Le terme notable m’a toujours posé problème et jusqu’alors aucun ne m’en a donné la même définition, au point où il faut distinguer les notables Algériens pendant la colonisation, les notables de l’Indépendance du pays, et là, vous convenez que ce n’est pas la même chose. Les amis de la France, notables choisis dans le dessein d’en glorifier l’œuvre, ne peuvent être assimilés aux notables tels que définis par notre Administration actuelle suite aux transformations sociales et aux bouleversements sociologiques par lesquels le pays a du passer. Dans le sens le plus proche qu’on donne à la notion de notable, sans verser dans une interprétation moyenâgeuse, est la prépondérance qu’on accorde à des personnes qui ont un ascendant ou une influence dans la société, qu’elles sont à même de représenter, selon le système de valeurs du groupe humain auquel elles s’adressent. C’est une notion très subjective chargée d’un sens très suspect pour les perfectionnistes d’une représentativité saine et sans arrières pensées que ce soit du côté du pouvoir ou du côté des notables, qui sont sensés être adoptés. Mon propos n’est pas de m’étendre sur l’aspect sociologique de cette représentation mais l’essentiel est d’attirer l’attention des autorités que les notables de notre ville ne peuvent être l’émanation ni de l’APC ni des partis actuels. Ils ne peuvent recommander qu’une population à leur mesure et particulièrement quand on soulève un problème qui fait l’unanimité de la ville par l’affection qu’on porte au club USMBA incapable de trouver un groupe pour se mobiliser autour de lui. Il y a de quoi réfléchir où sont passés ces notables. Ce qui me fait dire, qu’un notable quel qu’il soit doit taire ses intérêts et ceux de sa famille pour ne se concentrer que sur les conseils à prodiguer au bénéfice de sa ville par probité et compétence, par son influence et sa notoriété dans le domaine qui est le sien. C’est dire que les notables doivent se démarquer nettement des autres membres de la société. Les rumeurs colportées de ci et de là ne semblent pas donner à cette représentativité le chemin espéré par la société civile où, par définition, l’Administration, les élus, les membres responsables des partis n’ont pas à y être pour précisément laisser libre cours à un débat fructueux et constructif à même de se mettre en place sans autoritarisme ni élitisme, mais au bénéfice de la collectivité. Il faut aussi veiller que ces notables puissent consigner leurs points de vue ou leurs propositions par écrit pour donner du sérieux et du contenu à leur engouement. Ils nous ont déjà habitués à leur fanfaronnade, alors qu’en réunion, ils n’osent aucunement porter la contradiction, mais s’affairent au contraire à se préparer pour le banquet qui détendra l’atmosphère dans un cliquetis de couverts assourdissants par leur résonance. Notable ou société civile attention au mode de représentation pour éviter de dire mode de désignation. Il y va des bonnes intentions des pouvoirs publics. Dans la représentativité, le choix des notables doit être accordé en priorité à l’Université et à l’enseignement, à l’entreprise, aux professions libérales (avocats, notaires, architectes, urbanistes, médecins etc.…). Les comités de quartiers n’ont aucun rôle dans cette démarche, ils sont utiles dans d’autres perspectives, l’organisation des comités de cités qui obéissent à des prérogatives particulières, telles que la salubrité , la sécurité, le sport dans les cités, l’organisation des festivités etc. Quant aux notables , c’est le devenir à court et à long termes qui devrait les préoccuper . Un notable est capable de dévouement et d’abnégation et rêve de ce qui a de mieux pour sa ville, sans contrepartie déguisée ou avouée, loin de l’esprit apparatchik, arme principale de l’opportunisme .
Beldjillali@bel-abbes.info
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Bonsoir,
Confirmatif ! La foule est unanime selon les témoignages et les écrits qui ont alimenté les débats sur la Révolution Agraire. D’ailleurs les documents existent. Si Larbi n’était pas le seul à être contre la R.A de Boukharouba il y avait aussi Kaid ahmed,Medaghri, ….qui ont sans doute compris le jeu politique des « enjeux de clans» ! Ses « idées à lui d’un état fort et protecteur» n’étaient ni du égalitarisme ni collectivisme…mais pour saisir le sens politique : il faudrait « isoler » le plus important entre les textes et leurs mise en œuvres ! (près de six cent milles ha de terre nationalisées c’est bcp !Malheureusement un« boulot »attribué à Si larbi un gars de l’Ouest !!! ).
