Revue de presse : Suicide d’un malade mental, incendie de foret et sit in des contractuels de l’EPTP

SIDI BEL ABBES : Un malade mental se suicide par pendaison

Un malade mental répondant aux initiales de S.B, âgé de 34 ans a mis fin à ses jours en  passant une corde autour de son cou et se pend  à l’intérieur de son domicile situé à la commune d’El Hassiba, daïra de Moulay Hsissen, wilaya de Sidi Bel Abbès. La dépouille mortelle a été transportée vers la morgue de l’hôpital de Telagh et une enquête a été ouverte pour connaitre le mobile du suicide.

GA (Reflexion)
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Incendie dans la forêt de Marhoum (Sidi Bel Abbès) : 900 bottes de foin et 50 hectares ravagés Près de 900 bottes de foin et quelque 50 hectares de broussailles et surface de forêt de la région de Fayd Essouk, dans la commune de Marhoum au sud de la ville de Sidi Bel Abbès  ont été dévastés, dimanche dernier par un incendie. Les interventions urgentes ont été effectuées sur les lieux, par les brigades spécialisées de la Conservation des forêts, et celles de la Protection civile, pour maîtriser les flammes qui avaient pris de l’ampleur, en raison des violents vents qui soufflaient.

Une enquête a été ouverte par les éléments de la Gendarmerie nationale, sur les causes réelles de ce sinistre. Pour rappel, c’est le deuxième incendie de son genre en ce mois d’août, après celui de Tilmouni dans lequel plusieurs hectares sont partis en fumée.

Salima D. (Le temps d’Alérie)
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En chômage depuis 5 mois ,  Sit-in des contractuels de l’EPTP devant le siège de l’entreprise à Sidi Bel AbbèsUn sit-in a été observé par un bon nombre de travailleurs contractuels de l’entreprise EPTP de Sidi Bel Abbès devant son siège hier lundi, à cause du retard de leurs salaires bloqués depuis déjà 5 mois. Soucieux de leur situation sociale, qui risque de prendre une mauvaise tournure vers le chômage, plus de 100 travailleurs contractuels, parmi les 300 que compte l’entreprise, souffrent le martyre à cause des salaires impayés par la direction de l’entreprise qui sont dus, dit-on à des difficultés financières.

Les conséquences sont supportables pour l’ensemble des ouvriers, notamment les contractuels, qui selon leurs dires, ils risquent cette fois le chômage, si l’entreprise refuse le renouvellement de leur contrat de travail, pire encore, ils n’ont le droit à aucune indemnité.

Le spectre du chômage plane sur l’avenir de l’ensemble des protestataires, qui n’ont pas hésité à montrer leur inquiétude sur un devenir sans aucun espoir, sauf si la tutelle interviendrait pour sauver leur entreprise d’un naufrage certain, en faisant appel aux hautes instances de l’Etat, pour leur éviter de se retrouver au milieu de nul part, sachant que certains travailleurs avaient bien servi cette entreprise depuis plus de 10 ans.

S. D. (Le temps d’Algérie)