Dans le pays des problèmes, là où on manque pratiquement de solutions, on fait appel dans la confusion à d’autres problèmes dans l’intention ingénieuse de solutionner les problèmes en s’enfonçant dans l’inconscience dans davantage de problèmes.

Cet état est propre à un état, à notre connaissance, il n’est pas pratiqué par un autre état, sinon, on le saura, ou on s’en n’apercevra pas  quand on voit que c’est dans le général. Seulement, ce qui attire en général, c’est ce qui sort de l’ordinaire. Comme si vous voyez dans un café un homme nu assis entrain de déguster une boisson… !

La ville de sidi djillali, presque une wilaya, ou plutôt sidi bel-abbés BIS vient d’être sanctionnée par une problématique…étrange ! N’est-ce pas ?… FAUX!… Il n’y a rien d’étrange. Le siège de la daïra de sidi djillali s’avère après être construit  suite à des études certifiées conformes aux règles répondant normalement aisément à la population, enfin exigu.

Problème !…. il faut donc une solution !…laquelle ? Construire une autre daïra ? Faire une extension qui ne suffira pas ?

Dans cette confusion les planificateurs se trouvent sans solutions. Poussés par une réalité, ils ne voient dans l’attraction qu’un autre problème pour résoudre leur problème.

La petite annexe de l’APC a connu le même sort qui a été réservé à sa cousine la daïra. Sans calcul, son destin à voulu qu’elle soit l’œuvre d’une inconscience à coté d’une cousine assoiffée d’autorité, intriguée par son exigüité, dans le besoin faramineux de s’étendre dans la nature,  elle décide de subsister à son détriment.

La pauvre annexe a été *dairatisée*. Elle a été assassinée sauvagement par une éternelle mauvaise planification, par un PROBLÈME, pour en ressurgir un autre problème. Désormais, les habitants de la ville de sidi djillali devront à l’avenir se déplacer à la mairie MÈRE et apprendre à vivre dans la pratique suspecte  *RÉSOUDRE UN PROBLÈME PAR UN PROBLÈME*