Mais d’un autre coté la réponse à la question posée par Smiley est limpide si l’on veut bien regarder du coté droit et gauche de notre Grand Pays !
Assurément ! L’Algérie n’est pas divisée en trois parties verticales par « pur hasard » et cela bien avant le 1 nov 54 (c’est-à-dire depuis les turcs) !!!
Boumediene voulait « nationaliser » non seulement le sol et le sous-sol mais aussi la société algérienne (qui n’est pourtant pas l’Etat ni la nation ! )Par un système qui lui est propre composée d’éléments plébéiens issus en majorité d’une région connue par son vent traditionnel désignant la partie la plus voisine de la direction du levant.
Il ne faut pas oublier que la Rév-Agraire de 1971 du régime de Boumediene !!! a commencé dés 1966 (comme avant projet) avec la nationalisation intégrale et limitative pour casser à jamais la «les notables khayma kabira nationaliste »! Alors ! Faut-il sacrifier le mouton ou le peuple(dixit K.Daoud) ?
Le peuple attendait après le 19 juin 1965 un vrai changement Novembriste !!! Hélas ! Boukharouba…… avait d’autres idées derrière la tête constatées durant la « guerre de libération » il avait besoin d’un ministre de l’ouest !!! pour « valider la catastrophe » ! il faudrait ainsi oublier les « comités de gestions 1963 de Benbela» et les Milles villages –une idée de la SAS et surtout les autres 13 années du président fainéant 78-91!
Le plus grave est que Boumediene en voulant créer un ETAT (avec ses Hommes et sa longue main ! Et cette analogie ALN et ANP et ….a finalement créé des mythes).Alors qu’il fallait d’abord « répondre » à la question ! Que ce qu’une TRIBUT ? Boumedienne disait à son biographe P.Balta : « il ne faudrait pas que les institutions devienne la vitrine de nos contradictions et nos régionalismes ».
Rares sont les études Historiographiques d’Historiens en Algérie qui ont abordé la question multidisciplinaire de la psychologie des foules et l’archétype des hommes politique algériens. Peut-on dire que Si Larbi a été dénaturé par une stratégie politique ? A t- il accepter son sort de membre de clan ? Puisque l’Histoire HB est un mythe ! la question doit être posée aux politologues. (Leca,vatin,Sivan,Gallissot,colonna…ont bien donner l’exemple). En tout cas Paul Balta a vogué aussi vers le mythe d’un « autre fils de pauvre » libérateur du pays. Et même Boudiaf n’a vu que du feu !
Merci.
Ah! Le 19 juin le lendemain du 18 juin cet appel sur radio Londres du grand Charles .
Sauf que ce jour il n’y-a-eu aucun appel tout a été fait en douce et là trouille à atteint son but.Tout fut Muselé et les oeillères furent portées et le regard droit devant.
Boum le grand démocrate n’avait pas peur du cumul des mandats car il était:
Chef de l’Etat
Ministre de la Défense
Chef du Conseil de la Révolution
Secretaire Général du Parti dans un premier temps
Et il faisait aussi fonction de Premier Ministre.
boukharouba ne craignait pas aussi les assassinats politiques
Salam Karim
J’avais bien identifié Si Larbi le Malgache sur la photo.
Une question me turlipine et peut-être aurais-t-u comme historien de profession la réponse:
Pourquoi diantre Mohamed Ben Brahim Boukharoubou qui avait nationalisé les deux noms des saints les plus prestigieux de l’oranie Houari ( Sidi Houari) et Boumediène ( Sidi Boumediene) pour se mettre à l’ombre de leur leur Baraka et jouer à l’homme de l’Ouest, a t-il nommé Tayebi Larbi Ministre de l’Agriculture, alors qu’il connaissait l’hostilité de ce dernier au projet de Révolution agraire?
