LETTRE D’UN HARAGUE CHERCHANT AILLEURS LA DIGNITÉ

Cette présente lettre d’un « Harague »  a été écrite  en plein « Hargua » sur  mer et adressée à qui de droit,  elle se voulait une apologie pour unique raison et unique saison, dans le chaos , qui règne  en Algérie depuis  bien longtemps et qui s’est intensifiée  après le 4ieme mandat   par la colère légitime d’un  peuple trop humilié qui ne veut pas pardonner le mal fait à l’Algérie.

Permettez moi  Monsieur le président déchu  par discernement et peut être factuelle dans un proche avenir  de vous adresser un petit message que peut être quelqu’un d’anonyme pourrait vous la lire, elle est orthographiée d’un lambda, zaouali,  « Harague » Algérien dont l’humilité, la déférence et la détresse   justifient  ma  détermination profonde qui clarifie ma situation et me pousse à vomir la digne colère naturelle et peut être même l’outrecuidance de la tonalité verbale.

 En Zaouali averti et « harague »  signalé, je demande des allégations pour vous dire Monsieur  qu’avec  ce régime…, non ! Avec ce pouvoir…. ;oh ! Pardon, non ! avec ce gouvernement, on ne vit pas Monsieur, on ne vit pas. Le contexte ou mon corps, esprit et âme moisissent, ne me permettent pas de  faire usage de la langue de bois dont vous utilisez si bien , à bon escient ;  d’ailleurs c’est tout ce qui vous  reste, entant que norme  dans votre espace  politique et dimension démagogique trop médiocre.. J’augure  déjà votre  interprétation, et je me permets de réagir à propos de votre politique de l’emploi négatif, du chômage positif, de la mal vie générale, de l’exclusion, de l’inculture, de l’injustice, de la corruption,…. concernant le chaos qui règne en Algérie.  Chaos, du reste, provoqué essentiellement par l’incurie administrative, l’incompétence politique, la médiocrité des responsables l’institutionnalisation de la « Hogra », de la corruption. la misère économique, la détresse sociale, les postures et accointances mafieuses qui restent, à ce jour,  se sont les seuls résultats d’un pouvoir, un régime, un gouvernement incompétent et médiocre que   des ministres s’ acharnent à admettre, à défendre et à supporter, contre toute raison, logique, réalité  et intelligence, et ce  depuis le 4ieme mandat fantome.

Les états d’ailleurs avancent pour devenir forts par la science donnée par l’école et de  l’ université l’homme fera la société .

Ici en Algérie, nous reculons, nous sommes parmi les derniers aux classements faites par les ONG de l’ONU pour tout ce qui se rapport e au bien de la société et les premiers pour tout se qui concerne le mal. Et c’est se mal qui se généralise que vous ne voyez pas et que vos oreilles n’entendent pas les cris des désespoirs d’une jeunesse deseperée.

Monsieur le Président, vous semblez, nous imposer à accepter encore un 5ieme mandat fantôme comme seule exigence de faire des reformes et mettre en œuvre la machine  démocratique tant espéré depuis plus de30 ans, la bonne gouvernance  dans un véritable état de droit et que vous aviez annoncé et inscrit dans votre programme  issu de votre  2ieme mandat  ou la vitalité financière du pays  et votre santé corporelle étaient en mesure de faire  face sans aucune contrainte majeure.

 Vos belles promesses n’ont pas été tenues Monsieur le Président, les résultats sont la pour témoigner et vous contredire, ce n’est pas avec   votre perspicacité langagière en tant que grand diplomate, alors que  vous oublier de dialoguer avec la société civile sinon avec la véritable presse nationale pour faire valoir le droit de ce pays.

Par ailleurs il est inconcevable et même insensé  que dans un état ou la constitution clairement et nettement dans sa disposition 7 , la souveraineté de ce pays revient au peuple et la gestion se fait par le peuple et pour le peuple que vous aviez ignoré toujours, alors qu’un seul homme puisse avoir raison contre une bonne majorité du peuple, alors, qui est- ce qui à  pu dévaloriser la noble fonction  présidentielle par un entêtement  et persévérance tout en se portant dans un état patraque ,  candidat fantôme au 5ieme mandat avec un bilan antérieur défaillant sur toutes les lignes de cet état riche pour les prédateurs devenu pauvre pour la masse laborieuse  et  de non droit. Venons-en à présent au dialogue.

