DE FAUX CERTIFICATS D’APTITUDE PROFESSIONNELLE DANS LES DOSSIERS ANSEJ
28 individus dont 6 femmes en prison et 7 autres sous contrôle judiciaire
Le trafic des certificats de scolarité et même des diplômes et autres licences universitaires ne semble pas connaître de limites, tant les faussaires ne lésinent pas sur les moyens pour parvenir à leurs fins. Récemment, c’est une affaire de faux certificats d’aptitude professionnelle qui vient d’être élucidée par la brigade économique et financière relevant de la sûreté de la wilaya de Sidi Bel Abbés, bilan trente cinq arrestations dont huit femmes.
Fait aggravant, on retrouve parmi les mis en cause, des femmes et responsables, des centres d’apprentissage de la wilaya. Au total, ce sont trente cinq de personnes qui sont impliquées dont six femmes, âgés entre 25 et 45 ans,
dans ce vaste trafic qui avait pour finalité l’obtention d’un crédit à l’ANSEJ en vue de lancer un projet.
Comment tout cela ? En incluant tout simplement le certificat d’aptitude professionnelle dans le dossier
exigé par l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes.
Le pot aux roses a été découvert suite à des informations parvenues à la Brigade économique et financière ‘BEF’ de Sidi Bel Abbés et selon lesquelles, une personne âgée de 33 ans, résidant à quelques encablures du chef-lieu de la wilaya , avait déposé, auprès des services du bureau de maind’oeuvre de Sidi Bel Abbés, un dossier en vue de bénéficier d’une aide financière dans le cadre de l’ANSEJ, comportant justement un certificat d’aptitude professionnelle falsifié portant le cachet du CFPA de Sidi Bel Abbés. Aussitôt les investigations lancées les enquêteurs sont parvenus à neutraliser cette bande en interpellant d’abord le mis en cause qui circulait avec ce faux diplôme. Ce dernier a dénoncé son complice, un commerçant, lequel a dénoncé de son côté un ex-employé au CFPA pour une affaire de falsification de documents. Au cours de l’enquête, les autres complices ont été interpellés et un grand nombre de certificats d’aptitude professionnelle falsifiés, de diverses copies de permis de conduire et de cartes d’identité nationale, ainsi que 3 unités centrales pour micro-ordinateurs, 5 CD-ROM, deux cachets ronds volés du centre de formation d’un bureau d’études, et un cachet rectangulaire d’un commerçant ont été saisis.
Parmi les personnes qui faisaient partie de ce réseau, on citera des personnes connues pour leur implication dans des affaires de faux et faux usage de faux, des fonctionnaires, des employés et des agents. Trente cinq individus ont été déférés devant la justice pour association de malfaiteurs, faux et usage de faux de documents officiels, vingt huit des mis en cause ont été placés en détention provisoire, tandis que le reste a été mis sous contrôle judiciaire en attendant leur jugement.
Par A. Hocine
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Missouri Mustapha, désigné PDG de la SSPA USMBA
Elu il y a deux ans président du club amateur, Missouri Mustapha, vient d’être désigné, président directeur général de la société par actions du club phare de la Mekerra.
Connu pour être l’un des meilleurs cavaliers de l’arbitrage des années quatre vingt, Mustapha qui a, faut t-il le rappeler, pour idole l’incontesté et incontestable Hansal Mohamed, a officié plusieurs matchs aussi régionaux que nationaux et dont le plus le mémorable reste incontestablement le fameux match opposant l’ESSétif à l’USM Annaba.
Il décrocha les crampons au début des années 90, après tant d’années passés dans les stades algériens,
avec à son actif de nombreuses consécrations. Parallèlement à son parcours d’arbitrage, Mustapha Missouri
fut un cadre de l’université de Sidi-Bel-Abbès. Il s’est imposé grâce à son verbe facile, sa perspicacité et sa clairvoyance comme représentant incontournable des travailleurs pour devenir par la suite, leur mandataire exclusif auprès des responsables. Il partira à la retraite, après de bons et loyaux services rendus à l’université
avec les honneurs, pour se consacrer, principalement, aux actions caritatives. Dès lors, il participa, activement avec
quelques fidèles à la construction de la mosquée de « Bremer ».