De nombreux témoins rapportent des dissenssions entre les deux hommes.
Bonsoir,
Cher Smiley le «boumédiénisme» n’est pas seulement une manipulation de l’est et l’ouest et mais aussi le mythe du « retour » du Barnous très apprécié par Si Larbi !
Bonsoir Smiley ! A/S du rappel.
Le 19 juin 1965 fut un jour historique pour le n°4 sur la photo (la photo est prise avant ce jour j) !
Si Larbi regardez bien la photo. Il se place juste au milieu modestement
La suite de ce commentaire … ICI
Etonnant que de voir, comme cela, se dresser ( s’imposer à nous? ) devant nous et à partir d’une photo jaunie une liste de notables dont la majorité,et je n’ai absolument rien contre eux personnelement, n’est pas hablité de porter ce qualificatif.
Belabbes qui est une ville faite d’ administrateurs itinerants , n’a jamais vu ses enfants decider pour elle quoi que ce soit ,ni sur le plan urbanistique ni sur le plan economique ou sur un autre plan.
Chaque wali qui passe,laisse son empreinte indelibile et il ne revient qu’à lui de decider ce qui est bon ou pas bon pour la ville. alors je vois mal comment s’est constituee cette liste de notables, elle s’est peut etre constituee sur le nombre de villas coloniales qu’ils se sont accaparees au lendemain de l’indepandance ou sur d’autres criteres qu’on ne connait pas , j’ai besion d’etre eclairé.
Aujourd’hui c’est le 19 juin. Cela ne rappelle rien à personne?
Bonjour Smiley.
C le 171é jour de l’année 1965..:)
La venue de Boumedienne au pouvoir tout simplement! « EDDAIM ALLAH FI MOULKIH »
Salamou aalaykoum Smiley
Le 19 juin est le 170e jour de l’année du calendrier grégorien, le 171e en cas d’année bissextile. Il reste 195 jours avant la fin de l’année.
C’était généralement le 1er jour du mois de messidor dans le calendrier républicain français, officiellement dénommé jour du seigle.
Date possible mais exceptionnelle1 pour le solstice d’été dans l’hémisphère nord ; c’est alors le début de l’été dans cet hémisphère.
in other words……19 juin 1965
En Algérie…. Des tensions persistantes au sein du gouvernement algérien éclatent en 19 juin 1965!!!!????? « Khlass Ya Hmmimed (…….)……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………Pitiéé pas d’histoire!! j’ai eu ma dose ce matin Boutef?mokrane?Pourvu que le president travaille pour l’Algerie!!!
effectivement le 170é jour de l’année 1965.Merci.
hier c’était le 19 juin ,
tout comme ses acteurs qui ne sont plus de ce monde
par exemple sur cette photo souvenir , l’un d’entre eux .
Pour ne pas être HS !
je dirais c’est justement ce jour là ! qui a apporté la notabilité à certains .
NUL N’EST INDISPENSABLE OU ÉTERNEL sauf « oujh allah »
allah yarham mouminines sadikines
Versailles ne nous sera plus contée….et pour cause les cinémas ont arrêté de faire leur cinéma. Certains continueront de faire le leur.
Issus de la Grande tente, héritiers de la Kheïma Kbira, humbles fils du peuple, ou tout simplement des hommes devenus grands par la vertu de leur engagement et l’exemplarité de leur conduite,dispensez les des pièges de l’auto-fiction.
Méfions de ces mémoires incertaines qui construisent un univers parallèle à celui de la vraie vie, mais offrant un écart et un tropisme versant dans la glorification.
Beaucoup de ces ‘notables’ ont hélas été associés à la gestion du pays et au plus niveau de l’Executif, validant et avalisant toutes les mauvaises décisions qui ont mené le pays aux impasses du jour.
Le père d’un de ces notables, présent sur la photo se promenait le colt à la ceinture et injuriait copieusement tous les représentants de la lo dans un langage de charretier.
son fils était passé par Oujda et devenu intouchable!!!!.
Demandez aux gendarmes et aux policiers ce qu’ils ont subi et vous seriez édifiés sur le fait du prince.
