Les brèves de la Wilaya : Coupure de courant à l’est et Méchoui à l’hôtel Beni-Tala

Coupures récurentes de courant électrique
Plusieurs localités situées à l’est de la wilaya notamment Ain Eden, Boudjebha  et même le chef lieu de daira Sfisef se plaignent ces derniers jours de ces coupures d’électricité intempestives  et récurrentes intervenues au cours de la semaine écoulée. Et comme à l’accoutumé, le retour de l’énergie se fait par des hautes tensions provoquant  des dégâts de matériels selon les dires de quelques habitants de Shamda (Ain Eden). Si les chutes de pluies et le mauvais temps qui se sont abattu ces derniers temps dans la wilaya ont fait beaucoup d’heureux parmi les fellahs  dans l’ouest , elles ont en fait beaucoup de mécontents et pour preuve , ces coupures qui provoquent presque la paralysie dans les foyers et le gel du peu d’activités économiques que les petites communes en recèlent, de nos jours.

Clôture du quatrième festival national des beaux arts et de jeunes talents
Pour la quatrième fois consécutive , Sidi Bel Abbes abrite le Festival des étudiants des beaux art et des jeunes talents qui s’est déroulé du 05 courant à ce jour 10 novembre et ce n’est pas un hasard que ce choix sur la ville de Sidi Bel Abbes est renouvelé année sur année ,l’existence d’un public réceptif qui est déjà habitué aux manifestations culturelles ,des infrastructures d’accueil adéquates , une grande école des beaux arts d’une architecture exemplaire avec un historique inégalé en matière du nombre de promotions ayant franchi la porte de l’art et la culture ,un centre universitaire gigantesque et bien d’autres atouts qui maintiennent ce choix dans la Mekerra. La ville de Sidi Bel abbes est en passe de devenir la plaque tournante de plusieurs activités culturelles notamment , la danse folklorique, de la chanson,récemment les ports équestres.Aujourd’hui a eu la clôture de ce quatrième festival et tout dernièrement le salon des arts traditionnels.

Du Méchoui pour le président du Hamas
Tout à l’heure dans le restaurant du premier étage de l’hôtel Beni-Tala, le président du parti politique en tournée pour  la campagne électorale dans la wilaya de Sidi Bel Abbes était l’invité de son chef de file à Sidi Bel-Abbes pour un régal de festin.En effet, ils étaient plus d’une quinzaine de politiciens tout autour d’un “Méchoui” bien préparé par la “maison” et les discussions allaient bon train en prévisions d’une campagne électorale menée tambour battant des son lancement alors que le commun des citoyens se tient à l’écart de ce remue-ménage et tohu bohu.

L’hôtel Eden de Sidi Bel Abbes inauguré mais…
Toute une intense médiatisation pour son premier jour d’ouverture initiée par son directeur Tunisien venu pour booster les services de cette chaîne hôtelière au niveau de la Mekerra , l’hôtel Eden n’a réellement pas encore décollé et beaucoup de ses services collatéraux tardent à s’ouvrir au visiteur étranger. En effet, hormis quelques “services” qui ont agrémenté le premier jour de son inauguration, c’est  seulement demain que démarrera  les autres  services d’accueil de base c’est à dire hébergement et restauration , bref d’autres services suivront dit-on.

 

 

(2 commentaires)

  1. Au vue de se qui se trame dans nos pays,diriger par des despotes et dictateurs,et en guise de cerises sur le gatreau corruptions,mensonges,voles,agressions délits forfaitureet j’en passe des meilleurs le peuple est d’une manière co-responsable tout le monde dénonce ces anomalies infectes,mais personnes ne bougen.La morale de l’histoire qui se ressmble, s’assemble.
    NB:Coeur qui soupire n’a pas ce qu’il désire,les soupires que l’on pousse prouvent qu’on est pas satisfait.

  2. Au cours de leur campagne électorale, nos politiciens se restaurent en prenant un méchoui à l’hôtel Béni-Tala! A vrai dire, rien de plus normal car se rapprocher du peuple n’est pas leur fort et s’enquérir de ses problèmes est le dernier de leurs soucis.

    Une halte de quelques minutes à proximité du marché couvert d’El Graba pour prendre un casse-croûte «Hami» leur aurait sans doute permis de se connecter en direct avec la masse des citoyens pauvres qui sont complètement délaissés et qui ont énormément de choses à dire: femmes veuves mères de familles, adolescents expulsés de l’école et sans emploi, vieux retraités «maltraités», etc.

    Mai, bien sûr, tous ceux-là, eux-mêmes, ne se font plus d’illusion et n’attendent plus rien des politiciens. D’ailleurs, à voir leur totale indifférence à l’égard de cette campagne électorale, force est de se demander: ces campagnes ont-elles encore un sens ?

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