Coupe d’Algérie: Sidi Bel-Abbès en liesse après la 2ème consécration de l’USMBA
SIDI BEL-ABBES – Une immense joie a régné dans la ville de Sidi Bel-Abbès après la victoire de l’USMBA face à la JS Kabylie en finale de la coupe d’Algérie au stade du 5 juillet d’Alger sur le score de 2/1, remportant pour la seconde fois ce trophée en 27 ans et devant la même équipe.
Après le sifflet final de l’arbitre international Abid Charef et la consécration de l’USMBA, les marées de supporters ayant suivi le match sur des écrans géants ont défilé dans la capitale de la Mékerra pour fêter l’exploit.
Les Crabes ont vécu sur les nerfs le match surtout tout en restant optimistes quant à la victoire après le premier but inscrit dès la 1ère minute de la première mi temps par Belahouel Hamza qui a doublé la marque au début de la deuxième manche. Les moments les plus difficiles pour le public bél-abbésiens étaient dans les dix dernières minutes du match.
« Le plus important est que les joueurs ont préservé l’avantage et nous ont offert le trophée », a déclaré un supporter, Mohamed Abbasi . »Notre équipe est forte et a su comment gérer le match méritant amplement la consécration en dépit des problèmes dont a souffert l’équipe, a-t-il ajoute.
Un jeune fan, Hamza a estimé que la génération qui a vécu la joie de la victoire de 1991 a réussi ce jour avec les poulains de Chérif El Ouazzani de vivre l’événement.
Des supporters qui sont resté figés en regardant le moment de consécration, la remise de la coupe au capitaine d’équipe Fares Benabderrahmane pour confirmer leur rêve tant attendu.
La joie et la fête ont désormais commencé dans la ville de Mékerra. L’histoire se répète 27 ans après. Sidi Bel-Abbès vibrent aux sons des klaxons de files de voitures sillonnant ses artères. Des supporters fidèles grands et petits ont répété avec enthousiasme « Maak Ya Lkhadra ». Des femmes ont été aussi sur le même refrain en fusant des youyou aux balcons.
La ville de Sidi Bel-Abbès vivra toute la nuit aux sons des klaxons, chants, pétards en attendant l’arrivée de l’équipe avec la coupe d’Algérie de la saison 2017-2018.
APS 02/05/2018
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Folle ambiance à Sidi Bel Abbès
Les Belabbésiens ont pris d’assaut les artères et les grands boulevards de la ville, et à travers plusieurs autres localités, pour exprimer leur bonheur à la suite de la coupe d’Algérie décrochée par le club.
Pourtant, la ville de Sidi bel Abbès a connu une matinée plutôt calme, marquée, il faut le relever, par une ambiance toute relative créée par les supporters qui sont restés sur les lieux pour suivre le match sur des écrans géants, installés au niveau des principales places publiques de la ville dont celle du 1er Novembre 1954.
La fièvre de dame Coupe s’est emparée de l’ensemble de la population, depuis plusieurs jours déjà, notamment après le succès réalisé en championnat au stade de Bologhine face au MC Alger, ce qui avait permis au club de garantir, quasi officiellement, son maintien en Ligue 1. L’effervescence a été donc à son comble durant la soirée dans toute la ville de Sidi Bel-Abbès pavoisée aux couleurs rouge et vert. C’est sous les sons stridents des klaxons et des youyous qui fusaient de partout que des supporters arboraient avec fierté des banderoles en hommage à ce prestigieux club créé en 1933, sillonnant les quartiers populaires de la ville avec des fanions, maillots, écharpes, banderoles symbolisant l’USMBA. La fête s’est poursuivie jusqu’à une heure tardive de la nuit.
S.Yassine (El Watan du 02/05/2018)
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Dans la lucarne : La double fête des abassis : On ne le dira jamais assez, la «dame» a choisi sans aucune fausse modestie son «courtisan».