Des hommes à la stature morale insumersible, tel que le docteur Hassani ne laisseront dans la mémoire que des louanges.
Les notables post-indépendance ne présentent pas tous le mëme brevet de respectabilité.
Des personnages interlopes aux identités incertianes se sont proclamés propriétaires du pays et de ses villes.
Pour ne pas sombrer, continuons à nous accrocher aux vestiges, vielles chansons, photos sépias et à tenir le compte de ce qui a été oblitéré.
Qui nous donnera les réponses à ce qui est resté sans suite,perdu, raté …pour devenir » matière sombre ».
Faut-il-il blâmer le messager ou le message?
Re-bonjour Smiley.
Qui est le véritable messager? Une tierce personne a posté ce message pour que le véritable messager apprécie le bruit de la pierre dans le puits. La notabilité c son genre avec le nombre 01. Il va rougir.
Cher Smiley,
D’autres temps d’autres mœurs : une révolution populiste aboutit à faire de ses acteurs de pâles copies substituées à leurs ennemis d’hier. Vous avez là la mesure de ce que veut dire « notables » pour nous.
Salutations
Afin de peindre d’une manière correcte ,il suffit d’utiliser une bonne palette en répartissant les couleurs du brun au clair en terminant par le blanc …..
C’est cette notion transcendantale que contient le terme « notable » qui est difficile à cerner du fait qu’elle n’appartient pas à notre culture tant et si bien que nous avons tendance à lui imputer une charge mystique, par rejet de son sens étymologique fortement marqué par une hiérarchie nobiliaire inspirée par des valeurs judéo-chrétiennes. Ceci étant, comme signalé par notre ami Senni, la photo n’est pas le sujet de l’article qui se voulait activité du moment où des instructions ont été données aux élus pour dégager une liste de notables. On sait au préalable et je cite : »qu’aucune idée n’est irrecevable, même la plus aberrante, même la plus odieuse. aucune idée, aucun propos, aucune croyance ne doivent échapper à la dérision, au ridicule, à l’humour, à la parodie, à la caricature, à la contrefaçon ».
Cette citation de Raoul Vaneigem est on ne peut plus significative pour donner au mot « notable » une connotation où la dérision prend tout son sens et particulièrement quand elle sauve du désespoir.
La photo n’est mise en valeur que pour souligner que nos anciens savaient taire leurs divergences pour ne se concentrer que sur des causes communes telles que le club USMBA ou pour se prononcer sur le devenir de la ville. Que la photo soit d’avant ou d’après le 19 juin est secondaire, le notable du temps présent n’a pas à se juger lui-même, il doit être coopté par la rumeur publique ou si vous voulez par la « vindicte populis », seules capables d’apprécier la probité, la compétence, l’engagement et la sincérité du « notable » qu’elles désirent, les caisses de résonnance on n’en a que faire : elles sont là pour assurer un rythme au discours de leur protégé ou de leur chef. Je relève tout de même que d’illustres personnages à mes yeux ne figurent pas dans ‘l’album » de famille : le Docteur Hassani Abdelkader, le débonnaire papa Chiali Abdelkrim, le discret Zouaoui Mohamed dit « Mustapha le Noir » ou Latrèche Mohamed dit « Si Hamma » pour ne citer au hasard que quelques Notables indiscutés. Alors qui est notable? Il y a de quoi s’interroger. Une cour a besoin de parade à l’occasion, elle ne s’embarrasse pas de se focaliser sur la date même si c’est après le 19 juin 1965. Une photo de famille est toujours trompeuse car s’intercalent aussi des « m’as-tu vu? ». Elle est aussi dotée de sa propre histoire que nos enfants auront loisir à interpréter.
Salam tout le monde….!!!!!
Surtout ne mélangeons pas les pinceaux….ou si vous préférez les torchons et les serviettes…………!!! Ibn Khaldoun possède la clé de l’énigme……………!!!!
les pinceaux sont mèlangès dèsormais!à savoir quelle couleur manions nous! pourvu que ce ne sera pas la « ROUGE »!!!
Bonsoir,
Il est intéressent de savoir si cette photo a été prise avant ou après le 19 juin 1965 ?
