La globalisation, la mondialisation, l’internationalisation, et la financiarisation sont les nouveaux costumes des oligarques

Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise. Adam Smith

La conception de l’ultralibéralisme de ce 21siecle n’est que le modèle systémique du capitalisme du siècle passé , une seule pensée, pour un seul profit .Ce modèle de l’ultralibéralisme conceptuel moderne cautionne le même objectif de la reproduction élargie du capital dans le cadre d’un système monopoliste ou la création de la richesse n’est pas aussi importante que le profit en lui-même devant la financiarisation de la monnaie Dollars( crédits-dettes-planche a billet…. ). Actuellement, la croissance de la masse monétaire (et donc des dettes) a été confondue avec la croissance économique d’hier. La nouvelle industrie bancaire ou plutôt financière se nourrit principalement d’intérêts sur de l’argent qui n’existe pas (crédit) et qu’elle crée avec la bénédiction des autorités qui leur ont conféré leur propre privilège.schema1-art1936[1]

Les théories néolibérales : leur stratégie consiste en fait à créer des crises( nouveaux profits) d’une part et d’endetter les pays d’autre spart, en distribuant l’argent du trésor public aux banques, aux entreprises et aux gros bonnets ainsi pour la paix sociale comme en Algérie des prêts dont le remboursement n’est pas du tout garantis sinon détourné ( argent de l’ANSEJ pour le mariage des jeune c’est M Sallal qui l’a dit). Pendant la crise, c’est-à-dire lorsque les caisses de l’état tarissent comme en 1988, la meilleurs stratégie étant l’application des trois dogmes du capitalisme à savoir la privatisation à outrance, la déréglementation ( le moins état) et une attaque de front pour la réduction des système de la protection sociale , la santé, l’éducation et même les retraites qui sont touchées. Le transfert en milliards vers le capital privé et les banques (marchés financiers) c’est la bourgeoisie compradore nouvelle d’un coté , de l’autre coté la misère pour les salariés, sinon pour la plèbe.
L’utilisation des mêmes instruments servant à l’accumulation du profit, à la valorisation de la plus value, que nous aborderont par la suite pour mieux expliquer et imager la situation évolutive du capital industriel en capital financier. Les nouveaux concepts monopolistes de l’ultra libéralisme sont :
*1- L’internationalisation de l’économie. : est représentée par la mobilité des capitaux ou la concurrence devient direct entre les différents citoyens de la planète pour trouver du travail a bon marché et entre les états pour trouver les sources de financement.
*2– la mondialisation : elle a permis de donner un grand avantage au capital sur le travail. Ce qui fait les pays les plus attractifs dont ceux qui ont un programme économique qui est mis en œuvre et qui est le plus compétitif en termes de couts.
*3– la globalisation : la signification de globaliser veut dire réunir l’ensemble des éléments(des moyens de production)constituant une économie en un tout homogène ou globale .La globalisation est ce processus d’internationalisation des transactions commerciales, financières, technologiques et industrielles, Ce processus est lié à la libération et à l’intégration économique dans le sens de la libre circulation des biens et services( échange ) ,des hommes( migration internationale), des capitaux( mouvement des capitaux) ,de la technologie ,du savoir et des connaissances. Les entreprises internationales (multinationales) préparent leurs stratégies économiques à l’échelle planétaire par une :
*globalisation commerciale
*globalisation financière
* globalisation d’autres secteurs (politique-culturelle…).

*4- la financiarisation est le recours au financement de l’économie par un système d’endettement de la part de tous les agents économiques.

