Journalisme…souffrance et autisme d’un état

Écrire dans un journal ! … Pourquoi faire ? … C’est une question que se pose bon nombre de citoyen. A qui écrire ? Pourquoi se casser la tête ? Au moment où vous avez la certitude que votre message, généralement, crie de secours plane dans un espace vide même pas revenu en écho pour se soulager au moins d’une présence, même montagne, qui n’écoute pas, ne parle pas, n’a pas pris un jour la responsabilité de vous prêter attention, n’a pas ouvert un tunnel de discussions mensongères indifférent tout autant que son discuteur.

Notre frère BENKHELOUF a été délesté de son portable par des voleurs devenus fonctionnaires dans une maison où l’indifférence absurde encourage tous les vices et vous ronge interminablement, vous puni.  Son message de ce jour au journal n’est pas un simple besoin vide d’écrire, de revivre une humilité. Il est certainement la réaction de toute une société qui sort de son fond plein de vertu, qui soufre d’une façon ou d’une autre sans que personne ne se souci malgré une cinquantaine de journaux et des millions de BENKHELOUF.

Écrire alors est devenu tout simplement une pure passion et surtout un engagement interne envers un lecteur à qui, par la force du temps vous éprouvez un attachement spirituel. Votre passion qui grandit avec les jours s’épuise et perd de son âme, de sa force  par l’indifférence d’un état,  la disparition des récoltes d’une longue discussions, l’impuissance prémédité et des vacances de prince malgré tout, jusqu’à devenir une routine épuisante qui vous balance, vous prend en otage dans un laxisme extrême qui vous rend ébahi, hypnotisé, ne pouvant,  ne sachant plus quoi faire.

Votre cri ne vous concerne pas uniquement et votre article n’est pas un simple besoin d’écrire pour écrire. Il est l’engin dont vous êtes emprisonné par votre bonne foi et par cet engagement envers des amis que vous ne connaissez pas. Votre envi indéterminé à vouloir participer tout en croyant a un changement vous procure se souffle de ne pas renoncer aussitôt.

Le journal est la valeur la plus chère  qui reste la moins couteuse à porter une information, une idée, mais en cas générale des souffrances sans devoir déposer des demandes d’audience qui ne reviennent jamais ou se planter devant une porte qui ne s’ouvre que sur recommandation.

Il reste l’unique façon d’apaiser les souffrances d’un autre à l’extrême sud qui s’est fait peut être aussi volé son portable ou d’autre souscripteurs de logements sociaux à l’est du pays qui croient être les seuls à supporter des dépassements, des injustices, à voir leurs projet dans l’indifférence total ou encore un chômeur qui vieillit dans son chômage bien à l’abri de l’oubliette.

Votre souffrance, tout simplement, si elle n’est pas singulière, elle devient par divinité moins brulante. Vous avez entendu énormément d’histoire plus drôle et plus criminelle que la votre. Cet état vous plonge dans une inconscience qui vous fait dépasser votre douleur. Le fait de sentir qu’il y a une cruauté partagée vous rappelle à la raison et vous finirez par pratiquer une auto guérison en l’absence d’un médecin aux hauteurs tout en soupirant : « HAMDOULILLAH JE NE SUIS PAS LE SEUL, RABI YKHALLASS ».

(2 commentaires)

  1. Il fut un temps a l’ere du parti unique qu’on le veuille ou non c’est une reference quand l’un des responsables politiques ou du secteur militaire en lisant le journal apprenait par exemple la mesaventure vecue par notre ami Benkhelouf tout de suite une operation “vigie pirate” à l’algerienne etait menée dans ce secteur sur ordre de ces responsables maintenant helas tout est banalisé alors mon cher journaliste comme disait l’un de tes confreres fume et bois ton thé

  2. Nos vivons dans une démocratie , d’écrire , de dire , et de souffrir car personnes n’ose agir nous sommes toujours au point de départ encoe plus ,nous vivons dans la violence on sent la menace arriver elle ne cesse de surgir dans la brutalité , l’insécurité des actes qui peuvent mener à la révolte là où elle aura toutes ses raisons qu’elle est dans son droit et se légitime au nom de la justice d’où ses balancs trébuchent elle ne sait plus équiter puisque cette dernière est le droit du plus fort elle accuse les dénonciations de culpabilté la raison est étoufféel’honnèteté est démodée elle a fait de nous les esclaves de la violence notre socièté est violente elle est maitresse de l’ordre cherche la vengeance puisque le citoyen n’est pas protégé par les institutions gouvernementales ces garanties servent à défendre le pays et son peuple contre la violence la corruption des moeurs, la délinquance le citoyen se sent trahie par cette liberté aveugle peut ètre ivre où plutot droguée , dans quel sens somme nous porté par ce vent (vols, agressions,corruption, prostitution, barbarie,anarchie, l’ignorancee la férocité )sont l’empire de l’injustice sociale chacun de nous doit jouir dune liberté limitéeet d’un droit de sécutité qui nous pousse à nous protéger par nos propres forces qui cherche à nous faire perdre de notre liberté et de notre indépendance comme prévues dans la charte la liberté et sa sécurite.

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