En 2013, il revient, lors d’une assemblée houleuse organisée au stade 24 février, à la tête du club amateur. À la demande de ses amis et proches, entres autres l’incontournable Habib Assal,… Mustapha reprend ses activités de prédilection (football) pour devenir en l’espace de quelques mois un puzzle important dans l’échiquier sportif local. Sa désignation, il la doit surtout à ses compétences et son expérience, mais aussi à Serrar Abdelhakim dont le poste au club, n’est pas encore connu, Serrar qui a vu en lui, l’homme de la situation. Il remplace M. Bensenada Djilali où sous son égide le parcours de l’équipe, lors de la phase aller, fut satisfaisant.
Par Belhadj B
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MME FELLOUS NAIMA, DIRECTRICE DE L’ITEA À OUEST INFO
« Mon collègue Medelesse m’a menacé de mort ! »
Ouest-Info : Présentezvous aux lecteurs ?
Fellous Naima : Je m’appelle Fellous Naima, directrice de l’Institut Technique d’Elevage animal de Lamtar, je suis titulaire d’un magister en santé animale et je suis en train de préparer mon mémoire pour l’obtention du doctorat. J’ai été nommée directrice par arrêté ministériel. Il règne un mauvais climat dans l’institut où les conditions de travail sont pénibles.
O.I. : Soyez plus explicite ?
F.N. : Je vis le calvaire avec monsieur Medelesse, à la suite de ses réactions très violentes , un salarié qui prend
un coupe papier et qui me menace de mort. Même s’il ne l’a pas fait, il y a déjà des agissements antécédents de sa
part. Il y a quelques années, j’ai été agressée par ce sadique, ce voyou. Bilan, un nez cassé, des hématomes sur
tout mon corps, j’ai cru que j’allais mourir, il a fallu l’intervention des agents de sécurité pour me libérer de son
emprise.
O.I. : Avez-vous déposé lainte ?
F.N. : Oui, j’ai fais appel aux éléments du Darak El Watani de Lamtar qui se sont déplacés pour m’évacuer au centre de santé pour recevoir les premiers soins et me diriger vers le CHU de Sidi Bel Abbès, où les médecins ont diagnostiqué une fracture au niveau de l’os du nez, un déboitement de l’épaule gauche et des hématomes sur le corps. Je m’en suis tirée avec soixante jours (60) d’incapacité, délivré par le médecin légiste de l’hôpital Abdelkader Hassani.
O.I.: Y- a- eu présentation devant le procureur de la république ?
F.N.: Ce n’est que le lendemain que la présentation a été faite par les éléments de la brigade de la gendarmerie de
Lamtar auprès du procureur de la république près du tribunal de Ben Babis. Il a été écroué pour coups et blessures
volontaires.
O.I. : A-t-il été condamné ?
F.N.: Après délibération, mon « bourreau » a été condamné à deux années de prison ferme, son avocat a interjeté
un appel près de la cour de Sidi Bel Abbés, où il a été condamné à six mois de prison avec sursis. Mon avocat a
interjeté un pourvoi en cassation près de la cour suprême. Quatre années après, un nouveau procès qui a accouché
d’une souris, mon bourreau s’en tire avec la même peine que le procès en appel et 100.000 DA de dommages et
interêts. Voilà comment est jugé un pervers, un voyou et je n’ai pas d’autres qualificatifs à lui donner Je m’en remets à Dieu.
O.I. : Il récidive encore, mais cette fois-ci , selon vous, avec des menaces de mort ?
F.N.: Je ne lui en veux pas, mais si la justice avait fait convenablement son travail, on ne serait jamais arriver à
ce point de non retour. Mr Médelèsse, qui fut un moment directeur de l’institut par intérim, m’a fait voir de toutes les couleurs durant son exercice à la tête de l’institut.
