« La concentration est la faculté qui crée les as, les surhommes. »
(Victor Pauchet)
Enseignants et parents d’élèves se plaignent trop souvent du fait que les enfants sont très distraits en classe ou, le soir aussi chez eux, lorsqu’ils ont à faire leurs devoirs. Dans le cadre d’un petit billet, nous aimerions donner quelques idées susceptibles de servir aux uns comme aux autres pour favoriser la concentration chez l’enfant.
Tout le monde est d’accord pour dire que la concentration est rebutante et bien assez difficile à obtenir, même chez l’adulte. Avant de solliciter donc l’attention de l’enfant, commençons par vérifier si les 2 conditions suivantes sont réunies :
– Le calme extérieur.
– Un parfait état physique. Précisons ici, par exemple, que la marche favorise le travail de la pensée tandis qu’une digestion difficile le ralentit.
La distraction étant le premier ennemi de la concentration, il convient aussi de se rapprocher un peu intimement de l’enfant pour connaître tout ce qui a la force de l’attirer hors du champ de son étude. Cette opération a pour avantage de nous éclairer sur ses intérêts dont la connaissance va nous permettre de le diriger à notre guise.
Prenons plutôt un exemple très simple : Omar se trouve assis devant son cahier mais il n’effectue pas les opérations que la maîtresse lui a demandé de calculer. Son esprit est ailleurs et il est entrain de se dire : «si j’avais de l’argent, j’achèterais un jeu de famille comme celui de mon camarade». La solution est toute indiquée : «effectue tes opérations et tu auras régulièrement de l’argent de poche qui te permettra d’acheter ce dont tu aurais besoin».
Et ainsi il comprendra facilement ceci : pour toucher la récompense, pour réaliser ses petits «rêves», il n’y a qu’une seule voie possible : la concentration sur ses devoirs. Le cœur plein d’espoir, le cerveau se mettra alors à travailler !
Pour clore, ce petit billet, ajoutons ces quelques petits conseils très utiles :
– Faisons mener à l’enfant une vie simple en essayant de neutraliser tout ce qui, dans son entourage, pourrait le perturber.
– Habituons-le à faire chaque soir, pendant ne serait-ce que 05 minutes, une petite planification du travail du lendemain. Durant son sommeil, son subconscient se chargera de lui déblayer la voie pour le lendemain.
– Ne l’encourageons jamais à reporter au lendemain ce qu’il peut très bien faire aujourd’hui.
– Exprimons-lui notre satisfaction pour tout progrès, aussi petit soit-il ! Les tout petits progrès s’additionneront et mèneront à la réussite.
Nous espérons que ce modeste billet sera un tant soit peu utile aux parents.
4 Replies to “Mon enfant n’arrive pas à se concentrer sur ses devoirs… Comment y remédier”
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L’anxiété est incompatible avec la concentration
Au lieu de s’énerver et d’accroître son stress, ses parents l’inciteront à exprimer son désarroi, tout en conservant leur sérénité. Le calme est aussi contagieux que le stress, et il favorise la concentration. Tout comme l’activité physique. “Le jeu après les devoirs” : ce principe, unanimement partagé, devrait pourtant être inversé. Après une journée de classe, où ils sont restés assis pendant des heures, les enfants ont besoin de se dépenser pour décharger leur énergie. Leur capacité d’attention n’en sera qu’améliorée. Enfin, si un enfant se montre en permanence agité, qu’il peine à se concentrer et que ce comportement perdure, mieux vaut consulter un pédiatre, qui détectera ou non un éventuel trouble de l’hyperactivité. »
pour bousculer les choses et les consciences il faut changer de discours et de mode d’écriture et écrire de leurs manières comme cette manière qui émane de la bouche de ce petit enfant et arabe dialectale
>maraniche baghi nakoul kraytakoum(je ne veux pas avaler vos cours)
>arwah anta ya inspecteur, garrab (vien toi inspecteur
approche)
>matafhmeche wala dirouhouk matafhemeche ??(tu ne comprends pas ou tu fais semblant de ne pas comprendre??)
> ana baghi nat3alame naktab, wan saware (j’ai besoin d’apprendre a écrire et a dessiner)
> win krit chkoun liradAk inspecteur kifache ta3tini ktabe wach ndirbih??? (ou tu as étidié et qui t’as rendu inspecteur comment tu me donne un livre que vais je faire avec ton livre??)
> ma trouhche tbi3 elkhoudra fel marchi khir lek wa tkhalina tranquil nat3almou kima t3almou waldina?? (tu ne vas pas aller vendre les legumes sur le marché et nous alisser tra,quil pour apprendre comme nos parents ont appris)
Bonjour Mr Zalamite ;
Parce que croyant ton inspecteur incompétent et pas du tout à la hauteur de sa tâche, tu n’as pas trouvé mieux que de lui dire: «Tu ne vas pas aller vendre les légumes sur le marché et nous laisser tranquille… ». Eh bien, Mr Zalamite, je crois qu’il fallait que tu réfléchisses un moment avant de l’orienter d’une façon aussi maladroite! Car parmi les vendeurs de légumes, il y en a qui sont beaucoup plus instruits que toi et moi. En disant cela je pense à mon neveu (ingénieur d’état en micro-électronique) et à un ami (licencié en chimie). Tous deux en ont eu assez de chômer. Etant d’une moralité irréprochable et, croyant qu’il n’y a pas de sot métier, ils ont trouvé dans la vente des légumes un honnête gagne-pain. Sache, Mr Zalamite, qu’en matière de rédaction par exemple, ces deux vendeurs de légumes n’auraient pas fait toutes les fautes qui figurent dans ton message. Mr Zalamite, nous gagnerions sans doute beaucoup à ne pas parler toujours à tort et à travers…
le fermier avait dit ”si tu arrives a faire tirer le cheval vers l’abreuvoir tu ne pourras jamais le faire boire”
C’est ce qui se passe chez nous…si tu arrives attirer les enfants vers l’école tu ne réussiras pas les faire avaler tes cours..tu ne pouras pas aller contre la nature..elle va reprendre ses droits…ce que tu as enlevé a la mer, celle ci le reprendra
Nos enfants dégueulent ce programme qui leur a été offert…
s’il vous plait citez nous un seul pays au monde ou on donne un livre a petit enfant à l’age de six ans qui veut apprendre a écrire et ensuite lire ce qu’il avait écris??
on a tout vu tout entendu sauf ce qui se passe actuellement..en tout c’est bien de refuser de manger ce plat a nos enfants leurs bonheurs dans ce refus