L’association folklorique Béni Ameur a fêté son podium international au centre culturel KATEB YACI NE

Emblématique ! C’est le moins qu’on trouve quoi dire pour exprimer un encouragement salutaire. Le ballet folklorique composé de jeunes messagers a pu enthousiasmer et mettre en challenge les meilleures troupes folkloriques du monde.

C’est malheureux, s’explique Mr MILOUA HADRI quand-t-il prit la parole et revint de ses pensées à sa jeunesse. Après avoir ravi l’assistance d’un passé vraiment regrettable, HADRI a fini par terminé tenant difficilement ses larmes à travers de durs escales rétrospectives et ne pu que se réfugier à un souhait que le groupe du commun partage « ah bon dieu si seulement on donne une chance à ces jeunes ! ».

Il y’avait vraiment de quoi être complètement ébahi. En rediffusant les images en diapo ce jeudi à la salle du centre culturel KATEB YACINE à sidi Djillali (SBA) montrant les exploits de la troupe salutaire du ballet ‘’Bel-abbesien’’ en emportant le trophée du premier prix exposant l’emblème de l’Algérie légèrement penché de façon à l’exhiber devant l’assistance,  l’on ne peut rester indifférent.

On comprendra ainsi pourquoi MILOUA ou autres anciens qui on vécu à travers leurs expériences un beau temps s’effondrent devant certains exploits de jeunes dans de différents rendez-vous surtout à grande échelle vendu aux rabais.

Avec des moyens minimes, plutôt annihilés, mais énormément de volonté, le ballet folklorique (BENI AMEUR) de sidi bel-abbes à sa tête le prodigieux Mohamed Kazouz s’illustre et décroche avec reconnaissance devant des plus éminents arbitres le premier prix  dans une épreuve internationale.

L’emblème désormais pour éveiller les esprits somnolant a flotté dans le soufflement du vent de la ROUMANIE le 06 août 2013, ou s’est tenue cette manifestation internationale  devant de nombreux  pays participant comme ils l’ont fait avant le 22 avril en Jordanie. Les messagers de l’Algérie qui portent l’identité de la macabre rivière ‘’ MEKERRA’’ ont majestueusement entrepris le défit.  Sauf que l’écho était plus tonitruant à l’autre rive qu’ici au berceau de la normalité.

Si MILOUA HADRI a pu cacher ses larmes par vertu, ma confidence c’est que ça me déchire le cœur et me donne même l’envi de stopper ici ne plus rien écrire, je pleur parce qu’on ne veut pas nous entendre. Oui HADRI, BOUZEFRANE, DJERIVIL,  vous aviez dégagé les mêmes sentiments dans vos interventions. Alors pleurons tous peut être que de la sorte notre cri aura une signification à détruire ‘’le tympan de Berlin’’ qui écrase horriblement les bonnes volontés.

Pour en finir de cette réelle souffrance, des cadeaux très symbolique loin de la taille de leur œuvre ont été distribués à ces ‘’géants jeunes’’ (garçons et filles) en guise d’encouragement et de reconnaissance par les présents BOUZEFRANE, DJERIVIL, MILOUA, KAZOUZ, Med EL ABBASSI  et ABDELLATIF YAZSSAAD directeur du centre culturel qui ne manifeste aucun moindre gène à répondre favorablement à toutes manifestations culturelles ou sportives.

Djillali Toumi   

Djillali.T@bel-abbes.info