On appelle par ailleurs financiarisation de l’économie la part croissante des activités financières (services de banque, d’assurance et de placements) dans le PIB. Cette financiarisation est issue via un taux composé d’usure d’actifs financiers.
C’est avec ces nouveaux concepts que le monde d’aujourd’hui est confronté durement, la nouvelle oligarchie qui impose sa pensée unique en économie et aux finances. Ils se basent sur des structures bancaires et financières, ces oligarchies tirent leurs forces matérielles, financières et spirituelles et leurs pouvoirs à l’échelle mondiale. L’analyse portera sur les aspects purement économiques, industriels, commerciaux et financiers selon les concepts de l’économie classique en l’occurrence la théorie marxiste.
Deux sources de profits :
-l’un de « l’entreprise industrielle »
-et l’autre de « l’industrie financière » ou bancaire
Pour mieux situé la guerre des profits dont l’un avec sa contrepartie matérielle et l’autre sans autre contrepartie (usure).
Les facteurs politiques, idéologiques et sociologiques ne seront pas pris en considération dans notre modeste contribution, pour ne pas trop s’emballer dans le circuit de la théorie de Rosa Luxembourg*1 ou celle de Lénine*2 qui ont très bien développé les étapes de l’impérialisme né du développement du capitalisme suprême dont le passage d’une étapes à l’autre est due aux crises systémiques c’est-à-dire l’apparition de contradictions dans le mode de production et de rapports de production capitaliste .
La théorie marxiste portant sur le capitalisme en tant que mode et rapport de production conduit à un stade de développement provoquant une crise systémique repose sur des règles canoniques que nous allons énoncer, exprimer et préciser sommairement pour mieux situer la part du profit qui génère l’accumulation du capital et celle qui tire le plus de profit via la location et la spéculation de l’argent:

C’est quoi la conception de la loi de la valeur :

Les principales théories objectives de la valeur ont été conceptualisées par les classiques A. Smith*3 – Ricardo*4- et K. Marx*5, elles sont « objectives » parce que ces sommités ont découvert un critère objectif, adaptable en tout temps et en tout lieu, qui permet de déterminer ce qui justifie, fonde et de réfère la valeur de toute chose. D’où la notion de valeur d’usage et valeur d’échange. Adam Smith disait que « Le travail est donc la mesure réelle de la valeur échangeable de toute marchandise », tandis que D.Ricardo ajoute la conception de la rareté à la valeur. Si nous comptabilisons la richesse d’une nation ou même de l’ensemble du système capitaliste que se soit en micro ou en macro économique la loi de la valeur n’exprime par principe qu’une journée de travail d’un travailleur produit une valeur « V » .Cette valeur est composée selon la théorie marxiste de :

Salaire nécessaire pour le travailleur pour sa subsistance, sa famille et sa reproduction que l’on désigne par capital variable « Cv ».
L’amortissement ou le remboursement des moyens de production représenté par le capital fixe « Cf » (machines+bâtiments….) et le capital circulant (énergie+ matière première…).Cc
Une plus value « Pv » ou surtravail, qui est une partie de la valeur travail revenant au propriétaire (capitaliste) des moyens de production.

Par conséquent,

la valeur du travail se compose ainsi : Valeur= Cv (a)+Cc (b)+Pv (c).

Qu’est ce que la loi de la plus-value :