O.I. : Que voulez-vous dire?
F.N.: Il a utilisé toutes sortes de pression, harcèlement sexuel, insultes, coup bas et les rapports calomnieux écrits
à la direction générale, rien que pour me déstabiliser, voire que je commette une faute qui va à l’encontre de la
réglementation, mais rien de tout ceux là. Medelesse est un pervers, ne reculant devant rien, allant jusqu’à m’envoyer des intermédiaires pour me demander de m’épouser en seconde femme, chose que j’ai refusé. Depuis cet ogre me fait peur, oui, j’ai peur quand je le vois.
O.I. : Et dans tout cela, la réaction de votre direction générale ?
F.N.: On a voulu étouffer l’affaire, j’ai reçu un émissaire de la DG qui m’a transmis un message verbal à décoder,
comme quoi, je ne dois en aucun cas et sous aucun prétexte porter l’affaire devant les tribunaux, ce que j’ai refusé.
Je reviens un peu en arrière, pour vous dire que j’ai été traduite devant le conseil de discipline pour en sortir avec un avertissement verbal, et ce pour avoir porté plainte contre mon bourreau lors de la première agression. En 2010, j’ai été installé, par arrêté ministériel, directrice de l’institut. Chose qui n’a pas été du goût de Medelesse. Pendant trois ans au poste de directrice, ce voyou ne faisait que remonter les travailleurs contre moi,
mais en tant que femme aguerrie, je ne répondais jamais aux provocations de ce sadique, jusqu’au jour où j’ai
reçu une note émanant de la direction générale, me demandant de mettre en place une feuille de pointage pour
tout le personnel de l’institut. J’ai mis à exécution les recommandations de la DG, cela n’a pas été du goût de mon bourreau.
O.I. : Vous avez touché aux fiches de paie ?
F.N. : Effectivement, tout retard est automatiquement sanctionné, là c’est la poche qui est touchée. Medelesse
n’a pas digéré les défalcations régulières prise à son encontre, il se révolta à tort. En entrant dans mon bureau, il me jeta une feuille de papier et me demanda de lui restituer les retenues de salaire. Il a eu des agissements inacceptables à mon égard avec des propos grossiers. Je m’attendais au pire, une brève altercation a eu lieu dans mon bureau, j’ai commencé à crier de toutes mes forces, j’ai senti une présence passive de mon secrétaire qui ne répondait pas à mes appels de détresses, (en larmes).
O.I. : Et puis ?
F.N.: Il prit un coupe-papier et me menaça de mort, me touchant avec la pointe de cet objet tranchant. J’ai évité
cette menace tout en hurlant de peur d’être poignardé. Il s’est mis à m’insulter me traitant de tous les noms d’oiseaux, obscénités. Heureusement, un des agents de sécurités a fracassé la porte d’entrée du bureau pour entrer. A la vue de l’agent, il me jeta le coupe papier au visage.N’ayant pas assouvir sa menace, il se jeta sur moi pour
m’étrangler, heureusement, que les agents de l’administration étaient présents sur les lieux. Une plainte a été déposée auprès du procureur de la république pour menaces de mort, j’attends la convocation du parquet pour être auditionnée.
O.I.: Le mot de la fin ?
F.N. : Les violences, insultes et injures proférées me permettent de le licencier pour faute grave. Cela étant, des
circonstances peuvent venir atténuer, voire effacer sa faute, mais au point de me menacer de mort, d’autant
plus que je suis sa directrice, et de surcroît avec un coupe papier. Merci enfin à Ouest-Info pour m’avoir ouvert ses
colonnes.
Entretien réalisé par A. Hocine
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L’AMBASSADEUR DE FRANCE HÔTE DE SIDI BEL ABBÈS
« Sidi Bel Abbès est une ville qui présente beaucoup d’atouts »
L’ambassadeur de France en Algérie, André Parant, a effectué, hier, une visite à Sidi Bel Abbès où il a rencontré les autorités locales, les opérateurs économiques et les associations. L’hôte de la wilaya a rencontré respectivement le wali, le président de l’APW et le président de l’APC. Il a écouté un exposé sur les potentialités économiques, touristiques et industrielles de la wilaya.
