Les syndicats de l’éducation maintiennent le cap, rien que le départ des deux chefs de services.

Dans un autre communiqué établi ce mercredi, après le mouvement de protestation observé le jeudi 10 octobre 2014 au niveau du siège de la direction de l’éducation, le bureau de coordination du FNTE (UGTA) s’est montré plus persuasif que jamais. Le bureau explique traduire à l’unanimité le souci de tous les syndicats de l’éducation (l’UNPEF, CNAPEST, FNTE(UGTA), SNAPEST et le SNTE) qui, désormais exigent le départ immédiat des chefs de services qui étaient à l’origine de ce chamboulements des relations professionnelles, après bien sur qu’ils auraient été traduit devant un conseil de discipline pour répondre de leurs fautes graves.

Le communiqué fait ressortir encore une fois que le chef de service du matériel et celui du personnel ont été à l’origine d’agressions et insulte contre des fonctionnaires de l’éducation, des fautes, expliquent-ils, qualifiés de 4éme degrés, citant en exemple l’incident grave qui s’est produit contre le chargé de la gestion du bureau des examens, qui aurait été menacé physiquement et insulté dans son propre bureau par le chef de service de la programmation, du suivi et du personnel. L’on apprend même, que cette victime aurait présenté un certificat médical de sept jours et aurait déposé une réclamation écrite auprès de la directrice.

Pour ce faire entendre, les cadres syndicaux ont mentionné sur le communiqué dont une copie serait remise à Mme la directrice, en plus de la plate forme du communiqué n°2, qu’un mouvement de protestation serait observé chaque jeudi matin à 10 heures jusqu’a ce qu’une enquête ministériel serait dépêché pour trancher définitivement dans cette affaire, du moment que la directrice demeure jusqu’à lors sur ses réserves. Le bureau exige un terme définitif aux injustices et dépassements que subissent les employés dénonçant que les lois qui préservent les droits des travailleurs pendant l’accomplissement de leurs taches sont totalement bafoués, et de surcroit par des cadres censé en faire le contraire donnant ainsi l’exemple à suivre.

Les directeurs des CEM  ont aussi rejoint la réunion qui c’est déroulé ce mardi passé, saisissant cette occasion, pour débattre des problèmes que rencontrent leurs établissements. Ils étaient plus de 60 directeurs venus pratiquement de tous les CEM de la wilaya. Ils ont avancé connaitre la pire marginalisation et mépris, à son origine ces deux chefs de services en question. Ils font savoir que toute chose liée avec ces deux services est pratiquement à oublier de préférence. Ainsi les moyens en matériels et en personnels qui sont liés respectivement avec les services concernés ne seront jamais satisfait pénalisant de la sorte l’enceinte d’un coté et les élèves de l’autre.

La coordination se plaint pour certain CEM qui manquent de professeurs dans certaines matières depuis la rentrée scolaire pénalisant sans raison des innocents. Ils citent en exemple le CEM Zouaoui Med à proximité de la nouvelle trémie de sidi Djillali. Les élèves n’ont pas de prof d’’histoire géo. Saisissant l’occasion, ils ajoutent attendre l’ouverture d’une enquête sur l’encadrement pédagogique aux niveaux des établissements de l’enseignement moyen, pour conclure par la suite que le dialogue serait dorénavant  directement avec la directrice.

Djillali Toumi