LETTRE OUVERTE AU PRESIDENT DE LA FAF

Monsieur,

Suite à l’entretien de Monsieur Rachid Abbad réalisé avec Monsieur Hamid Haddadj , paru sur votre périodique le 27/09/2011 sous le titre « Haddadj défend sa thèse du huis clos » j’ai l’honneur de vous transmettre cette modeste synthèse dans le but de recentrer le débat.
Sur le plan purement réglementaire monsieur Haddadj ne peut en aucun cas présider un organe juridictionnel de la FAF pour les deux raisons suivantes :
1- Il n’est pas juriste de formation
2- Il n’est pas membre indépendant par ce qu’appartenant à un organe de la FaF en sa qualité de membre de droit.
En se référant aux règlements de la FAF et à son code disciplinaire, il a perdu, encore une fois l’occasion de se taire. Ceux de la FIFA joints en annexe prouvent le contraire.
Le trio infernal (Rouaroua, Mecherara, Haddadj), dont les mains sont encore souillées du sang de ce pauvre spectateur tué par projectile tiré sur lui à bout portant par des supporteurs d’un club visiteur, n’a pas hésité à octroyer à ce dernier le gain du match.
Se plaçant en apôtres de la vertu, ce trio qui a les mains salies par la corruption devrait avoir la décence de ne pas parler de ces fléaux alors qu’il les a institués en système de gouvernance dans le football national.
Ils devraient dégager, dégager vite avant de se voir interdits par la FIFA d’exercer toute activité liée au football.

Salutations Sportives
Mohamed Benkada Abdelkader