«DES LARMES POUR CHAIMA, CELA NE SUFFIT PLUS!»

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 Le père de CHAIMA gère une table près de la Mosquée du village, où il sert du thé. Il a pris pour habitude d’envoyer quelqu’un chez lui pour remplir les thermos quand la « marchandise » s’apprête à s’épuiser. Généralement, c’est la petite CHAIMA qui ouvre insouciante, la porte pour se charger de la « corvée » avec sa mère. Ce jour, croyant toujours, que c’est l’émissaire de son père, Elle ouvre la porte et…… disparait à jamais. Sa mère entendant des cris, accourt mais c’était déjà trop tard. La Picanto noire avait déjà démarré. La petite CHAIMA   a été retrouvée morte, assassinée et le corps abandonné dans un cimetière.

En apprenant la nouvelle qui passait en boucle dans les chaînes privées nationales, je m’attendais à une demande de rançon. Quelle ne fut ma surprise le lendemain, en feuilletant la presse, de découvrir, qu’en fait ses parents vivaient dans la mouise.

CHAIMA n’a été citée que parce que son douloureux cas est d’actualité. Il y en a plein d’autres enfants.

C’est  le 37ème enlèvement depuis le début de l’année. 37 kidnappings en l’espace d’une année, cela doit nous interpeler!  L’enlèvement des enfants devient une énigme cruelle et un acte barbare qui a tendance à croître dangereusement. Toutefois, les mobiles restent secrets du fait de l’absence de statistiques et de publications. C’est le sujet tabou et personne –surtout l’Etat – ne veut en parler. Cela va de la pédophilie au commerce d’organe, passant par la vente pour adoption par des couples riches mais inféconds.

Le nombre des victimes de pédophilie est plus important que celui traité par la justice : Telle est la conclusion d’une enquête dans une commune de 18 000 habitants de la wilaya d’Oran. Il reste quand même complexe d’avoir des chiffres exacts. Souvent, les victimes subissent les abus en silence, et du coup, les parents ignorent les souffrances de leurs enfants ou tentent d’étouffer ce qu’ils considèrent comme un scandale.

Le scandale n’éclate que suite au courage surhumain de certaines victimes ou alors de la part de témoins téméraires et à la conscience intacte.

Mais le paradoxe se trouve dans la sanction et le suivi des pédophiles. Condamnés, souvent oubliés dès leur libération, ce qui facilite la récidive. Plus grave,   certains sont accueillis avec les honneurs, et tout est  mis en œuvre  pour les déculpabiliser.

Le laxisme flagrant des différentes instances encourage les pédophiles à sévir encore une fois.

Sans que personne ne s’inquiète, un pédophile condamné pour abus sexuel   sur deux fillettes, fréquente de près des mineurs dès sa sortie de prison, révèle la précédente enquête. Il a pu légalement avoir un emploi  d’éducateur. Autrement dit, introduire le loup dans la bergerie, pour ne pas faire dans l’humour morbide.

La « honte » des victimes qui, au nom du sacro-saint honneur,  refuse de dénoncer les bourreaux,  le manque de communication avec les enfants qui leur interdit de parler de ce « genre de sujet » avec leurs parents,  l’absence de suivi des victimes et des bourreaux rendent  le phénomène non seulement complexe, mais prêt au développement ; et c’est ce que l’on constate, malheureusement.

A l’âge adulte, la victime devient le bourreau, ce dernier la victime, dans une Société qui a perdu désormais,  tous ses repères.

Des victimes devenues adultes  frémissent à chaque retrouvaille avec leurs violeurs.  Elles souffrent en silence.

Ceci pour la pédophile. Quid du trafic d’organe, de l’adoption clandestine par vente des enfants outre-mer ?

Là, le sujet est beaucoup plus complexe et surtout secret. Autant, la drogue traverse les frontières comme un morceau  gruyère, autant cela doit être pareil pour le trafic des enfants et de leurs organes vitaux, pour des riches malades au-delà des mers.

Rien n’exclue une connexion entre les barons de la drogue et ceux du commerce des enfants qui sévit entre pédophilie, trafic d’enfants et de leurs organes.

Cette situation nous interpelle tous en tant que citoyen d’abord, en tant que Musulmans ensuite.

On a plus droit au silence. Si les autorités concernées se murent dans le silence complice et dans la politique de l’autruche en enfonçant leurs gueules dans le sable, la société civile doit réagir. Les associations doivent activer. Des cellules d’écoute doivent être mises sur pied pour accompagner les victimes. D’autres cellules doivent suivre les coupables et faire la différence entre les malades qu’il faut suivre et soigner et les criminels qu’il faut châtier.

