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ENIE : « Le vrai problème de l’entreprise est la mauvaise gestion »

Bycourrier

Juin 6, 2012

D’après l’article du 06/05/2012 paru dans le journal Ouest.info, nous comprenons que:
-Le DG ne voulait pas reconnaitre le PV présenté par le SG de l’UGTA, car il savait très bien que sa dissolution est prochaine,
sachant que:
l’ex. SG du syndicat plus le DG = 1+1 = 1(équation 1).
Le DG moins l’ex.SG = 1-1 = 0 (équation 2).
-Il annonçait sa démission trois fois en tapant sur la table.Ceci n’est pas nouveau, depuis qu’il est DG l’a dit maintes fois, mais il
ne le fera jamais.
-Il incrimine le SG de l’UGTA qu’il est en train de détruire l’entreprise par cet acte de dénonciation, alors là sans se rendre
compte il nous divulgue que c’est l’ex.SG du syndicat qui gère l’entreprise et non pas lui ce qui explique l’équation 2.
-Il parle des vieux démons qui se réveillent, mais il a reconnu qu’il était un petit démon et a vécu et grandi avec eux, il n’a pas
oublié ses origines( DG content d’être toujours syndicaliste, double casquette).
-Il qualifie les travailleurs qui se sont manifestés de contestataires et non pas de grévistes, ce DG,  soit on lui dicte ce qu’ il doit dire soit il n’a pas la tete à sa place car les grévistes ne pouvaient pas déposer un préavis de grève du moment que l’entreprise ne possède pas de syndicat, et celui qui a existé était illégitime pendant cinq années avec la bénédiction du DG ce qui explique l’équation 1.
-Il cite ses difficultés de sa nouvelle mission (réconcilier entre les travailleurs grévistes et non grévistes), drôle de mission pour un DG. Depuis le temps les travailleurs se réconciliaient facilement entre eux sans l’intervention du DG. Pour lui c’est une tache difficile puisqu’il savait trés bien qu’il a divisé le personnel de l’entreprise en deux en favorisant les uns appartenant à son clan et négligeant les autres, en les laissant trimer sans motivation.
-Pauvre DG, il a perdu son venin (syndicat) et n’a rien entre les mains pour pouvoir continuer à piquer les travailleurs ( sa tache primordiale), que va t’il devenir?
Toutes ces déclarations nous montrent que le vrai problème de l’entreprise est la mauvaise gestion, chose que les autorités doivent prendre en considération et réagir le plutot possible avant que les 14 milliards ou plus de dinars s’envolent.

BB

One thought on “ENIE : « Le vrai problème de l’entreprise est la mauvaise gestion »”
  1. L’ENI ex sonelec c’est finit la belle époque..l’industrie de l’électronique a connu depuis les 90 un chamboulement extraordinaire due la la présence des puces mémoire qui a introduit le numérique, même les asiatiques sont entrain de se réadapter..
    La wilaya de bel abbes doit revoir de fond en comble son schéma directeur..le patrimoine de la sonelec doit ceder a la l’ex sonacome…l’industrie fiancer par l’etat doit etre du type hors norme budgétaire et ou les chapiteaux privées ne suffisent pas pour soutenir une industrie en cas de crise…la mécanique fabrication moteur électrique et a explosion doivent être prise en charge par l’investissement de la wilaya..la wilaya doit en première phase fournir que des moteur électrique et de petite cylindrée utilisé dans les moto et les petits engins agricole et générateur électrique..
    L’industrie électronique grand publique doit être céder a l’ENSEJ..une petite unité comme celle de khenteur qui fabrique les sous équipement automobile des régulateurs de 5 a 10 personnes est largement suffisant…le plus important ce n’est pas le montage de la télé mais offrir un service après vente..Toutes les sociétés en Asie qui travaille dans ce domaine sont de petite entreprise crée tout récemment a partir des années 2000 et qui n’emploie que 5 a 10 personne la plus grosse ne dépasse guère 100 personnes…
    Donc l’enie est entrain de consommé un budget faramineux en dinars et en devise alors que son activité pourra se faire dans un petit cadre de l’ensej…un écran un circuit imprimé et des vis avec un tourne vis et la télé est montée…pour redynamisé l’intégration l’ensej doit sous traité la caisse en plastique…il ya plusieurs ensej qui ont acheté des machines injections plastique et qui offre de la sous-traitance…
    La wilaya donc fermé l’ENI et faire réunir les professionnel de la mécanique avec l’école de l’ingéniorat du génie mécanique pour lancer la fabrication des petits moteurs

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