Sidi Bel Abbes : Plus de 20 stagiaires ont pris part à la formation de pilotage

2EME STAGE DE PILOTE STAGIAIRE DE PARA-MOTEUR

L’école de l’aéro-club de Sidi bel Abbés, durant toute une semaine, a vécu un événement fabuleux, où pas moins de vingt stagiaires
ont pris part à un stage bloqué pour la formation de futurs pilotes de para-moteur, âgés entre seize ans et vingt-cinq ans, filles et garçons, sont venus découvrir les airs. L’expérience, la qualité du matériel et la sérénité ont été mis au service des élèves tout le long de leur formation, ainsi les meilleures conditions pour apprendre à voler en toute sécurité et surtout partager la passion, ont été les
maitres-mots de ce stage. Hier, la clôture de la deuxième session du stage de para-moteur qui s’est déroulé du 25 au 30 septembre 2013, seize stagiaires ont reçu de la main de leur instructeur pilote M. Yves Hélary des attestations de réussite du 1er degré. Saisissant cette opportunité, Ouest-Info s’est rapproché de M. Hélary Yves, très communicatif, a bien voulu répondre aux questions, écoutons-le:
Ouest Info : Qui peuvent voler en para-moteur ?
Yves Hélary : Tout le monde, à partir de l’âge de 15 ans, minimum requis pour passer le brevet ULM. Il n’y a pas de limite supérieure. Une condition physique moyenne suffit amplement. Le seul impératif est de ne pas avoir de problèmes de déplacement et de pouvoir
courir quelques mètres avec un poids de 20 kg sur le dos.
O-I :Faut-il un brevet pour piloter un para-moteur ?
Y-H : Je dirais oui, un paramoteur est considéré comme un ULM. Pour voler également en France ou autre pays, il faut passer le brevet théorique ULM et le brevet pratique livrer par un instructeur de para-moteur.
O-I : Comment se présente aujourd’hui le para-moteur ?
Y-H : Aujourd’hui, il se présente étant le plus léger et surtout facile à utiliser,facilement transportable dans le coffre de votre voiture. Facilité certes, sans pour autant négliger la constante rigidité dans l’apprentissage de l’envol.
O-I : Soyez plus explicite ?
Y-H : Et bien c’est simple, dès le premier du stage, il faut savoir maitriser rapidement les notions essentielles au contrôle de l’appareil.
La poursuite de la formation finalisera l’acquisition de la pratique manuelle de pilotage au sol pour enfin découvrir le vil.
O-I : De nombreuses techniques tant matérielles qu’éducatives sont mises à profit durant ce stage, qu’en est-il au juste ?
Y-H : Effectivement, les nouvelles techniques matérielles et éducatives mises a profit des stagiaires pour progression constante
avec des démonstrations, un groupe d’élèves, une vaste piste d’apprentissage, du matériel fiable et révisé régulièrement en
fonction du poids de l’individu. Le port du casque antibruit, intervention de l’instructeur au moyen de récepteurs-radio, à l’initiative
de l’instructeur, dans le but de parfaire un stage.
O-I : Et pour l’équipement ?
Y-H : Prêt du matériel de vol pendant la durée de la formation, ne sont pas fournis les vêtements de sport, les chaussures montantes pour les chevilles. Un éventail varié de matériel. Alti-vario, Ventimètre, Compte tours, Casques, Radios, Combinaisons de vol, Chaussures Accastillage, Manches à air et Châssis Mikalight.
O-I : Le dernier mot
Y-H : Eh bien, j’invite toute la rédaction d’Ouest Info pour lui faire découvrir en exclusivité le para-moteur et encore merci.

A. Hocine


Exhibition de vol au paramoteur à Sidi Bel abbes by sidibel-abbes

 

Un commentaire

  1. Oooooouuuuuufffffffffffffff…..!!!!..c’est une grande bouffée d’oxygène….ça nous fait oublier, ne serait ce que pour un instant, l’autre sens du verbe ‘voler’…..!!!!! Très belle exhibition de nos jeunes….elle fait rêver, jusqu’au point où pour la première fois, j’aimerais ne pas être une autruche pour pouvoir voler….!!!! D’autant plus que c’est beau de ‘voler’ sans devoir aller en prison…..!!!! c’est ce qu’on appelle avoir de la veine…..Bravo…!

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