Il devient essentiel que des décisions très fermes doivent être prises,  afin d’épargner aux familles des drames tels que celui vécu par la famille de la petite CHAIMA.

La FOREM  a ouvert le bal en  réclamant le rétablissement de la peine de mort. C’est déjà une action. Il faut continuer à tous les niveaux, sinon, comment expliquer une quelconque indulgence à l’égard de ceux qui enlèvent, agressent sexuellement puis massacrent de petits enfants innocents?

La génération a venir des adultes algériens fait craindre le pire, si elle demeurent composée d’un côté d’hommes nés dans le maquis durant la décennie noire et   violés dans leur jeunesse et de l’autre côté de pédophiles et de barons de la drogue et du commerce d’enfants. Une alchimie décidément explosive !

djillali@bel-abbes.info

 

13 Replies to “«DES LARMES POUR CHAIMA, CELA NE SUFFIT PLUS!»”

  1. Salam à tous.
    Je salue tous les lecteurs et particulièrement Dziri et Le Cygne et vous souhaite une bonne et heureuse année.

    1. Mr Smiley, sincèrement, je vous remercie beaucoup pour vos meilleurs voeux………..Je vois que vous tenez toujours à votre jardin Botanique…..je ne sais pas si les herbes folles restent vos plantes préférées…mais votre petit tour amical à la BAI le prouve je crois. (rires) heuuuuu..!!!je veux dire sourire..
      Bonne et heureuse année à vous et à tous(tes)les lecteurs(rices)