L’ambassadeur de France en Algérie, M. André Parant était hier l’hôte de la capitale de la Mekerra, accompagné
d’une forte délégation. Cette visite qui est la première de l’ambassadeur dans la ville de Sidi Bel Abbès, s’inscrit, selon un communiqué de l’ambassade, «dans la continuité des autres déplacements effectués par M. Parant dans différentes wilayate d’Algérie, notamment à Oran, Tlemcen, Constantine, Bejaïa, Annaba et Adrar, afin de
nouer un dialogue direct avec les principaux acteurs locaux impliqués dans le développement des relations
franco-algérienne».
Durant cette visite, l’ambassadeur de France a eu des entretiens avec les autorités locales de la wilaya.
Il a rencontré le wali, M. Hattab, le P/APC M. Boumelik, et des membres de la société civile locale. M.
André Parant s’est rendu également au théâtre régional de Sidi Bel Abbés, où il a été reçu par le Président
de l’APC, M. Boumelik Djillali. A la suite de la visite de cet édifice culturel, l’ambassadeur s’est montré
émerveillé du style architectural et de l’état, parfaitement conservé et entretenu, de cet édifice
culturel. M. Parant avouera, « c’est rare de trouver de nos jours un aussi beau théâtre, qui a plus d’un siècle d’existence, on dirait l’Opéra de Paris ». Ensuite c’est au tour de la place du 1er novembre, ex Carnot, ex
Quinconces (l’agora des bel abbessiens), d’être visitée. L’ambassadeur de France a ensuite parcouru
le grand boulevard du 1er novembre, se rendant au siège de la wilaya, où il a été accueilli par les autorités
de la wilaya, avec à leur tête, Monsieur Hattab Mohamed, wali de Sidi Bel Abbés. OEuvrant au développement
de la relation économique franco-algérienne, l’ambassadeur de France en Algérie, M. André Parant, a estimé,
hier, à l’issue de la visite, que “le climat des relations entre la France et l’Algérie est excellent”, prédisant
“une densification encore plus forte les mois à venir”. “Le climat des relations est excellent”, a-t-il ajouté, indiquant
que “de part et d’autre, il y a une volonté de leur donner davantage de substance, sachant qu’elles sont déjà extrêmement denses”.
M. Parant a relevé, dans ce contexte, que “l’Algérie est le premier partenaire économique africain de la
France, aussi bien sur le plan commercial qu’en terme d’investissements”, refusant pour autant de s’en satisfaire, car, dit-il, “on veut aller plus loin et plus vite”. Mettant en exergue la volonté des présidents des deux pays de renforcer ces relations en leur donnant un nouvel élan, le diplomate français a tenu à souligner “la volonté bilatérale de concrétiser les engagements pris et d’aller de l’avant dans la mise en oeuvre de la feuille de
route, fixée lors de la visite d’État du président François Hollande en Algérie”.
Se félicitant des résultats déjà obtenus dans ce cadre, M. Parant a signifié, cependant, sa volonté de s’en remettre, à ce titre, “au bilan d’étape”, prévu en décembre prochain à Alger, à l’occasion de la réunion du comité intergouvernemental de haut niveau, dont les travaux seront codirigés par les deux premiers ministres. “Il y sera fait un point sur ce qui a été accompli et donnera l’opportunité de fixer les orientations pour 2014 et 2015”, a-t-il indiqué, réitérant son optimisme sur “le nouvel élan qui s’installe”. “Il faut un peu de temps pour tout mettre en oeuvre. Je peux dire encore « que l’esprit est excellent et la volonté forte des deux côtés », a-t-il affirmé, avant
d’évoquer une myriade d’avancées et d’accords conclus, notamment en matière de partenariats industriels.
