Festival de rai sur fond de piqure de … MOUSTIQUES

D’aucuns s’interrogent sur l’absence totale des feux d’artifices cette année à la veille du 5 juillet , est-ce du à l’absence du chef de l’état dont l’écho se répercute à travers l’ensemble du pays  , à sa maladie ou tout simplement que c’est devenu monotone de faire toujours la même chose et qu’il est temps de réflechir au centenaire avec des feux d’artifices plus innovants. A sidi Bel abbes , si les jeunes avaient les yeux rivés sur les chanteurs RAI qui défilaient sur la scène , au même instant, des centaines de familles bel abbesiennes menaient une “guerre sans merci”  par leurs propres moyens aux moustiques. En effet, ni les moustiquaires placés aux fenêtres de chaque appartement ou maison  ni les autres moyens déployés individuellement n’ont permis de faire face à cette invasion massive des moustiques en ce début de juillet et heureusement encore doux par rapport à l’année 2012, ces moustiques qui nous empoisonnent la nuit par leurs vibrations nuisibles à l’oreille et vous enfoncent leur piqure dès que vous vous sentez las et  sombrez dans le sommeil , se retrouvent plus nombreux cette année faute de traitement à temps.

Ne dit-on pas que le passé est meilleur que ce qui va arriver et du coup, on pense à l’ancienne APC  qui a eu ,au moins,le mérite d’avoir chaque année répondu positivement à la demande des administrés s’agissant des moyens de lutte  contre la prolifération de tous les insectes, rongeurs, et animales errants  au cours de l’été. Il est navrant de constater qu’ à ce jour, rien n’est entrepris par les services communaux de ce coté pour faire face à cette prolifération  qui  est favorisée par l’insalubrité et l’absence d’un traitement de démoustication.Un détail  très important pour la santé des citoyens et qui indique le degrés de laxisme observé chez nos élus nouvellement installés dans leur spacieux fauteuil dans des salles climatisées.Pourtant, on se rappelle qu’un passage ou deux de ces engins pulvérisateurs d’insecticides sur les grands artères et autres lieux de prolifération parvenaient à réduire drastiquement les piqures de moustiques que subissaient les citoyens et particulièrement les enfants.