Si parmi les grands travaux entrepris au cours de la dernière décennie,figure le projet de construction de la protection de la ville des inondations de l’Oued Mekerra où un gros budget a été alloué pour la construction des retenues collinaires et la déviation de l’oued Mekerra par le canal sud avec plus de 19 200 milliards de centimes qui a été consacrés à ce projet depuis l’entrée en vigueur du premier plan quinquennal en 1999 jusqu’à 2009, Il n’en demeure que seul le canal de déviation de l’oued Mekerra construit sur une longueur de plus de 3 km ,reste non seulement le rempart solide mais aussi la barrière contre toute inondation en provenance du sud ou de l’oued Mekerra en question, il vient de prouver et ce, à plusieurs reprises déjà ,depuis les grandes inondations qui ont balayé toute la ville et firent plusieurs victimes en 1997, cependant il faut signaler que les deux dernières nuits en ce mois de novembre ont été très longues pour les riverains de l’oued Mekerra du centre ville et faubourg Thiers, ils ont été épargnés d’une inondation quasi-certaine, n’était-ce rempart du canal sud . Le record des précipitations de tout temps avec plus de 100 mm de pluies en moins de 36h a été enregistré par les services météo mais la question reste posée cependant pour quelques habitants riverains du coté de pont Pérry jusqu’au boulevard du Lt Khelladi qui ,dit-on ont vu leur maison inondée hier , pourquoi y a t-il eu inondations dans la rue Maachou Benaidja (rue appelée communément trig El Lefaa),Pourquoi n’a-t-on pas ouvert à fond, le déversement au niveau de Sidi lahcen vers le canal qui pourrait absorber encore plus de ce surplus?
Ci dessous , des images prises aujourd’hui du coté de la route de Mascara et du pont de Moulay abdelkader et l’oued Mekerra du coté de Hai Boumlik et « Filage Errih », sans ce canal , cela aurai pu être une catastrophe. Faut-il le souligner ici à l’heure de la prise des images , le niveau avait baissé d’une bonne hauteur !
mode de penser et construction
Ici on cômaste 2 model de réaction en face de la force de la nature…
Avant les français qui étaient ici la furie de oued mekera posait problème car la région sud de sidi belabbes était connu par ces orages très fréquents…le but était justement de réduire le débit de l’oued en installant une déviation en amant…le projet était entamer pour créer un barrage a oued sarno…la déviation de l’eau avait pour but de drainer l’excès d’eau en amont a coté de sidi lahcene car l’eau est pure, vers le lac de sidi mohamed benali et celui-ci lorsqu’il débordait il alimentait a son tours le barrage de sarno..ce barrage allait alimentait la plaine de pour la production maraichère….
Le débordement de l’eau sur la ville de sidi bel abbes et la catastrophe allait obliger les autorités a créer une déviation, ils ont réalisé une déviation et la ville fut épargner
Mais la question qui se pose la voici
Le premier cas la force de la nature et son pouvoir destructeur a était exploiter pour produire de la richesse…une force maléfique peu être utiliser comme force motrice
Dans le deuxième cas il y’a résistance face au danger, ils se barricadent et attendant la réaction devant la nouvelle menace…
Conclusion des deux modes de penser
‘’il faut voir comment utiliser la force de la nature comme Force Motrice et non pas L’elliminer en le considerant comme un mal destructeur’’