FESTIVAL DES DANSES POPULAIRES: Y-A-T-IL DES DESSOUS?
Un festival est censé répondre à plusieurs objectifs: Faire un brassage international de cultures, rencontres entres des peuples de différentes régions du globe, faire profiter la population par un apport culturel inestimable, mais aussi apporter un plus économique pour la ville dans le cadre de services qui accompagnent le festival.
Force est de constater que les responsables – et notamment madame la Commissaire – devant veiller à la bonne organisation semblent privilégier des intérêts plutôt occultes. En effet, Tlemcen semble continuer à s’intéresser de près à ce Festival. Si l’année précédente a failli voir l’évènement se délocaliser n’était-ce la mobilisation de l’ensemble de la société civile et la presse, cette édition aura été marquée par un phénomène tout aussi surprenant que bizarre. La quasi-totalité des délégations invitées ont été logées aux Zianides à ….Tlemcen. Cette démarche explique pourquoi, l’absence d’engouement pour le festival est manifeste. On dirait une organisation administrative. La délégation arrive, fait son numéro et repart. Le tourisme, c’est à Tlemcen que cela se passe! Un festival dans sa définition, s’organise en communion avec la population. Je me souviens que le premier du genre a vu les délégations hébergées carrément dans les cités universitaires! Il me semble que la Commissaire, M.HANKOUR continue ses pérégrinations dans la mise en œuvre de son scénario initial. Elle ne s’arrêtera que lorsqu’elle aura délocalisé le festival! Dans sa démarche, elle est arrivée à mettre en berne la presse locale, en réussissant à la mettre de son côté après qu’elle eut été son indomptable ennemi. On a assisté à des scènes de transe, lors de sa conférence de presse tragi-comique où les larmes et sanglots se mêlaient aux plates excuses. Il est de bon temps que la presse améliore sa communication pour une meilleure information du citoyen, mais qu’elle le fasse en gardant son objectivité. a ce titre, nous serions heureux de voir leur réaction par rapport à cette première “délocalisation” de l’hébergement des délégations. Pourtant Sidi-Bel-Abbès ne manque de moyens d’hébergement. L’Hôtel Beni-Tala, de haut de gamme, a confirmé qu’il n’a eu aucune approche mis à part ceux du Festival du Raï, qui a vu l’établissement héberger Cheb MAMI et RIM K, entre autres. Il y a bien aussi le Métropole I et II.
N. Ammouri
le 06 juillet 2012
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