  2. Mr Dillali C.,
    Passé le choc psychologique de la violence de l’évènement et écoulé le temps nécessaire à la « digestion » de sa forte charge émotionnelle, que penser de ce crime qui laisse sans voix et sur lequel il y aurait pourtant beaucoup à dire ? Et surtout, que faire ?
    Dans cette affaire, on aura tout d’abord remarqué le peu de communication, voir son absence, autour des nombreux cas de ce genre dont les taux de prévalence et de gravité vont crescendo. Lever l’omerta qui semble s’être abattue sur ces faits ignobles aurait permis à l’opinion publique une réelle et juste appréhension de ce type de criminalité et une meilleure compréhension des causes et des facteurs explicatifs de son inquiétant développement dans notre société, pour pouvoir en prémunir la collectivité.
    En deuxième lieu, et de la lecture que vous faites de cette agression innommable faite à l’innocence, on aura retenu un essai de typologie des agressions multiformes faites à l’enfance qui peuvent être sériées autour du triptyque de l’adoption, de la pédophilie et de la criminalité liée à la demande de rançon et au trafic d’organes.
    Tout en m’exprimant ici sous le contrôle d’experts dans ce domaine, il est paradoxal et curieux de constater qu’en matière d’adoption tout d’abord, et malgré les dispositions existantes dans notre législation en matière de « kafala » qui peuvent soulager la détresse de certains couples, que la société continue à aborder ce sujet avec circonspection et que les pouvoirs publics entourent de beaucoup de lenteurs la prise en charge de la majorité des cas qui leur sont soumis. Ces aspects dissuasifs poussent certains couples infertiles à faire appel à des pratiques répréhensibles d’enlèvements d’enfants en très bas âge, que ce soit au sein de leur propre famille ou en dehors, avec tous les trafics paperassiers et juridiques qu’ils induisent. Sans compter les drames que déclenchent le plus souvent ces formes brutales et traumatisantes « d’adoption » pour le développement psychologique de l’enfant au cours de son adolescence et de sa vie de jeune adulte, où la délinquance est parfois au bout de ce pénible et périlleux périple !
    Bien que les statistiques – tout au moins publiées – soit absentes ou quasi inexistantes dans ce domaine, il ne serait pas faux de dire que ces phénomènes, qui ont de tous temps existé dans notre société, ne sont restés pas restés marginaux , contenus et maîtrisés comme ils l’étaient dans le passé. Une réflexion sérieuse dans ce registre de la criminalité, en concertation la société civile, les hommes de religion et les législateurs permettrait de trouver, dans la pratique, des solutions adéquates et satisfaisantes aux lancinantes questions des couples privés d’enfants et de descendance.
    Pour ce qui est de la pédophilie, c’est encore un sujet tabou sur lequel la société jette un regard pudibond et réservé, avec le risque de sa banalisation par le silence observé, alors que des cas de plus en plus nombreux dans le temps ont ponctué ici et là, de manière dramatique, la vie d’enfants et d’adolescents qui ont croisé un jour un parent, un ami ou un étranger qui a irrémédiablement fait basculer leur vie. Là aussi, peu de chiffres, et peu d’informations permettant d’établir le profil du prédateur, dès lors que rien n’indique scientifiquement qui, quand et comment tel ou tel individu basculera fatalement sous la pression de ses pulsions. Les « docteurs des âmes » n’ont pas pu encore à ce jour pénétrer dans les profondeurs des comportements conscients ou inconscients des individus, et ne nous ont pas éclairés de manière déterminante par leurs connaissances dans ce domaine, pour désigner de manière imparables les comportements à risque. Les condamnations outrées et coléreuses, et les vitupérations énergiques et vigoureuses ne suffisent plus certes.
    Mais pour autant, une législation pénalisant fortement- y compris par la peine capitale – ce type de crimes et de délits serait-elle en mesure de juguler de manière significative l’évolution progressive de ce phénomène qui semble faire masse du fait de l’essor démographique ? Probablement, mais elle ne ferait qu’office d’emplâtre sur une jambe de bois, si en aval les délinquants et criminels étaient un jour relâchés dans la nature, au hasard d’une révision ou d’une réduction de peine ou d’une mesure de grâce possible, sans un suivi particulier, avec le risque potentiel de la récidive. Devant la prévalence de ces crimes, une stratégie initiée par des médecins, des hommes de loi et du culte et des moyens adéquats pour ce faire constituent une urgence criarde.
    Quant au troisième type de criminalité, celle des enlèvements et disparitions d’enfants de tous âges, que ce soit pour la demande de rançon ou pour le prélèvement d’organes au profit morbide « de gens qui n’acceptent pas de mourir un jour » (même si sur ce dernier aspect très peu d’éléments et d’informations sont en mesure de valider cette hypothèse du fait du silence qui entourerait curieusement cet éventuel type de criminalité), il est indéniable qu’il s’agit là d’un phénomène tout à fait nouveau et récent dans le registre du grand banditisme, et qu’il semble faire suite au terrorisme qui lui en a fait le lit, à tout le moins au plan de la méthode.
    A travers cette forme nouvelle de violence à l’égard de la population juvénile, criminalité faite de rapts et de meurtres qui s’exerce soit dans les zones et quartiers périphériques où s’entasse une « lumpenpopulation », récemment repoussée vers les grandes villes par les affres de la décennie noire et en proie aux difficultés économiques et sociales , soit à l’encontre de certaines franges aisées , cette grande délinquance constitue en tout état de cause un puissant indicateur du changement et de l’évolution de la société, dans la violence , inspirée et initiée par les nouvelles maffias qui se sont constituées dans ce domaine, motivée en dernier ressort par l’argent, et qui se déploient sans impunité dans le corps social.
    Ce qui est remarquable, c’est que beaucoup de citoyens , déboussolés et pris au dépourvu par cette violence qui bouleverse leurs référents moraux et leurs repères traditionnels, sont sidérés tout autant par la nouveauté et la brutalité de cette grande criminalité qui a fait irruption dans l’espace public et dans le champ de la vie privée, sans réaliser pour autant qu’elle est avant tout la conséquence de cette « ouverture », tout à fait inédite du pays au monde, ouverture à laquelle la plupart sont peu préparés, à travers les médias et les échanges , dans ce qu’elle comporte de bon mais surtout ,malheureusement, dans ce qu’elle renferme d’aspects les plus pervers. Mais aussi dans les dysfonctionnements de la société de plus en plus envahie par les entités délinquantes et maffieuses qui régissent le tissu social.
    Oui, notre environnement économique et social est désormais différent de par son âpreté, son agressivité et son corollaire, la violence. Le cas de la malheureuse et regrettée CHAMIA ( Que Dieu accueille cette innocente dans Son Vaste Paradis), s’inscrit dans cette redoutable conjoncture à laquelle la société et les pouvoirs publics devront s’atteler très sérieusement, pour en tirer les pédagogies adéquates et mettre en œuvre les moyens de lutte salutaires, loin des approches normatives du « il n’ya qu’à…faut qu’on… ».
    Dans l’intervalle, il faudra cesser de tomber dans l’angélisme et le moralisme face aux mutations de ce monde qui évolue, pas forcément dans le sens souhaité, et, devant les contingences et les réalités humaines, matérielles, morales et sociologiques du moment, rappeler aux parents, face aux dangers de la rue notamment, la nécessaire prévention et l’indispensable prise en charge de leur progéniture, dans l’attente d’un traitement fondamental, rapide et systématique de la question de la violence faite à l’enfance, et ce sous tous ses aspects.

