Université de sidi bel abbes: Le jour où tout a basculé

la génération en lisant dans ces mémoires ils découvrent les
erreurs du passés à ne pas faire et ne pas refaire des expériences
qui ont déjà foirées et qu’il ne faut pas les reprendre. En
absence de la tradition de l’écriture et qu’on reste dans la
tradition dite orale, on ne pourra rien faire ni espérer quelques
chose..
Dans ma mémoire le jour du basculement de l’université d sidi bel
abbes était une parole dite par un ministre en visite a
l’université. Je n’étais pas présent mais les échos après son
départ font état qu’il avait lâché la phrase tant attendu, en
fait c’était ‘’une hache’’…ce qu’il avait laissé
échappé il dit en public ‘’les stages de courtes durée sont
en fait un moyen pour permettre a l’enseignant de prendre une
bouffé d’air a l’étranger’’ 
Il ne savait pas qu’elle serait exploitée c'est-à-dire que le
ministre avait donné l’autorisation de prendre une chose que la
loi lui avait fait des règles pour son usage..Sa parole détournée
de son sens avait ouvert l’université a toutes les dérives..On
avait commencé par les stages, chacun prenait son cota et c’est
devenu même une règle…’’chacun son tour’’..la science
avait été ce jour enterrée..Tout ce qui va suivre n’est en fait
entré dans cette logique….
Ce jour on a maudit la venue de ce ministre en manque
d’expérience..il détruit le trône sur lequel avec ses amis ils
sont assis..je ne me rappelle de la date de cette boutade mais je
la situe en 90/91..Les gens par jalousie qui était venus a
l’université sans diplôme sans bac et qui étaient chassés par les
industries en faillite avaient tout raflé, bien que certains d’entre
eux étaient corrects tant qu’il étaient dans les autres secteurs
sonelec, sonacome, agriculture, habitat etc…les habitudes du
trafic, du coup bas des tissages d’alliance, des syndicalistes
véreux, sont tous entrés a l’université pour profiter de la
phrase ministériel pour tout rendre ‘’halale’’ ou
licite…cette culture n’était pas dans les moeurs des
universitaires car un universitaires suivant un parcours de 20 ans
d’examens et de sacrifice aura comme même acquis une certaine
discipline..donc le problème ne venait pas du coté d’un
universitaire mais d’un véreux qui avait déjà utilisé des
passes-passes pour obtenir des notes dans son cursus..il était déjà
pré*disposé pour entrer dans le banditisme..Par contre les autres
universités du pays sont un peu a l’abri car il n y avait pas de
faillite de société nationale..le cas d’Oran et de Tlemcen sont
pas aussi catastrophique comme ici a bel abbes bien que le niveau de
l’université d’Oran et de Tlemcen a aussi lourdement chuté. Oran
a tété miné par la vente des diplôme non pas les enseignants mais
par un groupe véreux..Tlemcen était aussi miné par le même
protocole celui de former et ensuite envahir, elle te donne le faux
diplôme et ensuite elle te demande un service après vente….
Que devront nous faire ?? Démolir tout et ensuite repartir a zéro ??
Si je me permet de donner un avis d’un citoyen faudra tout
d’abords préserver les deux facultés de base ‘’médecine et
droit’’ en faisant sortir les sciences politique qui pollue les
sciences juridiques, je me demande qui avait fait ce mélange qui ne
se mélange jamais..par manque de savoir ou par intention..par aisance
les science juridique sont de nature neutre et les sciences politique
sont de nature partisane..Donc la chose est jouable y’a que 2
facultés a fermer et surveiller et appliquer sur elles les règlements
d’un ‘’institut’’ et non d’une faculté… l’institut
est une forme particulière de gestion..l’institut tient sa gestion
directement du ministre pas du Recteur…dans un institut ya pas de
syndicalisme..tu acceptes au départ les règles, si ça t’arrange
pas tu vas ailleurs c’est tout et cela est aussi valable pour les
étudiants..c’est cela la médecine et le droit ou tu acceptes ou tu change de filières…..un fois ces 2 instituts reviendront a la normalité en ce moment l’état pourra ouvrir et lever les contraintes pour les laisser passer en mode Faculté afin de bénéficier des avantages de liberté et de libertinage