On ne le dira jamais assez, la «dame» a choisi sans aucune fausse modestie son «courtisan». Son faible est allé à une équipe abassie étincelante, séduisante, pratiquant un football de qualité qui ne peut que donner du plaisir à ses fans, au public et aussi à tous les spectateurs et téléspectateurs. Elle a connu, en 90 minutes d’une empoignade serrée, une double fête. D’abord, celle des travailleurs, puis cette consécration en finale de la coupe d’Algérie devant la JSK sur le score de 2 à 1. C’est un peu l’histoire qui se répète pour une ville de Sidi Bel-Abbès qui n’en demandait pas tant. Ayant assuré leur maintien après leur victoire sur le MCA dans son fief de Bologhine, les gars de la Mekerra ont survolé la partie du début à la fin. De ce fait, ils n’ont nullement usurpé leur succès. Ils ont dominé et ils ont été efficaces et surtout plus entreprenants, plus volontaires sur la verte pelouse du 5-Juillet. Cette dernière a tenu le coup, et ce malgré le fait qu’en ouverture, il y eut la finale de la coupe d’Algérie militaire animée par nos «bidasses» où le dernier mot est revenu aux militaires de la 1re Région militaire, par un score assez large (5 à 0). La fête, ce jour, a été totale, avec un fair-play total, où les supporters des deux équipes ont été à la hauteur. Certes, la JSK était à un degré moindre par rapport à son vis-à-vis du jour, notamment au niveau de son axe défensif, trop lourd, de l’avis de l’ensemble des observateurs, la rencontre a été agréable à suivre. Ce qui a gratifié les présents et ceux qui étaient devant leurs «tubes cathodiques» d’un spectacle qui a dépassé largement la moyenne. Il y a lieu aussi de dire que la faute commise gratuitement pas Asselah sur Belhoucini n’avait pas permis aux Canaris de revenir à la marque. Une expulsion qui leur a coûté finalement cher. Au fond, les Abassis ont été au rendez-vous avec l’histoire, puisque 27 ans après leur premier sacre devant la JSK (2 à 0), en 1991, ils viennent de récidiver en excellant une deuxième fois suite à un superbe doublé de Belahouel qui fera date dans le palmarès de Bel-Abbès. Il y a lieu de relever le rôle joué par le service d’ordre qui avait mené d’une main de maître son travail en ne laissant rien filtrer. La sécurité a été assurée comme il se doit. Ce qui fait que tout s’est déroulé dans de très bonnes conditions dans et en dehors du terrain. Aujourd’hui, ce n’est que justice que cette ville, le «petit Paris», fête son deuxième trophée qui vient enrichir ainsi son palmarès. Après Abdi en 1991, Chérif El-Ouazzani vient d’assurer l’émulation, confirmant que cette «nouvelle vague» n’a rien à envier à l’épopée de ses aînés. Et c’est cela qui a été payant pour cet ensemble qui pratique un jeu chatoyant lorsque les conditions sont réunies. Bel-Abbès a été vraiment au summum en ne faisant que rééditer ses performances en championnat, malgré le fait qu’il a été victime d’une «machination» qui a fait qu’on lui soustrait injustement six points. Ce club a réussi à assurer son maintien et, désormais, il ressort comme le grand vainqueur. Ce n’est que justice pour ce groupe formidable, convoité par tous dans notre championnat d’élite. Le 5-Juillet a répondu comme il se doit aux attentes de tout le monde. Il a réussi à faire disputer deux matches sans aucun souci. Ce qui constitue, en soi, une grande victoire pour que la fête, à l’occasion du 1er mai, mais aussi de la finale de la coupe d’Algérie, soit omniprésente à Alger, à Bel-Abbès et dans tout l’Oranie. Les présents ont vécu de très bons moments, puisque le meilleur sur le terrain a vraiment gagné. Tant mieux pour notre football. À d’autres succès !
Hamid GharbiEl Moudjahid du 03/05/2018
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USMBA: La victoire du savoir-faire de Cherif El Ouazani
La victoire de l’USMBA contre la JSK (1-2) en finale de la Coupe d’Algérie aura été une juste consécration pour cette équipe qui connait une certaine stabilité au niveau de son staff technique notamment. La logique aura été respectée dans la mesure où une victoire de la JSK aurait été illogique, pour ne pas dire injuste.