    PS 1: Merci Mr Djillali C. pour vos encouragements à plus de contributions personnelles à votre journal. J’ai particulièrement apprécié le « focus » fait en une sur BAI à partir de mon simple commentaire d’un article, et à la suite duquel je me suis retrouvé dans une situation inédite et flatteuse pour moi, même si ma modestie a eu à en souffrir. Les sujets et les motifs ne manquent pas en ces temps particulièrement riches en évènements, tout aussi divers et interpellateurs, le plus souvent consternants. Cependant, et comme je m’en étais déjà expliqué avec vous, il serait présomptueux de ma part d’avoir un point de vue sur tout, avec le risque que cela comporte de passer pour un faiseur d’opinions. Alors je me contente dans ces cas de m’instruire de l’avis des autres, et c’est toujours plus intéressant « d’écouter » autrui sur ce journal, si je puis dire. Amitiés réciproques.

    PS2 : Merci également à Madame « le cygne » pour ses chaleureuses salutations, et qui ne finira pas de nous étonner avec la question du genre en ornithologie, mais dont on reconnait, au style, « un signe » qui, lui, ne trompe pas et qui est bien de CHez nous ! Recevez en retour, chère Madame, l’expression de ma respectueuse considération.

  3. La petite Chaima qui a été enlevée devant la porte de sa maison
    (wilaya de Tipaza) le jeudi soir dernier, a été retrouvée morte,
    assassinée. On rapporte que c’est le 37ème enlèvement depuis le
    début de l’année.

    37 kidnappings en l’espace d’une année, c’est beaucoup trop!
    Cette situation n’admet plus le silence et les autorités
    concernées doivent réagir promptement. Les médias aussi
    puisqu’ils ont un rôle particulier à jouer dans la sensibilisation
    de l’opinion publique.

    Tout le monde devrait en effet se sentir concerné. Il faut que ce
    problème soit analysé et débattu à tous les niveaux. Car il est
    nécessaire que des décisions très fermes soient prises afin
    d’épargner aux familles des drames tels que celui vécu par la
    famille de la petite Chaima.

    La FOREM (Fondation nationale pour la promotion de la santé et du
    développement de la recherche) a réclamé le rétablissement de la
    peine de mort. Cette revendication paraît tout à fait fondée.
    Sinon, comment expliquer une quelconque indulgence à l’égard de
    ceux qui enlèvent, agressent sexuellement puis assassinent de petits
    enfants innocents?

    1. La peine capitale n’est pas applicable en Algérie…le pays à signé le traité de protocole européen pour l’abolition de la peine de mort en 2002 …reste à savoir aussi, si le coupable est dans tout sont état mental et psychique pour l’ accuser de meurtre avec préméditation et circonstances aggravantes…l’Algérie à beaucoup changé !! ce genre de crimes sont nouveaux dans la société Algérienne..C’est l’enquête qui doit trancher sur l’identité d’un coupable. Il ne faut pas lésiner sur les moyens et aujourd’hui on sait tous qu’en criminologie ils ont des moyens infaillibles. J’espère qu’ils ont procédé à une autopsie avant d’enterrer la petite, car ils auraient pu trouver des preuve.

      Lorsque la peine de mort sera prononcé contre le coupable, ce ne serai pas bien de commencer à begayer faute de preuves infaillible. Il faut se préparer pour ce genre de situations avec minutie car il s’agit de montrer des dents a tous les autres lâches.
      Je souhaite aux parents beaucoup de courage.. Qu’ :Allah leur donne la patience et l’endurance pour traverser cette dure épreuve

  4. M. Djillali, Après mes salutations,

    « Cette situation nous interpelle tous en tant que citoyen d’abord, en tant que Musulmans ensuite ».

    La « société civile » à laquelle vous faites allusion n’aucune prérogative dans la gestion d’un pays et de son peuple !
    La gestion du pays avec son peuple est la prérogative des Elus. (par le peuple) Ces « clubs » sont des intrus dans notre société. Ils se démènent pour abolir la peine de mort, Loi Etablie par ALLAH, est vous le savez !

    Ceci dit, les dites « société civiles » sont – « par hasard » – toutes créées par des personnes émancipées de leurs us et coutumes et notamment de l’Islam, qu’ils l’ont en aversion !

    Celui qui créé le monde et sa peuplade n’a pas oublié de créer son mode de fonctionnement !

    M. Djillali, ce K comme d’autres passés et futurs doivent faire l’objet de la peine capitale telle que prévu par la loi d’ALLAH.

    Alors M. Djillali, Svp mettez l’Islam avant toute chose pour proposer des solutions et vous verrez que vous serez toujours dans mille ici et demain !