C’est la partie du travail c’est-à-dire de la valeur du travail exproprié par le propriétaire des moyens de production, est appelée plus-value( Pv), constitue l’essence de la philosophie même de l’économie dite capitaliste.
Cette plus –value peut être fragmentée en :
*Dividende industriel (profits sur des obligations et actions) ou un réinvestissement prochain « D ».
*Bénéfice financier « Bf » qu’il soit usuraire- bancaire-intérêt, ces actions sont l’ébauche de la spéculation. Cette spéculation est génératrice d’inflation car il n y a pas de production de richesse mais une croissance monétaire induite par l’intérêt.
* rente foncière « R ».
*bénéfice commercial « Bc ».
Le bénéfice commercial, financier et la rente foncière sont des ponctions non productifs sur le capital rentable et empêchent sa profitabilité, par conséquent la reproduction élargie du capital, pour une grande richesse est freinée.
Lorsque la rente foncière et les deux bénéfices( R, Bf, Bc) étaient moins importants( stade primaire du capitalisme ou capitalisme industriel) dans le cycle circulation-reproduction élargie du capital , l’empêchement de la reproduction élargie du capital se faisait tant bien que mal. La croissance économique faisait bouger vers le haut l’emploi et la richesse matérielle. C’est toute l’infrastructure économique qui baignait dans le bien être et le développement matériel.
Aujourd’hui en macro économie, ces ponctions (R+Bf+Bc) sont devenues de plus en plus importantes, ce qui fait, elles entravent la reproduction du capital et deviennent une source de tensions entre le capitalisme industriel (dont la fonction principale est la reproduction du capital donc création de richesse) et le capitalisme financier (spéculation stérile croissance monétaire induite par le taux d’intérêt). L’economie des grands pays capitalistes, produisent aujourd’hui moins de plus value (croissance très faible), mais beaucoup de bénéfices financiers (beaucoup de profits sur la spéculation boursière). L’accumulation du capital, la valorisation du capital et le réinvestissement dans le monde capitaliste (USA et Occident) se trouve dans une situation de « sans issue » pour ne pas dire de « crise ».
C’est le passage du capitalisme industriel au capitalisme financier.
Par ailleurs, les pays producteurs de matières première( énergie, pétrole et gaz et autres matières premières) sont confinés par des groupes de pression interne et externe pour gérer à leur façon improductif la rente pétrolière comme c’est le cas de l’Algérie dont elle ne possède aucune stratégie, ni modèle de développement économique pour la mise en place d’une infrastructure économique génératrice de richesses sinon une spéculation à partir de biens importés , un conteneur est plus rentable qu’ une unité créatrice de valeur ajoutée.
Cette stagnation de la croissance sinon de la récession des grands pays entraine forcement une baisse des prix des matières premières (demande diminue) y compris le pétrole. Nous constatons que la chute des prix du pétrole conduira certains pays à une révision austère et probable de leur politique budgétaire. Par conséquent, leurs revenus chutent, tandis que les dividendes issus des sources de la spéculation boursière sont à un niveau plus qu’appréciable. Les valeurs ou transactions sur le marché de changes internationaux drainent des titres, des obligations et des actions qui certes, produisent des bénéfices gigantesques sans aucune contrepartie en valeur réelle ou produit palpable.
La création de richesse ou de valeur ont tendance à stagner (croissance nulle) sinon baisser (croissance négative). La valeur ne peut exister sans création de marchandises nouvelles quelque soit sa nature qui doit en principe acquérir et réaliser de la valeur.

3-au fait c’est quoi la loi du salaire social :
Les impositions fiscales et parafiscales que l’état opère sur les deux catégories de la valeur produite c’est-à-dire , salaires des travailleurs productifs et la plus value sert a alimenter le budget de l’état et de redistribuer le salaire que l’on défini comme « salaire social » aux secteurs utiles et nécessaires de l’état( armée- police-éducation-santé….).

4-la loi de la valorisation du capital :
Dans une économie de croissance (capitalisme industriel), le processus de reproduction du capital élargie et celui de la valorisation du travail permettant de produire la plus value pour ensuite la réinvestir dans ce même circuit pour rapporter encore plus (reproduction du capital élargi).
Quant il n’y a pas de salaires nécessaires au niveau de l’atelier, de l’entreprise, de l’usine… qui puisse générer de la plus value, par conséquent il ne peut y avoir d’effet qui puisse engendrer un accroissement cumulatif des capitaux.
Nous constatons par ailleurs, que les banques font des produits faramineux tandis que la production de biens et services stagnes et le chômage augmente parce que le cycle de reproduction pour booster la croissance ne trouve pas de plus values nécessaires pour sa nourriture et donc on dit qu’il y a stagnation, récession ou décroissance économique.