 Le dialogue  aujourd’hui est devenu un outil de communication pour sortir de tout mal- entendu, de chaos …. Un dialogue est toujours  constructif, il  évite les langages rébarbatifs, vides de sens et ne doit pas être une subtilité pour gagner le mal par l’usure. Le dialogue est permis pour s’engager sa pleine responsabilité afin de résoudre un problème et ceci nécessite un gage  d’homme (de confiance). Or un chef de l’état absent et malade   depuis bien longtemps ;que personnes ne pourrai le voir même les 19 hautes personnalités , sauf évidement s’il s’agit d’un petit maire de la France officielle, ses subalternes n’ont ni parole, ni honneur, ni dignité ,ni éthique, ni crédibilité et n’inspire aucune confiance.

 Dois-je  vous dire que le premier ministre avait reçu sur un tapis rouge un criminelle des IBN Saoud  et un terroriste « Ahmed Mezrague »  alors que le peuple algérien n’en voulait pas..

Un mutisme absolu qui ne dit pas son nom, malgré la sourde oreille, mais combien est légitime la colère de la population, elle a fini par rallier même les plus modérés à l’urgente nécessité de son départ. À moins d’œuvrer pour une certaine clochardisation.

Je termine cette lettre comme un plaidoyer pour un ultime appel à la raison qui mène à la révolte oh !que non à la révolution dite  « Al-Hirak »  elle est ni armée, ni de velours, ni de couleur, mais « Salmya-Salmya » garnie de sourire. De quelque manière que cela finisse, maintenir au pouvoir un Chef d’État aussi laminé par son propre échec,  qui avait abimé la fonction présidentielle avant de quitter les lieux, tout en piétinant les dispositions des règles de la loi fondamentale.

Dans le  courant de la colère populaire, cherchant à humaniser ce  pays mordue par la risée des états des lieux, transformé en un chaos pour des succès d’ailleurs et des mafieux d’ici, j’aimerais vous rappeler qu’avoir à sa disposition le savoir et le pouvoir, mais se trouver incapable d’entrer dans la lumière, du côté de l’éthique, est infiniment médiocre.

J’espère qu’il vous reste avant de partir, encore un supplément d’âme pour comprendre le sens de cette pensée que je paraphrase, l’obscurité et le sommeil de la raison finissent toujours par engendrer des monstres. C’est du reste pourquoi, ceux qui sont illuminés de l’intérieur, cherchent toujours à extraire du chaos une lueur pour la projeter là où l’espoir agonise.

Un     Président rejeté d’office par son peuple depuis le 4ieme mandat,  de par  sa maladie cachée, ayant sustenté le mal dans les institutions de l’état Algérien ou l’injustice( hogra) a pris du poids, la corruption( chipa) a été presque légalisé et institutionnalisée, inégalité s’est propulsée à travers les régions , la régression flagrante de l’économie malgré une richesse rentière jamais égalée, une régression sociale, la saleté urbaine généralisée , la dégradation  du patrimoine ,l’acculturation et la régression sociale, on nous promet le bien virtuel et ils font que du mal reel et….et… suivie d’ une alliance  contre nature  qui consolide des liens d’amitié matérielle et financière avec les prédateurs et les trafiquants de cocaïne et de drogue ; cette calamité  n’est que le résultat de la médiocrité et de l’ incompétence, décrédibilisée par une arrogance extrême qui fait plus de mal destructeur que du bien  pour ce pays  de 1,5 million de martyres. Il ne faut pas se fier à vos ministres, non ministrables, ni   vos experts « chiyatines »et « chayatines », ni vos agences fossoyeurs, ni vos medias à sous et à ordre qui ne cessent de vous et nous flatter sur la bonne gouvernance et sur la bonne gestion axée sur de faux résultats  et de la fausse performance sachant que le capital Algérie est en perte de vitesse,  et c’est peut être le moment des prédateurs qui ne cessent de consommer ce capital Algérie. Il m’arrive à l’esprit ,  la loi des hydrocarbures un certain ministre Chakib voulait la dénationaliser  tout en  abandonnant le contrôle étatique du pouvoir et des échanges bancaires, Bouteflika voulait  donner la totalité du Sahara à W. Bush par une remise en question de la nationalisation(concession privée) effectuée par Feu H. Boumediene en 1971.Les principes ca se jettent dans la poubelle, et tant pis pour le peuple. Ma place en tant que lambda parmi les lambadas de ce pays dans ce  pays n’existe pas et « Al Harba » par « Al Harga » est la juste solution du moment.