Il faut noter que le sujet pose AUSSI la question ! COMMENT ? Les Algériens sont devenus maitres dans la création des « MYTHES ». Ce « cliché » pose justement le MYTHE de la représentation locale avant même l’existence de assemblée communal.(APC en 1967). L’Algérien s’est forgé des mythes géniaux pour pouvoir croire en son esprit.
Le mythe des « notables » ! Qu’on ne peut observer ! Qu’on ne peut juger par l’intelligence ! Alors a quelle faculté humaine l’attribué ? A l’imagination fabulatrice des bel-abbésiens qui inopinément décident d’un regroupement pour le bien du sport local ?!
Certains diraient un groupe de notables! D’autres un « comité de sages» dans un but UNIFICATEUR (vague et ambigu) ! Se réunir pour finalement « instituer » un comité d’aide des sages de la ville. Me parait « FLOU ». C’est mon avis. La seule chose qui peut rendre le mythe faux, c’est de lui donner une réalité bêtement matérielle.
Maintenant ! C’est-à-dire 48 ans après! Peut on dire que ce comité est un « regroupement de « notables de la ville »(Les absents ont tjr tort) ! Une simple photo peut elle attester formellement une réalité ou une vérité ?
Un « groupe de notables ou de notoires» » dans chaque VILLE d’Algérie dans les circonstances de l’accouchement du PARTI UNIQUE FLN est devenu par le temps une « famille révolutionnaire » ! Le groupe a parait il fait des progrès énormes !
La photo semble être une réponse à la question posée par Belldjilali D: Qui prétend être « notable» ? Par un système notabilaire post indépendance qui n’était ni social ni économique ni culturel ni politique ….ni rien !
Il suffisait d’imaginer c’est tout ! Notable : Qui prétend l’être ? Les « notables »ont-ils des « titres » attestant leurs « notabilité » ? La fiche communale est elle une preuve de notabilité ?
Enfin être notable en Algérie donne-il le « droit – De Facto» de représenter le « peuple » ?
Notable en Algérie: est a mon avis la pire « notion subjective » jamais inventée pour créer des mythes.
Les notables? Je crois que ce sont des êtres exceptionnels dans ce sens que malgré leur simplicité et leur modestie, nous les sentons supérieurs. Ils donnent toujours et ne songent jamais à recevoir. Leur état d’esprit positif, leur action sociale, leur serviabilité, leur bienveillance… font que leur soit dû tout naturellement reconnaissance et vénération. Ces notables, on les trouve sympathiques et on les écoute. L’ascendant certain qu’ils exercent sur la société, aucune autorité ne le leur a attribué; ils l’ont acquis grâce à leur foi, leur culture et leur sagesse. Les notables d’antan nous manquent énormément et leur lucidité, leur intelligence, leur énergie nous font cruellement défaut. Ceux qui, de nos jours, parce que partisans du moindre effort et des moindres «frais», recourent à la ruse pour émerger de la foule, font fausse route. On fait fausse route lorsqu’on veut devenir savant sans apprendre, obtenir des diplômes sans étudier, s’enrichir sans travailler… en un mot, je dirais : les vrais notables ne ptétendent jamais l’être parce qu’ils le sont réellement. Bonne journée à tous!
Je partage votre approche sans ajouter mots.Merci.
Bonjour mon ami .
Je ne vois pas la relation entre la photo et votre question. Existe-t-il un lien entre la notion de notabilité et les personnes qui figurent sur cette photo? Si c le cas, vous avez d’emblée dirigé le débat en pointant votre choix selon votre définition. Effectivement, et sans citer de noms j’ai reconnu quelques personnages dont la sagesse et l’humilité ont imprégnés leurs parcours.Ils étaient respectables et respectueux. Je pense que votre idée était de focaliser la notion de notabilité à travers un groupe de personnes qui ont marqué la cité.
Si on prend le terme « notable » dans sa définition académique, je te prie mon ami de poser la question à la terre, ou aux cimetières de la cité même celles sur lesquelles les français on érigeait la ville au début du 19é siècle . La notion de temps est très importante selon la définition que vous voulez donner à la notabilité. Sidi Bel Abbès est une cité récente par rapport aux villes qui l’entourent et dont les populations ont bien occupé les terres des siècles auparavant bien avant la colonisation.
