquoi ?

Donc, probablement ces mesures ont été prises pour répondre à une austérité ? ou pour réduire des couts ?-Se qui est certain, c’est que le professionnel, était loin, très loin de la responsabilité que l’on voulait en lui..

2 Replies to “Conséquences d’un manques de suivi”

  1. L’«état des lieux» dressé dans cet article nous inspire cette conclusion: directement ou indirectement, nous sommes tous impliqués et avons chacun sa part de responsabilité. Et ce constat fait automatiquement surgir la question suivante: qui doit faire quoi? Une question à laquelle tous les responsables concernés devraient pouvoir répondre. A cet effet, une définition claire et nette des tâches devrait être constamment présente dans les esprits car les responsabilités doivent être délimitées de façon à ce qu’aucun chevauchement ne soit possible.
    Concevoir, par exemple, un ouvrage (tel que le réseau d’assainissement) sans tenir compte des normes établies et le faire réaliser par une main-d’œuvre non qualifiée puis chercher à faire endosser les conséquences par les seuls agents de l’hygiène communaux, c’est plutôt ridicule comme démarche… ridicule, boiteuse et malhonnête.

  2. « Conséquences d’un manque »

    M Benkhelouf, je mets de l’eau, partiellement, dans le moulin de Dr Reffas et ajoute que les malfaçons des projets, d’habitat surtout, dont souffre l’Algérie sont dues au Maitre d’Ouvrage exclusivement.
    Ils savent que les projets sont peu suivis de l’étude à la concrétisation.
    Quand «les petits » signalent des manques et/ou des malfaçons, C peine perdue. Alors ils sont rentrés dans les rangs.
    C’est au Maitre d’Ouvrage de gérer et de suivre ses Ouvrage ! De corriger et de sévir contre les défaillants.
    Regardez les ! Lorsqu’ils construisent leur villa !!!!
    Actuellement, il nous manque toujours 99 pour faire 100, commençons par créer le code de construction et de l’habitat, efficace contre les défaillants surtout, les modèle sont nombreux à travers le monde, en attendant notre futur propre code.

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