Il ajouté que l’industrie touristique, au même titre que les autres industries, a besoin d’être relancée par des projets
d’investissements créateurs de richesse et d’emploi, pour faire de la wilaya de Sidi Bel Abbès, un pôle d’excellence du tourisme avec toutes les potentialités qu’elle recèle. L’ambassadeur a promis d’étudier toutes les demandes et de
sensibiliser les investisseurs français en vue de s’implanter dans la wilaya qui offre tous les avantages pour un partenariat économique.
« Sidi Bel Abbes est une wilaya qui présente beaucoup d’atouts dans le domaine agricole, touristique et industriel
susceptible d’attirer des investisseurs français. » À la question sur l’ouverture d’un centre culturel français à Sidi Bel
Abbès, l’orateur a répondu qu’il peut être remplacé par un centre d’enseignement de français s’il y a vraiment une nécessité. Pour les étudiants qui suivent leur scolarité en France, l’ambassadeur a souligné que près de 23.000 étudiants algériens sont en France et que le nombre de visas délivrés qui était de 120.000 en 2008 a doublé au premier semestre 2013 pour atteindre 240.000 visas. Enfin, avant d’achever son déplacement sur les berges de
la Mekerra, l’ambassadeur a également visité le siège de l’association culturelle «Paroles et Écritures», présidée par
l’écrivaine algérienne Maissa Bey, situé à l’avenue Aissat Idir.
Abbassia
vous avez raison Abbassia, on se demande maintenant qui est a le pouvoir de faire ”démarrer” ou ”éteindre” comme un moteur , cette brigade économique et financière relevant de la sûreté de la wilaya de Sidi Bel Abbés.
Il faut chercher ce bouton démarreur qui se colle a cette brigade.
Ici dans ce cas de l’ensej le délit n’est pas grave car il n’ya pas de dommage colletreaux. c’est a dire en uant du faux et usage de faux le faussaire ne va pas commetre un délit physique et morale sur tiers personne sauf celui de la banque, qui a droit de passer ou non ce malfaiteur en justice.
le p^lus grave les faux et usage lorsqu’il s’agit d’une atteinte sur mineur et ensuite sur malade. un faussaire dans le domaine médical et enseignements est considéré comme le pire des délits car avec ses faux diplômes il peut ”anéantir soit un jeune élèves soit un malade.
Beaucoup de brillant éléves et étudiants universitaires ont été anéantis par des prof qsui n’ont rien de prof en plus avec de faux diplôme injectés soit par d es sectes soit aussi par des partis politique soit aussi par des groupes de policiers gendarme et militaires qui use de leurs ”statut ” sans que leur commandement respectif ne soit au courant, pur avoir des prévisibles. Ces choses était bien connu et dénoncé dans les années 84 et après. On rajoute maintenant des vigiles qui sont a la solde de qui??
Personnellement je suis pour le pourrissement de cette affaire afin d’obliger le procureur de la république de demander l’extension de cet enquête sur les secteurs stratégique de la santé et de l’enseignement.
la p^procédure n’est pas compliqué, elle prendre 1 mois pour tout nettoyer. le procureur ordonne la remise des copies des diplômes bac+licence+ doctorat afin de procéder a leurs authentification national et étrangère.
Alors ça Arrange le poussoir de presser le bouton ou il ne le veux pas car ces amis et ces commis sont en en vois d’être piétiner??
Pour “seulement” des faux certificats d’aptitude professionnels, ces personnes impliquées sont traduits devant la justice et c’est tant mieux.
Par contre, une autre bande de fraudeurs a sévi pendant nombreuses années au sein de la faculté des sciences et n’a pas du tout était inquiétée par la justice grâce au laxisme de l’administration universitaire. Malgré les preuves des faux et usage de faux pour passer leur diplôme de doctorat en chimie, ces malfaiteurs se trouvent toujours en train d’enseigner à nos enfants.
Quel scandale et quelle honte pour cette université!