Pour leurs épargner de pénibles voyages. Un nouveau centre pour s’occuper des malades du sida

Le ministère de la tutelle a décidé la création d’un centre à sidi bel-abbés pour s’occuper des malades de sida après avoir été instruit par 75 nouveaux cas cette année 2011. Cette décision a été prise dans le but de prendre en charge d’une manière soulageant les malades de ce syndrome pour désengorger l’afflux que connait le centre régional d’Oran par l’accentuation du nombre de malade atteint par le VIH chaque année.

Le centre permettra le dépistage et le suivi de la maladie dés son apparition d’une façon régulière et aussi, éviter à des centaines de malades de se déplacer plusieurs KM dans un état piteux aux centres d’Oran et Alger.

Les services de la santé publique et de la population ont recensé 75 nouveaux cas de sidéens dont 7 enfants et 35 femmes. Ils ont enregistré 12 décès suite à cette maladie.

D’après les médecins spécialistes des maladies transmissibles de l’hôpital Dr Hassani Abdelkader de sidi bel-abbés, le nombre des malades a doublé par rapport aux années précédentes ou il a été enregistré 35 en 2007 avec une augmentation en 2008 à 42 cas. Ce qui a poussé les spécialiste du domaine à sonné l’alarme pour multiplier les compagnes de sensibilisations pour toutes préventions utiles.

Pour rappel, la wilaya de sidi bel-abbés a été choisi pour la *célébration* et le lancement de la compagne de sensibilisation dans cette journée mondiale du sida qui a été organisée par la présidence de l’université djillali liabes de la wilaya jeudi passé avec la participation des autorités nationales et internationales de lutte contre cette maladie qui touche environ 600 personnes chaque année à travers le territoire national. Sans parler des infortunés inconnus qui préfèrent souffrir en discrétion. C’est pour ca que le nombre reste toujours par approximation.

374 nouveaux cas ont été enregistrés en 2011. Comme il a été enregistré au cours de ce mois de novembre une compagne de sensibilisation, même si elle est insuffisante et presque invisible, déclenchée par l’association *AIDS Algérie* spécialisé dans la lutte contre les maladies transmissibles suite aux relations sexuels. Elle a organisé aussi, des compagnes d’informations et mis en fonction des ateliers de pratiques d’apprentissage au profit des associations locales qui évoluent dans ce domaine.

Ce mouvement a touché plusieurs communes de la wilaya, le rôle des jeunes, centres de santés ou les specialistes se sont concentrés et insistés sur les moyens de luttes contre la propagation du VIH dans les milieux juvéniles en particulier. Aussi la non protection et la facilité à l’accès aux informations essentielles aux personnes plus exposées à ce danger