    Fraternelle salutations

    1. Salam Dziri,
      J’espère du fond de mon âme vous croyez sincèrement qu’on suit à la lettre notre religion qu’est l’Islam? avec tout ce qui se passe? Certes pas mal de gens suit les préceptes, de notre Saint-Qur’an,mais c’est comme une calebasse creux à l’intérieur,Ce qui est fondamental ce n’est pas uniquement prier c’est surtout les valeurs morales la conscience qui est infectée chez tant d’être-humains et qui causent du tord à la majorité des gens pieux, mais malheureusement,je crois que la plus part vont à la mosquée tout simplement par habitude et j’espère me trompé de par ce que j’ai vu au sein des mosquée je ne te le souhaiterai pas mais qui sait Allah sabhanou seul sait ce qui se dit dans nos âmes en espérant ne choquer personne de par mon commentaire,à bon entendeur salam.

      1. M Hakim
        Sallamou Alaykum et puis après !

        « Certes pas mal de gens suit les préceptes, de notre Saint-Qur’an, mais…. »

        Ce n’est pas aux « gens », à eux seuls, comme vous dites qui doivent suivre les préceptes du Qoran, mais le Gestionnaire du pays et du peuple.
        C eux les responsables de tous les maux par la société!
        Les préceptes du Qoran sont interdits en Algérie par les premiers responsables du Pays ! Ils légifèrent des lois contraires au Qoran et vous, vous étonnez du comportement dans les mosquées !
        Ce comportement dans la mosquée sera, j’espère un miroir pour le Muslim pieu pour vérifier son propre parcours.
        Oua Sallamou Alaykum.
        Ps : voila un dire d’un pieu muslim :
        حكَّام السوء
        حكَّام الدَّهرِ قَدْ ضلّوا , فقدْ بَانتْ خسارَتُهُم
        فَباعُوا الدٍينَ بالدُّنيا , فما رَبِحَتْ تجارَتُهُم

        1. Mr Dziri, permettez moi de vous dire que vous avez entièrement raison……….!
          Ce qui me chagrine le plus c’est que notre sort ainsi que celui de la planète soient entre les mains des minus-Habens…On arrête pas de voir,chaque jour, les résultats désastreux de leurs décisions, de leurs gestions, de leur égoïsme et de leur obstination….vous voyez où nous en sommes arrivés et malgré ça quand on dit aux nôtres que les remèdes se trouvent dans les concepts de la religion musulmane qui a été conçue par Notre Créateur…alors ils commencent à prendre toutes les déviations possibles sans se rendre compte qu’ils sont entrain de tourner en rond…Fiasco monumental sur toute la ligne…!!!!!
          L’être humain est entrain d’oeuvrer pour sa propre destruction……Tous les maux sont là pour le prouver….combien faudrait il encore de morts, d’enlèvements, de crimes, de viols, de vols, de pédophiles, de larmes, de cris et la liste est longue, pour qu’ils se rendent compte qu’ils ne sont pas sur le bon chemin….et que tous les bricolages qu’ils sont entrain de faire n’arrêteraient pas ces phénomènes qui ne doivent pas exister dans une société musulmane….Si la peine de mort doit être appliquée eh bien, qu’attendons nous pour la réinstaurer….demain, il sera peut être trop tard, car nul n’est à l’abri. Certains diront par égoïsme, après moi le déluge, mais ils le payeraient cher…
          Mme Mijo a dit une phrase clé: “l’Algérie a beaucoup changé !! ce genre de crimes sont nouveaux dans la société Algérienne..”…elle a raison, mais savons nous d’où ils proviennent et pourquoi..??? crevons l’abcès et arrêtons le bricolage…!!!
          Faut il suivre les lois et les règles de Notre Grand Créateur ou celles des minus créatus ???? Drôle de question…et attendez vous à de drôles de réponses..!

  5. Je crois qu’il ne faudrait pas oublier une autre cause encore plus grave qui poussent ces réseaux de malfaiteurs à commettre ces enlèvements et ces assassinats; c’est LE VOL D’ORGANES, qui se vendent partout à des prix exorbitants……dont les bénéfices vont à cette Mafia organisée qui ne semble pas être très inquiétée pour le moment………..!!!!
    Que Dieu puisse nous pardonner…….
    Allah yarhem ces petites filles ainsi que tous les musulmans..

  6. Bonjour cher Ami Djillali ! Probablement au moment où vous étiez en train de rédiger cette chronique , un autre crime crapuleux a été commis sur une fillette de 3 ans dans la wilaya D’Alger (Draria). Elle avait disparu de son domicile familiale , avant hier (Mardi) et retrouvée au fond d’un puits aujourd’hui,27 décembre, par son oncle.Le récit passe en boucle dans la chaine TV Ennahar .

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