Redouane en béquilles accuse l’hôpital d’injustice et de négligence

Survivant par miracle à un accident mortel aux environs de la commune de Ain El Berd le 13 septembre de l’année en cours qui à causé la mort de son ami, zazou redouane polytraumatisé, a été évacué à l’hôpital de sidi bel-abbés pour subir un examen complet aux fins d’écarter toutes éventualités d’urgences chirurgicales ou médicale. Cette étape délicate, aux yeux des hommes du domaine se fait aux services des urgences.Il est conçue pour faire un bilan corporel général de la personne victime d’accident.

Redouane n’arrive pas à comprendre pourquoi il n’a pas bénéficié de ce traitement médical prévu dans ces cas là. Il a été dirigé vers le service d’orthopédie traumatologie (OTR) comme étant uniquement doublement fracturé au fémur du pied droit. Blessure qui a suscité une intervention et mise d’une prothèse.

Redouane fut hospitalisé pendant cinq jours, une durée que le médecin traitant a jugé suffisante dans son cas apparent. Seulement, lui, en se déplaçant avec des béquilles, et après quelques jours il ressentait comme des vertiges et des douleurs au dos qu’il n’arrivait pas à expliquer ni comprendre les raisons. Il prit alors la décision de revenir voir le service concerné.

A son arrivée, accompagné de sa mère toute en peine affaiblie par son âge et sa peur pour son fils encore à son fleur de l’âge en lui expliquant son état, il fut surpris par des réactions étranges du médecin chef lui disant d’après redouane « le médecin qui vous a traité et vous a autorisé à sortir de l’hôpital est parti en congé, vous n’avez qu’à aller à Oran ou voir une clinique privé ».

Redouane, ne s’en est pas arrêté là, il est revenu plusieurs fois d’après lui,  tantôt accompagné par son ami et autre, par sa mère qui n’en pouvait plus de voir son fils se perdre d’entre ses mains, et à chaque fois ils n’entendent que ce son froid dépourvu de professionnalisme, d’humanisme, de sentiments, de responsabilité et de conscience.

Les douleurs devenaient insupportables et redouane n’en pouvait plus de cette bataille ou il est, à perdre du temps, le seul perdant, alors il décida d’aller expliquer son cas et faire un scanner chez un privé.  La visite a fait ressortir des fissures cervicales de la C4 et C5, une omission qui pouvait, suite à la négligence des services de l’hôpital causer des complications sérieuses, de l’avis d’un médecin.

Redouane se déplace toujours avec ses béquilles, en souffrant il fait souffrir d’avantage sa mère. Son cri après tout ce temps de bouillonnement, faire entendre sa voie et dénoncer les souffrances gratuites que font subir les services de l’hôpital aux malades dans un état qui demande une bonne prise en charge, plus d’assistance et de compréhension.