5- c’est quoi cette loi qui transforme l’argent en marchandise :
La formule contenue dans la théorie d’économie politique marxiste portant sur la circulation de l’argent capital-A- ,se transformant en marchandises-M- puis sa transformation en argent –A-( A-M-A’). Cette formule s’accommode bien au niveau de notre économie de Bazard ou la commercialisation des biens acquit par la rente pétrolière reste la fonction principale .Notre marché de biens et services se graisse bien avec la rente .
La rente est distribuée par l’état sous forme de prêts, dont le système de remboursement reste en deca (ANSEJ-prêts bateaux de pèche-prêt agriculture…), et la quantité de monnaie en circulation s’amplifie de prêts rentiers en prêts rentiers ou de crédits à crédits sans aune création de valeur ou de marchandises réelles et concrète produite à l’intérieur du pays. Cette masse d’argent injecté dans le circuit sans aucune contrepartie en valeur provoque une dévalorisation de l’argent en circulation (inflation monétaire).L’état rentier dérobe des valeurs de tout les détenteurs de l’argent en circulation, on dit que l’état déprécie la valeur du dinar exemple en 1980 la plaquette d’œuf valait 30DA aujourd’hui elle coute 300DA.

« A-M-A » cette formule marxiste marque l’inflation et engendre la dévaluation monétaire
6-la loi sur le taux de profit :
Une augmentation envisagée de la plus value , ne peut se faire que par un surcroit du travail vivant du travailleur( capital variable Cv) , cet excédent de la force vive du travail s’appelle la productivité du travail . Le gain de la productivité du travail entraine manifestement une innovation du capital fixe (Cf robotisation) du processus de production. Par conséquent cet accroissement du « capital fixe » et « variable » entraine une limitation de la plus value car celle-ci est issue uniquement du travail vivant et non de l’exploitation du capital fixe et constant. Cette baisse du taux de la plus value étant aussi nécessaire et utile pour l’accumulation du capital est du principalement a une valorisation, une reproduction de valeur et une circulation du capital.
L’ analyse marxiste de l’ économie politique est conforme à l’analyse économique contemporaine car le mode de production capitaliste est toujours à la une et à ce jour , les explications et les justifications de son fonctionnement à partir des règles logiques et indubitables que K.Marx avait théorisée qu’ elles soient une économie capitaliste-néolibérale-ultralibérale –dirigiste- socialiste ou autre …
Cette conception nouvelle montrent notamment les ravages causés par le passage d’un capitalisme à dominante industrielle, recherchant le profit sur le long terme, à un capitalisme financier, plus préoccupé par des gains rapides au risque de compromettre l’avenir.
Cette financiarisation dans la globalisation d’économie planétaire est bien illustrée par le fait que le groupe du G7 sont aujourd’hui les pays où les actionnaires sont les mieux rémunérés. Une telle générosité alors même que la crise touche toujours fortement l’économie US et européenne, elle est liée principalement à la mise en place de politiques sacrifiant l’avenir des entreprises pour assurer des gains rapides. Les dividendes versés aux actionnaires constituaient ainsi une part importante des sommes consacrées aux investissements par les entreprises.
Aujourd’hui, le rapport s’est inversé puisqu’ils représentent une bonne proportion pour les investissements. Ce renoncement d’une logique créative dite « industrielle » au profit d’une autre logique à gain facile, purement financière est singularisé par la masse de plus en plus importante acquise par les fonds d’investissement dans l’économie mondiale. Il est ainsi beaucoup trop facile d’affirmer que la désindustrialisation ou la délocalisation des pays européens serait due principalement à ses coûts salariaux et à l’importance des taux d’imposition et de cotisation, la politique de l’offre est consignée par une diminution du cout de travail suivit d’une diminution de la taxe du capital par contre la politique de la demande est basée sur le déficit commercial suivit de la délocalisation des moyens de production .
Le problème est bien davantage lié au développement d’une nouvelle logique de prédation, qui vise à une rentabilité maximale sur le court terme en sacrifiant l’avenir et l’essence même des entreprises. Un capital super puissant (multinationales) appartenant à une caste oligarchique au détriment des états endettée exemple de la Grèce-le Portugal- l’Espagne…
Par conséquent, l’économie mondiale se trouve désormais dans une phase de « crack-up » (« disjoncter ») et ce, pour ces quelques raisons suivantes retenues :
-* Les états aidés par les banques centrales nationalisent toutes les pertes des banques commerciales pour plus de bénéfices au profit des riches et mènent des coupes budgétaires pour mieux repartir l’austérité à l’ensemble des peuples.
-* l’instabilité et le désordre sur les marchés financiers : le marché de la dette par exemple dévoile donc ce contresens de la crise du marché en général et de la manière dont le système capitaliste est entrée dans sa phase impotente. Le marché boursier est totalement débranché de l’économie réelle. Les taux d’intérêts sur les obligations souveraines sont devenus irrationnels. Mais tous les pays européens sont pris dans le piège de la dette, les risques sont énormes voir le cas de la Grèce.