Si on évoque la notabilité dans l’utilité publique, les élus demeurent bien indiqués, car l’élu est choisi par les habitants de la cité.Malheureusement, dans notre pays la fraude et la chkara ont dénaturé les élections. Seule une société civile saine peut indiquer des notables parmi les hommes de sciences, les religieux, artistes et hommes de culture…..
Mon ami Beldjillali et à mon humble avis, vous avez d’emblée dénaturé le débat en mettant en exergue la photo. Mes amitiés.
En effet, j’approuve votre article, Mr Beldjilali, notre ville a besoin de personne n’ayant aucun rapport avec les partis, les comité de quartiers, les élus, l’administration, ils ne doivent etre que de simples citoyens aimant leur ville, mais possédant des qualifications qui serviraient à répondre aux problèmes soulevés.Donc médecins, architecte, avocat, enseignant universitaire, ingénieur etc etc, de simple citoyens n’ayant pas l’une de ses qualifications, mais reconnus de par la connaissance de la ville et de leur sagesse seraient les bienvenus.Et c’est ce monde là qui pourrait constituer le comité de la ville. Aussi, certain président de quartier reconnu pour leur honneteté et leur dynamisme pourrait renforcer ce comité- Cependant l’autorité qui serait chargé de faire ce choix pour aider la ville à se mettre sur pied doivent, faire attention Aux « Opportunistes », qui ne recherche que leur propres intérets et qui de par leur intégration au sein de ce comité de la ville, il ne songe qu’à faire partie de la « cour »- Enfin de compte , je dirais que nous n’avons nullement besoin de gens qui demain nous indisposeraient- Ici nous ne votons pas- nous assisterons à des choix alors que ces choix se fasse avec des enquettes, pour reconnaitre les « bons des mauvais »
Double problématique que posent messieurs Senni et Benkhelouf dans l’appréhension du terme notable qui peut renvoyer à « noble » et même à aristocratie.En sommes-nous là ?
D’autres pourraient renvoyer à cette majorité silencieuse qui perturbe souvent les statisticiens de la nomenklatura avec un petit n en période électorale tant cette dernière structure diffuse et confuse respire l’illettrisme,l’anti-citoyenneté et l’arrivisme de strates cassées et évacuées sur l’Agora du bouleversement socio-historique de 1962…
Les notables dans le sens petit bourgeois donc sociologique ont existé avant et après l’Indépendance;ceux qui intéressent aujourd’hui notre société civile en gestation sont uniquement ceux qui ont participé au combat politique indépendantiste;et ils ne sont pas légion ! Pourquoi ne pas insister(Sans focaliser) sur l’importance d’une photographie et son impact déterminant sur l’étude du contenu du texte…………. ?
Cordialement !
bonjour Si Benkhelouf;je vous assure qu’il y’a les bonhommes qui remplissent les critères que vous avez citè! ils travaillent sans qu’on les ressent;ils observent et ils ont peur pour leur dignitè! peut on qualifier cela manque de courage?je n’ai pas de rèponse! ce qui est sur c’est qu’il y’a des hommes qui peuvent ètre èlus sans protocoles ni dèmagogies ou mème sans « chkara »!
SALAM effectivement c’est une très belle photo ou je reconnais
plusieurs personnes dont CHIKHI respectable famille de SBA pour moi
oui c’était des notables de la ville ils étaient humbles et
rendaient service aux belabbésiens oui mais ça c’étaient avant de
nos jours les escrocs se font appeler notable.
je ne pense pas qu’on ferait une assemblèe pareille de nos jours!!! une photo mèmoriale qui rèsulte la vraie « belabbesianitè »!
Très belle photo d’archives proposée par le très modeste Nadir Belhadj CHIKHI à qui nous souhaitons un prompt rétablissement !
Le huitième homme debout à partir de la gauche est feu Chikhi Mohamed, mon oncle maternel….
Rendre à César ce qui est à César…. !