L’incinérateur de l’hôpital de sidi bel-abbés émet des fumées polluantes et toxiques depuis bien longtemps. Les contrôles prévus par la loi ont l’air d’admettre définitivement que c’est un problème qui dépasse les volontés même si elles existent. Une pollution qui dépasse les normes autorisées, dangereuse pour la santé des riverains.
Sa situation à l’intérieur d’un hôpital à proximité d’une zone urbaine aurait pourtant du exiger une surveillance accrue. Les malades hospitalisés sont des populations fragiles et sensibles. Le personnel de l’hôpital et les riverains sont exposés à des pollutions continues. Certains toxiques agissent par accumulation dans l’organisme.
L’incinération est une technique de transformation par l’action de feu à un certain degré C des déchets hospitaliers en cendre, facile à nettoyer totalement ou à un degré moindre sécurisé contre toutes contaminations ou exposition à des maladies infectieuses (hépatite C et B ET VIH) contenues dans les seringues et autres déchets corporels qui restent presque intactes devant une température loin des 1000 et 1200 degré celsius prévues à réduire ces déchets en cendre moins polluantes et sans effets nuisibles à la santé publique pour réduire les microorganismes existant dans ces déchets de façon à obtenir un taux particulaire et microbien le plus bas possible.
La fumée noircie pleine de particules que dégage l’incinérateur au milieu d’un site sensé être premier préoccupé de la santé publique et des malades plus particulièrement laisse poser des questions. La direction de l’environnement reste quant à ces services presque d’un rôle inconnu.
Les habitants des cités voisines sont constamment exposés à des dangers de contamination, aéroportés entre autres. Sous une température insuffisante à le rendre en cendre, Le liquide, d’après la source, des différents déchets et prélèvements est rempli dans des sachets non sécurisés qui seront ramassés par les services de la commune et jetés au plaisir des animaux et insectes à la décharge publique. Cette mesure ne fait alors qu’aggraver les risques de contamination.
Certains, nous ont confirmé que des enfants sautent le mur de l’hôpital pour jouer avec des seringues encore intactes sous une incinération qui ne porte que le nom et ramassent des gants de plastique appelés à usage unique dont le but de les faire fondre pour en fabriquer de la glue et autres moyens pour chasser des oiseaux.
Insouciant des grands dangers qui les entourent, ces enfants peuvent devenir à tout moment l’essence de la propagation des maladies infectieuses dans les milieux sociaux. Pour cela, des connaisseurs voient contraire à la loi la présence d’un incinérateur à l’intérieur d’une enceinte sensé garantir une sécurité sanitaire aux citoyens et aux malades.
la gestion de ces déchets hospitaliers, nous racontent certains qui préfèrent garder l’anonymat, par manque de moyens adéquats reste effrayante. Le respect depuis la collecte jusqu’à la destruction TOTALE prévoit que chaque salle de soin est dotée de contenants qui permettront selon leurs couleurs de traiter et de repartir les déchets hospitaliers et de les trier. Et, parallèlement des containers sont placés dans les salles de soin qui permettront d’envoyer l’ensemble des déchets collectés vers un incinérateur d’une technologie très avancée vue la gravité des maladies et de leurs couts de revient.
Les habitants et le croissant rouge de sidi bel-abbés par le biais de son représentant n’arrêtent pas de crier quant à cette inconscience dont les conséquences peuvent être un drame à tout moment. Ils demandent l’intervention des services de l’environnement totalement absent pour contrôler le degré de toxicité des odeurs et particules issues de l’incinération qui sont visibles dans plusieurs endroits ainsi que le filtre traditionnel qui ne fonctionne plus depuis bien longtemps.
Les praticiens et le personnel paramédical bien que conscient de la situation s’accordent à dire, qu’en l’absence d’un incinérateur de dernière génération, ils ne disposent pas de matériels adéquats, citant les bacs pour les objets piquants et tranchants (seringues, bistouris) et les emballages en sachet, pour les autres déchets, aux normes internationales qui sont de couleur jaune avec le sigle BIO international des Nations unies avec mention «Attention haut risque d’infection». Pour l’heure, les déchets d’activités de soins à risques infectieux ne sont guère traités comme le prévoit la réglementation,
Une véritable politique de gestion des déchets hospitaliers doit être mise en place en respect de la loi. La situation géographique doit être remise en question, en concertation avec les populations concernées. On doit tenir compte de l’évolution démographique de la wilaya qui va entraîner une augmentation rapide du volume de déchets hospitaliers.
Faut -il se plaindre auprès de l’O.M.S y a t-il un moyen d’être entendus c’est une anarchie totale caractérisée de la part de tous les responsables du Directeur jusqu’au ministre ils sont les problèmes que gère la population qu’on le veuille ou pas
l’intra muros est une pratique ancienne que tous les hôpitaux d’Algérie souffrent selon les règles et de la protection sanitaire l’incinérateur ne doit pas être installé à l’intérieur de l’enceinte de l’hôpital. un risque ,une atteinte, une insécurité pour une population innocente. une four crématoire en plein air nouvelle méthode algérienne au lieu de détériorer les déchets c’est les humains (mort lente)…….merci
Les compétences actualisées permettent de s’imposer et l’autorité vient par la suite.Il a un doctorat il exige un grand bureau plusieurs teléphones un ordi dernier cri,un iphone etc… pour dire qu’il est MAALEM.