-* La déflation mondiale et les cours mondiaux des matières premières :
Les investissements sont maintenant en instance , ce qui est prévisible de provoquer une énorme déflation sur les matières premières et les prix des produits industriels cas du minerai de fer, du pétrole…..
Par conséquent, la crise de ce système capitaliste a en effet occasionnée une augmentation de la dette publique, l’économie capitaliste n’a pas d’explication convaincante à ce jour tandis le marxisme fonde une explication intéressante ; ainsi le problème est tellement simple : le capitalisme est moins productif, les profits proviennent en général du travail non rétribué des travailleurs (plus value) .
Pour soutenir la compétition à l’échelle mondiale, les capitalistes commutent le travail avec les machines, par conséquent plus une économie capitaliste se développe moins de profits se dégagent de la production.
La financiarisation n’est qu’un faux remède une sorte d’un subterfuge provisoire dans le temps et inutile car il sert à fausser pour feinter la contradiction du système capitaliste c’est pourquoi la dette représente le fond du puits du système capitaliste et le combat se prépare entre les USA et la chine d’aujourd’hui et chez nous en miniature, la guerre de la dette de l’ANSEJ, des agriculteurs, des pécheurs est en train de chauffer les canons , le bruits viendra surement et la casse certainement car le duel reste la finance face à la production car le taux d’intérêt est l’élément principal de régulation économique le plus important et ce depuis l’apparition de l’économie d’échange suivit de ces deux barrières qui font la une de l’économie mondiale :
* la première barrière est celle qui est telle que l’épargnant ne perde pas en prêtant son argent.
* la seconde barrière celle qui permet à l’entreprise d’emprunter et d’investir avec profit cette seconde barrière n’est rien d’autre que le taux de rentabilité du capital investi.

BENALLAL MOHAMED

Wikipédia nous donne un aperçu sur les personnages suivants
1* Rosa Luxemburg est une militante socialiste et théoricienne marxiste, née à Zamość le 5 mars 1871. Née sujette polonaise de l’Empire russe, elle prit la nationalité allemande afin de poursuivre en Allemagne son militantisme socialiste.
2* Vladimir Ilitch Oulianov, dit Lénine, né à Simbirsk le 22 avril 1870 et mort à Vichnie Gorki le 21 janvier 1924, est un révolutionnaire, théoricien politique et homme d’État russe.
3* Adam Smith est un philosophe et économiste britannique des Lumières. Il reste dans l’histoire comme le père des sciences économiques modernes, dont l’œuvre principale, La Richesse des nations, est un des textes fondateurs du libéralisme économique.
4* David Ricardo, né le 19 avril 1772 à Londres et mort le 11 septembre 1823 à Gatcombe Park, est un économiste britannique et également un agent de change et un député.
5* Karl Heinrich Marx, né le 5 mai 1818 à Trèves en Rhénanie et mort le 14 mars 1883 à Londres, est un historien, journaliste, philosophe, économiste, sociologue, essayiste, théoricien de la révolution, socialiste et communiste allemand.