L’agression ne fait plus défaut, les auteurs des forfaits n’on qu’à décider pour s’en servir, le climat n’a pas l’air de leur fausser leurs projections criminelles. L’insécurité semble prendre de l’élan permettant un bond dans l’ingéniosité du crime. Les brigands s’illustrent devant l’absence d’une stratégie et de décision ferme des autorités.
Les services de sécurité ne savent plus sur quel pied danser. Les lois et les procédures demeurent brumeuses mettant l’ordre public dans l’incertain de ce qui est juste ou pas, empêchant ainsi l’efficacité et le résultat souhaité, peinant lourdement la sécurité du citoyen.
Tout est permis et tout est utilisé pour subtiliser sa victime, les agressions s’intensifient, les mobylettes sont bien partout à la vue de chacun, elles roulent même dans tous les sens ne respectant ni plaques de signalisation ni feux de croisement et pratiquent sans crainte ni peur, le code de »l’inde », la droite c’est la gauche et vice-versa et personne ne veut mettre fin à ce désordre.
Une liberté qui les a poussé à en faire de leurs victimes de véritables gibiers qu’ils traquent partout dans la ville patrouillant à pieds et sur leurs motos. La poste en est le lieu préféré et constitue le point de départ de leurs plans, du moment que c’est de là qu’on retire son argent. La foule intense et l’absence de cameras sont favorables.
La jeune fille aux initiales ‘’O.S’’ âgée de 31 ans avec sa compagne travaillant dans le cadre de L’ANEM a retiré de l’argent de son compte ccp de la grande poste. En sortant, elles prirent le chemin vers la station de taxis de TENIRA jusqu’au bâtiments italiens pour déposer sa compagne qui habite dans le quartier. Sauf que pour leur grand malheur, elles furent suivies tout le long de ce trajet par deux jeunes sur une mobylette et se sont fait intercepté avec des armes blanches. La fille ‘’O.S’’ montrant une résistance, a reçu un coup de couteau au flanc qui aurait pu lui être fatal. Elle fut délestée de son sac à main comportant sa carte d’identité et celles de ces deux sœur ‘’O.H’’ et ‘’O.Y’’, de 3 carnets de formules de chèques, plus une somme d’argent de 16.000 dinars.
La fille est allée à l’hôpital Hassani Aek où elle a reçu des soins, sa blessure a nécessité trois points de sutures. Une plainte fut déposée au prés de la 9éme sûreté urbaine de sidi bel-abbés.
ces agressions sont multiples à travers le monde entier,c’est les moeurs qui font defaut!
J’ai de la peine pour mon ALGERIE