C’est aussi une juste consécration de l’entraineur Si Tahar Cherif El Ouazzani qui est à la tête de cette équipe depuis deux saisons. Cet ancien milieu récupérateur de la sélection nationale des années 1990 a réussi à bâtir une équipe en deux années. Il est vrai qu’il a connu des difficultés en raison du manque de résultats dû au manque de moyens matériels et financiers, mais son savoir-faire a fini par prévaloir. L’ancien numéro 6 du MCO est l’élève du technicien allemand, Peter Schnittger, qui avait formé une poignée de techniciens algériens lorsqu’il avait occupé le poste de responsable de la direction technique nationale de la FAF dans les années 2004-2006. Cherif El Ouazani, Djamel Menad, Abdelkrim Aradji, Abdelkader Soltani et d’autres techniciens qui s’affirment aujourd’hui sur la scène footballistique nationale avaient été formés par Schnittger. D’autres techniciens encore plus jeunes, comme Kheireddine Madoui, Dziri Bilal, Omar Belatoui, Lamine Bougherrara et Hocine Achiou sont en train d’émerger et d’assurer la relève avec beaucoup de talent des entraîneurs de l’ancienne génération. Cherif El Ouazzani fait partie de cette nouvelle vague d’entraineurs dont le travail a fini par porter ses fruits.
Deux ans après son passage à Sidi Bel-Abbes, il a réussi à décrocher la Coupe d’Algérie. Il aurait pu prétendre à de meilleurs résultats en championnat si la FIFA n’avait pas défalqué six points à l’USMBA au début de cette saison en raison d’un litige financier avec un joueur étranger. En ce sens, la logique a été respectée lors de cette finale.
La JSK avait débuté la saison avec le scandale du stage de Tunis où deux entraineurs s’étaient présentés devant les joueurs. Ce malheureux épisode a été suivi de la destitution du président Mohand Cherif Hannachi, remplacé par Hamid Sadmi, lequel a été floué par des pseudo-investisseurs italiens. Sadmi a été remplacé par un directoire, avant que Cherif Mellal ne soit désigné président. Pour ce qui est de l’encadrement technique, la JSK a battu le record du nombre d’entraineurs en une seule saison. Le duo Rahmouni-Moussouni, puis Enrico Fabrico, Jean-Yves Chay, Azzedine Nait Djoudi, Noureddine Saâdi et Youcef Bouzidi s’y sont succédé. On est donc tenté de considérer que la défaite de la JSK en finale est justifiée, alors qu’une victoire aurait été une consécration injuste de l’instabilité. Bravo à l’USMBA !
par Kamel Mohamed Le quotidien d’Oran du 03/05/2018
d’accoirds mais lorsque l’allemand de bayerne de munich joue le foot c’est pour arere son cerveau et faire des muscle pour produire plus de voiture Golf et faire face aux asiatique. cvhez nous le foot et le domino et kasscroute karentika et l’etdiant fait medecine et geni cicile avec rondila cachir alors que bel abbes est 1000 fois plus riche que munich..ce n’est pas normal qu’un etduaindaint en genie civile qui doit monter les charge a 20 etage mange une rondella cachir dans son repas.? ou va l’aregent des repas?? alors que l’etat calcule le repas en fonction de l’energie depensé..alors on ne doit pas évoluer un peu?? faire comme l’europe..recruter de vrai cuisinier qui ont fait la formation en science culinaire..maintenant le raps est composé scientifiquement. tu me ramene un gardien et uen femme de menage en guise de rcuisinier?? un ragout a la situation des guerres intermonarchie en europe.. la cuisine de campagne de napoleon en et hitler et Louis XIV dans ces campagne derriere lui une charue avec des soeures d’eglise une prepare le ragout un poignée d’abricot dans un ocean de sauce sans tomate. allez frappe la soupe et va affronter les bolcheviques..
maintenant no, on n’est plus dance tte periode ya les robits ya les tracteur ya les achine ya les logiciel ya les ordinateur ya les four a microonde ya les anlyse physico chimique ya les ecoles ya les ensegnants ya les université ya le montage des vehicule ya Renault juste a coté ya le ciment a deux pas. ya sonelgaz qui fournit l’energie qui va en l’air sans rien faire..il faut bouger un peu vous allez rester rester dans le foot et le 3laoui?? le foot et le 3laoui comme les munichoix pares la fabrication de 100.000 golf et polo on fait la fete et avec un vrai cuisinier qui a étdudier les sicneces de la nutrition ce’ets une specialité en medecine de 10 ans d’etude et de recherche..d’accords vous allez rester dans rondila chachir pour nos etudiantrs et ecoliers?? hhhhhh
Toutes mes facilitations par le biais de BAI à l’USMBA pour ce second trophée