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SIDI BEL-ABBES: il reste l’unique refuge des familles : Le lac en détresse

téléchargement lac pollué Le lac Sidi Mohamed Benali a suscité beaucoup de convoitises et poussa les autorités locales à aller de l’avant afin de faire de lui un site touristique d’excellence mais l’insalubrité est le mot d’ordre, hélas…
C’était enfin que des rêves bâtis sur l’imagination. De nombreux articles faisant la ‘Une’ des journaux sur ce lac n’ont rien changé en réalité et la plus belle blague reste la fameuse ‘plage artificielle’, un projet utopique pour l’instant.
En l’espace de deux ans, un budget de plus de quarante milliards de centimes fut dépensé afin d’embellir le site du lac Sidi Mohamed Benali. Un projet qui comportait des stades maticaux fermés au public et ouverts sur ordre du ministre de la Jeunesse et des Sports M. Tahmi Mohamed lors de sa visite de Bel-Abbès. Une esplanade fut construite est qui tombe en ruine malgré sa nouveauté constituant ainsi un danger pour les visiteurs. Du béton armé qui a envahi le site et qui a défiguré cet espace naturel et pour clore le tout de ces lacunes, le défaut de gardiennage.
Ce problème que personne n’y a songé, reste d’une grande importance car si on voit ce qui se passe quotidiennement. Certains jeunes ‘ignorants’ et à défaut de civisme, continuent de laver leurs voitures en toute quiétude malgré les fortes amandes que risquent ces gens une fois pris en flagrant délit. Mais, ils accomplissent leurs sales boulots dès que les éléments de la gendarmerie de Ain Trid quittent le lieu. Résultat, des centaines de mètres cubes d’eaux usées et surtout savonnées qui détruisent petit à petit, la flore et la faune existantes.
Un vrai carnage envers la nature et personne ne crie au massacre. D’autres jeunes bafouent complètement les lois de la nature en faisant la vidange de leur véhicule et je laisse à nos chers lecteurs le soin d’imaginer ce que peuvent causer les litres d’huiles de moteurs à la nature.
Enfin, et pour certains jeunes marginalisés, ils occupent ce lieu en absence des gendarmes afin de se donner à leur passe-temps favori, ingurgiter des litres de bières et autres boissons alcoolisées. En quittant le lac, ils ne se gênent pas pour jeter des dizaines de cannettes et de bouteilles sur les rives du lac. Une horrible image aux enfants qui aiment ce site.

B.Didène

(2 commentaires)

  1. Bonjour MR H K M votre commentaire est raisonnable ,juste, il fut un temps ou ce lac était naturel ,propre , une eau abondante et clair etc….. ce temps est fini nos responsables et ingénieurs de génie l’ont transformé en béton, poubelle, lieu de débauche, oasis pour ivrognes et drogués, et j’en passe : monsieur HKM es-ce que l’ANE peut sentir du parfum ? je ne le pense pas . cette situation parmi tant d’autres témoigne de la médiocrité et du non savoir vivre faites un tour en ALLEMAGNE et vous saurez qu’es-ce qu’un LAC revenons à votre commentaire vous avez commis une grave faute : vous parlez du bon travail accompli par les ingénieurs français, du savoir faire de la colonisation , du bon temps perdu qui ne reviendra jamais et vous oubliez que certains dont les cerveaux ne bougent plus et qui ne regardent jamais la météo vont vous taxez de vendu, de harki, de beni oui oui , et vont vous traitez de tous les noms d’oiseaux et d’animaux . il fallait pas ? remarque vous sauvez la face en parlant de la VALEUR de nos ingénieurs j’aimerai bien connaitre quelles sont ces valeurs et preuves ? de ces illustres dont vous parlez . monsieur HKM vous oubliez que toutes les personnes compétentes et intelligentes sont partis ailleurs ? Elbagra ndarbate ouel ferde daahe moulahe .

  2. Je fréquentais ce lac dans les années 1978-79 lorsque j’étais encore étudiant au centre universitaire.. en cette période le lac était fantastiques surtout après les orages. On ouvrait les vanne au niveau de l’entrée de la route de Tessala pour diminuer le flux sur oued mekerra et éviter ainsi les inondations sur la ville..
    je ne sais pas pourquoi la wilaya avait construit un nouveau conduit d’eau par les chinois. un véritable gâchis par rapport a l’ancien très beau et très élevé.. Il est toujours debout sauf dans quelques points ou il y avait des affaissements qui ne demande pas beaucoup d’argent pour le réparer. La ville de sidi bel abbes était petite. La limite entre le lac et la ville était au niveau de la mosquée de gambeta. Pour aller au lac ça paraissait plus loin que maintenant. Et il n’était fréquenter que par quelques mordue de la pêche et surtout par des coopérants technique russe qui travaillaient pour le compte de l’université de la formation professionnel et de l’armée. Les coopérant français bulgare tchèque polonais étaient surtout mordu par le grand Sud a la moindre occasion ils filent en convois direction Bechar. Ce qui menace le lac c’est le changement climatique, il parait que les orages au sud de la ville se déplace vers l’EST. Ce qui a fait provoqué une très inondation en 86 je crois et qui a touché le quartier (calle del sol) (cayassone) ou (rue de soleil) en espagnole. L’eau avait remonté jusqu’à 5 mètre de niveau, derrière le stade. Les gens trouvaient cet événement comme moyen de distraction et la rimeur allaient de bon train comme quoi les caves des villas coloniales étaient tous des réserves de marchandise, car a l’époque il y avait encore de la pénurie (café sucre etc) Les autorités en vite réagirent pour construire un grand barrage. De ce fait Le lac ne reçoit que peut d’eau. Les gens qui ont voulu faire un investissement touristique ne savaient pas cette donne. Faute d’eau le lac va devenir une mare. Les français malgré qu’ils n’avaient pas les images satellites ont réalisé un plan correct pour la régulation des eaux orageux. Une preuve supplémentaire que les moyens modernes ne servent qu’a peu de chose et qu’avec un simple crayon et une gomme on pourra construire un avion. Il faut donc revenir vers le plan qui a été élaborés par le plan qui a été élaboré par les anciens ingénieurs et topographe français. Et rétablir l’ancien conduit d’eau. Comme on dit ‘’on ne fait de la bonne cuisine qu’avec les vielle marmites’’
    sans bien sure diminuer de la valeur de nos ingénieurs il faut qu’ils apprennent que le savoir est une chaîne continu qu’il s’intégrer dedans sans la rompre. Il y avait de l’ingénierie français il faut continuer dedans. et dans le dernier classement des université l’université de Guyane avait classé en dessus de l’école des mine de Paris….si notre université a bien pri en compte ce classement alors là on va s’assoir comme au temps de 91 sur la place carnot , autour de mathrade et3ame wal bouyoun. et nandbou sur le devenir de la France…

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