Pour tenter de décrire un peu le chaos dans lequel nous nous trouvons, on peut paraphraser Gustave Le Bon: chez nous, tout le monde est impuissant; les Autorités parce qu’elles n’ont pas de compétence et les Compétents parce qu’ils n’ont pas d’autorité. Alors? Alors, le chaos durera jusqu’à ce que les choses soient remises à leur place.
Sallamou alaykum
commencez, Madame, par les responsables.
C gens là n’ont pas peur d’Allah.
Et comme il n’ont pas peur d’Allah, il n’auront peur de personne.
Alors karchérisez le tout et remplacez les par des jeunes instruits et éduqués par la paur d’Allah.
Tout est une affaire de conscience et de code moral.Je connais des athées qui se comportent mieux que certains orthodoxes musulmans.
Ne pensez surtout pas svp que le code moral des athés est meilleur que celui des musulmans.
Les athés n’ont pas de code, mais des reflexes seulemnt.
Si vous le pensez vraiment, alors verifiez votre poids.
sincèrement.
C’est dramatique !une Ville comme Sidi bel abbrès est très gerable si l’on compare avec les plus grandes villes.Si certains veulent tous devenirs Députés ou Senateurs qu’ils laissent leur place à ceux qui maitrisent et prendre des decisions et ce n’est pas la mer à boire pour trouver des solutions pour régler les problèmes des incinérateurs et lutter contre la pollution .Pour ma part créer des zones d’incinérations loin de la ville à donner à des PRIVES qui feront surement leur travail comme il se doit (création d’emploi et imposables)et même les cliniques privés règleront leur problèmes.ceci est mon point de vue.je suis pour que le travail soit fait correctement ET nous avons toutes les potentialités pour tout faire règlementairement.
Et voilà retour à la case départ je ne sais par qui ou par où commencer ce commentaire Mr Jilali.T malgré mon age avancé en lisant vos articles qui relaxent ma nervosité à force de voir ma ville exposée dans de telles situations me donne l’envie et la force de participer avec vous de dénoncer toutes les carences de gestion ces francs maçons que le colonialisme a laissé derrière lui .D’après mes expériences techniques l’hôpital de notre ville coure un risque de contamination qui peut provoquer une atteinte collective provenant de cet incinérateur qui est une ancienne pratique ( vieil ) et peut provoquer des maladies cancéreuses provenant de cette fumée inhalée.
Chez qui voulez qu’on s’adresse pour résoudre tous les problèmes de notre ville donc condamner tous les responsables qu’ils soient élus ou administrateurs (commis de l’état)
Je commence par le P.APC lui demandant le fonctionnement du centre d’ enfouissement et de la gestion des déchetshospitaliers
Le rôle que doit jouer la police de l’environnement qui d’après Mr Benkhelouf dans ses récents articles elle est absente sur le terrain
La direction de l’environnement égarée inscrite sur la rubrique perdue de vue ou plus meilleur recherche dans l’intérêt de la ville .
Le ministère de la santé qui trébuche dans les dossiers vides sans aucune inquiétude de la santé du peuple .
Enfin monsieur le Wali où est votre devoir de veillez à la santé et protéger cette populations qui vous est confiée.elle est sous votre responsabilité.
Donc il faut commencer par la procédure du nettoyage puis désinfecter enfin passer tout KACHERISER MAIS PAR QUI COMMENCER? LES RESPONSABLES EN PREMIER OU INCINÉRATEUR AVEC LE DIRECTEUR
le devoir d’une mère m’appelle je dois y répondre.BONNE SOIREE.
Son excellence le Wali salam,
Vous êtes le Magistrat suprême de notre chère ville nomée Sidi-Bel-Abbès qui m’a vu naître et qui fût jadis l’une des plus belles villes d’algérie si ce n’est du Sud Ouest.Je m’adresse à vous parce que je suppose qu’après une journée de dur labeur rien ne vous empêche de visiter ce site qui à mon sens vous donne un aperçu de se qui se trame. Ah la politologie obsolète et anxiogène de notre pays qui va droit au mur non par la faute,ni le manque de braves citoyens de tous bords,mais,le manque de volonté de la part de groupuscules qui ont trop à perdre concernant leur interêts propres. Ils se trouvent dans toutes les couches sociales.Son excellence le wali, vous savez qu’on ne peut applaudire d’une seule main; beaucoup de subalternes décident du sort de toute la nation et comme je ne connais pas la situation ailleurs j’aimerais vous poser une question, à savoir comment est possible ce laisser aller ? Tout fout le camps. Ville délabrée,saleté indescriptible,etc et le peuple indifférent. Elle est où cette”miséricorde”que nos aïeux nous ont unculquée jadis ? Les corporations(police,gendarmerie)présentes à tous les coins de rues certes, mais amorphes. C’est un simple acte de présence de leur part. Il reigne une cacophonie au centre ville, de quoi devenir schizophrène. L’administration absente, des marchés informels, la ville en entier est submergée par une marchandise de tous poils importée de Chine et de très mauvaise qualité, à la limite dangeureuse. Immeubles dangereux,en particulier les balcons qui se désagrègent, des morceaux de béton au vu et au su de tout le monde, l’inconscience absolue. De quoi glacée le sang.
J’espère du fond de mon âme que vous aurez un moment pour parcourir ce commentaire sans offencer qui que ce soit. C’est le coeur d’un natif de cette ville qui fleurait bon d’y vivre.
Je me joints à ton appel et y ajoute les autres wali de toute l’Algerie.
Ce n’est pas Bel Abbes seulement, mais toute le territoire national qui est dans cette situation.