 L’absence de justice pour les faibles est un fait, l’absence de lutte contre la corruption et un autre fait, et l’absence de l’impunité est un contre fait qui font que le droit s’écarte bien de l’état pour nous arroser du mal .

Ailleurs,  les politiciens démissionnent pour une simple petite gaffe et parfois ils sont jugés, le cas de :

*.  Pour un simple petit soupçon  en 2007 aux USA, le gouverneur de l’Illinois a été contraint de démissionner.

*En Algérie, en 2003, un Boeing avait fini par s’écraser juste après son décollage le ministre des transport « Goul » ne s’est même pas inquiété !!!! celui de Boufarik un autre fait mortel !

* en 2017 François Bayrou ministre de la justice sous Macron  a démissionné pour avoir été l’objet d’une enquête se rapportant à des faits de corruption chez le mal  est officialisé pour  celui qui fait du bien.

* Au Canada, en 2012, Gérald Tremblay, maire de Montréal a dû démissionner rien que pour des soupçons de corruption .

*au Portugal le ministre de transport démissionne pour un pont effondré, celui de Tébessa c’était un fait divers !!!

*La démission  d’un poste de responsabilité en Algérie ne fait pas partie de notre culture.

 Quelques petits exemples, Voyez vous Monsieur le président

 Alors Pourquoi voulez-vous coute que coute :

* nous imposer une démocratie  de façade avec des prédateurs des corrompus et des trafiquants de drogue.

*Vous n’aviez jamais arrêté, ni extradé   des prédateurs malfaiteurs même quand ils  cessent de servir vos intérêts ?

 *dit nous vraiment si vous haïssez autant le peuple algérien ou peut être ce n’est qu’une remise (revanche y inclus les principes) préparée depuis votre mise à l’écart en 1980.

 *Pourquoi  alors, ce cynisme  utilisé pour nous imposer par la puissance de la  force le laxisme à grande échelle, l’échec et la négligence pour mieux  protéger la médiocrité et l’incompétence afin de garantir vos intérêts au mépris  de ce peuple consterné et avide d’une justice.

Ce pouvoir, ce régime ce gouvernement ce… qui tolère aux yeux du monde la corruption, l’incompétence, l’illégitime, l’inégalité et « al hogra »   tant décrié par ce pauvre  peuple malheureux par celui jeté en mer et dévoré  par le poisson que nous consommant. Il veut nous faire montrer  qu’ils sont les maitres incontestés et nous les esclaves misérables. Cette pratique de la médiocrité et  l’utilisation de l’incompétence nous a déshumanisé en nous poussant vers une issue obscure et désespérante sur la gueule des prédateurs sans foi, ni loi. Le ridicule ne tue pas quand vos experts nous parlent de bonne gouvernance, de résultats positifs imaginaires, des institutions intimidées par la seule loi de la force de l’argent, une gestion axée sur la performance du laxisme et du négativisme dans tous secteurs, justice y compris, une corruption participant à un vaste business qui fait la fortune des prédateurs et qui en fin de compte vous légitime.

Toute finalité d’une chose se termine forcement par un bilan moral et financier que les experts en la matière présentent. La légitimité  se joue à travers des finalités mesurables selon la valeur et les standards, teintés par une moralité qui exclu l’hypocrisie  et, le mensonge il ya aussi l’au delà.

Par conséquent, cette vision devrait être formulée  par un programme préétabli  porté sur une échéance donnée pour sa réalisation.

 Sans la réalisation d’un état de Droit, et d’une justice  impartiale, c’est une perte de temps et d’argent  et  le résultat du mandat s’invalide de lui meme. Nous ne faisons que de demander une évaluation pour nous permettre de faire une appréciation sur l’effectivité d’un mandat c’est qu’on appelle rendre des comptes que vous avait ignoré le sens et la valeur.

Alors quand les résultats  ne sont pas conformes aux programmes avancés on change de personnes et de méthode tout en agissant sur les causes profondes des problèmes c’est pour cette raison que je refuse qu’acquiescer le 5 ieme mandat présidentiel et votre démission n’effacera point le pardon du mal que vous aviez fait à L’Algérie de ce petit lambda. Je demande des excuses de mon existence d’être algérien c’est pourquoi je préfère être dégusté par les poissons que d’être rassasié par des vers.

 Signé :Un  « Harague »  algérien nommé lambda !

 BENALLAL MOHAMED AUTEUR