Il semble que les représentants du CNES au sein des commissions paritaires et/ou de disciplines, sont là justement pour veiller en premier lieu sur la préservation des droits et devoirs des travailleurs de l’enseignement supérieur et, ne sont surtout pas caution des irrégularités manifestes qui mettent en péril la moralité et la probité de l’université. Il semblerait même contre toutes attentes, que les représentants syndicaux aient pris parti en faveur des contrevenants et, se sont rangés du coté des fraudeurs ce qui est par le moins, une énigme à lever . Nous n’étions pas au bout de nos peines, et la surprise nous vient du coté syndical qui n’ose se prononcer sur un dossier malheureusement limpide, et couvrir de ce fait les contrevenants, équivaut à une dérobade qui cadre mal une gène inexplicable. Faire passer des intérêts corporatistes, avant les intérêts de la communauté universitaire, c’est là un comportement que nous avouons ne pas comprendre. A moins qu’il y ait dans ce marécage nauséabond,un échange de bons procédés entre les acteurs de cette mascarade au détriment du prestige de l’institution universitaire.
(10 commentaires)
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S’il s’avérait qu’une commission paritaire dont le PV reste un document juridique engageant compétences,grades et qualités,…..occultait par la rétention et la dissimulation de documents un (ou plusieurs) faux et usages de faux,la complicité serait consommée et ses auteurs susceptibles d’être aussi poursuivis. L’enquête administrative et pédagogique est automatiquement suivie par un dépôt de plainte.
Je ne suis pas médecin ,
Je suis enseignant a l’université et je me sens éclaboussé INDIRECTEMENT par cette maudite affaire qui a été très mal gérée des le début . A cause de l’hégémonie d’un groupe et qui a sali tout le monde
Quand le manque de clairvoyance des membres de la commission paritaire nuit à l’image de l’université et des universitaires !
Vous avez complètement raison Docteur Ibrahim
Cette myopie croissante des membres de la commission paritaire limite l’efficacité de la sanction et lui ôte son caractère pédagogique et dissuasif .Pourquoi reportent-ils indéfiniment des réunions de la commission alors qu’il disposent des preuves flagrantes de faux et de falsifications .
L’ABOULIE
Définition de l’Aboulie c’est la pathologie qui s’étend dans le temps, entraînant un manque de volonté et une incapacité permanente à prendre des décisions. C’est la maladie qui atteint actuellement les membres de la commission paritaire.
Je dis cela car rien ne peux justifier le retard dans la prise de sanctions contre les fraudeurs qui ont commis l’irréparable. Les preuves sont incontestables, évidentes. Comparer un vrai document à d’un faux document est une chose aisée pour des universitaires chercheurs versés dans l’étude des ions et des électrons .
Messieurs les membres de la commission paritaire , la nation vous observe
Le temps de l’examen de conscience est arrivé .Sauvez l’honneur de l’université qui a été “violée par inceste “
Un cas d’école
L’histoire de ce scandale des fraudes est un cas d’école ,il doit être enseigné dans nos universités.Il est plein d’enseignement sur le fonctionnement de notre université ,et sur le comportement des usurpateurs qui utilisent leur fonction pour se fabriquer des faux diplômes . et pas n’importe qu’elle diplôme un Doctorat s’il vous plait . Soyons sans indulgence pour eux sinon ils serviront d’exemple et dans quelques années on aura plus de faux diplômes de de vrais diplômes
J’ai posé la question à un ami et il m’a répondu qu’il n y a plus aucun syndicat représentatif qui active à l’Université Djilali Liabes et surtout pas le CNES. On dit que les anciens du CNES de l’université ont pris leurs retraites ou qu’ils se sont retirés. Ceux qui actuellement au nom du CNES ne sont pas représentatifs des enseignants. Ce sont des usurpateurs. Pour ce qui de la question de fond , les textes réglementaires sont clairs et les concernés doivent être exclus de l’université à vie. Ce sont des parasites qui vivent sur le travail des autres. Il semble que le problème de notre université est plus grave que cela et le plagiat n’est que la partie visible de l’Iceberg.
monsieur Ammouri
Ce “marécage nauséabond” qui engloutit l’université de notre chère ville est une conséquence de la veulerie, de la lâcheté des certains speudo-scientifiques qui ne sont là que pour satisfaire leurs mesquins intérêts et se contre-fouent de l’ honorabilité de leur institution universitaire.
« le silence tue.” » oui le silence a déjà tué nos consciences ,car nos admettons plus facilement les malversations commises quotidiennement dans nos universités, et sans jamais prendre la peines de les dénoncer ni par les actes ni par la parole
Après toutes ces graves révélations
je n’ose pas croire que cela est arrivé a l’université et de surcroit dans la faculté des sciences exactes.
je n’ose pas admettre cet aveuglement volontaire ou non volontaire qui a laisser passer sous silence tant de fraudes
Je n’ose pas supporter qu’il a fallu trois longues années pour démarquer des fonctionnaires ripoux
C’est eux qui sont très très forts ou c’est l’administration qui est très malléable ou très incompétente