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APC DE SIDI-BEL-ABBES : FONCIER’FLN’GATE Acte. II

ByOuest Info

Fév 24, 2013

Suite à l’article de notre ami El Khaldi relatif à l’octroi arbitraire d’un lot de terrain de 800m²  au neveu du mouhafedh-député FLN par le PAPC, ( Un scandale « foncier FLNGate » à l’APC de Sidi-bel-abbes) au mépris de toutes les procédures, les réactions n’ont pas été attendues.

En effet, on croit savoir que les Membres de l’APC ont d’une manière ferme demandé des explications au PAPC. Une pétition serait en circulation au sein de l’Assemblée.

Certaines informations concordantes font état d’une demande d’explications adressée par la  tutelle au PAPC , le jour de la parution de l’article en question. Lors d’une réunion tenue hier samedi, avecmessieurs le Wali, le Chef de Daïra et les membres de l’APC, a paraît-il servi   le «savon». Le constat étant clairement établi à l’adresse du PAPC  de la ville de Sidi bel abbes à majorité absolue FLN : « Décidément, votre mandat commence bien ! »

Mais le plus cocasse, c’est la réaction du PAPC qui voulant justifier son acte, s’enfonce. En effet, il  nie en bloc l’attribution, mais parle d’une concession pour l’utilisation du terrain comme parking. Concession qui –dit-il – a été annulée le 18 février.

Cette affirmation suscite plusieurs interrogations :

–  Premièrement:  D’abord, une concession pour un parking obéit à une procédure où devait être prioritaires les «gardiens de parking» dont les aires occupées ont été réquisitionnées par les autorités publiques. Or, le PAPC a décidé d’octroyer à une personne précise, le neveu du mouhafedh-député . Pourquoi ce choix ?

– Deuxièmement:     S’il ne s’agissait que d’une concession délivrée conformément à la réglementation comme il l’affirme, pourquoi alors l’annuler ?

Quatrièmement:         Ensuite, le choix du terrain lui-même. Le terrain se trouve dans un quartier périphérique et résidentiel dont le besoin en parking n’est pas forcément évident. 

Cinquièmement :    Enfin, le PAPC ne nous explique pas pourquoi, la viabilisation du terrain a été entreprise par les services de l’APC,  sans que l’Assemblée ne le sache.

Il est clair que cette démarche qui devient une habitude montre à quel point l’impunité et le laxisme deviennent un mode de gestion,  qui génère des malversations dans la gestion des deniers et propriétés de l’Etat à des fins personnelles.

La concussion, le népotisme, le clientélisme deviennent le leit motiv  principal dans la gestion des affaires courantes notamment au sein des collectivités locales. Être Maire est devenu de nos jours un motif de se servir et non servir.  Les Membres de l’APC ont également leur responsabilité engagée à partir du moment où ils  ont été informés. Une pétition, une dénonciation ne suffisent plus. Si les Membres estiment que l’acte est répréhensible, ils doivent voter une motion de retrait de confiance et déposer plainte pour abus de pouvoir et  de confiance. La responsabilité est là. On assume ou on abandonne.

Et c’est le minimum de la Foi.

3 thoughts on “APC DE SIDI-BEL-ABBES : FONCIER’FLN’GATE Acte. II”
  1. Gouvernance : La gestion locale, otage des limites du système

    Les clivages politiques perturbent sérieusement le bon fonctionnement des entités locales.
    Le manque de moyens financiers impose la dépendance des collectivités locales vis-à-vis de l’Etat.
    Les rapports entre les communes et les citoyens n’ont pas été améliorés.
    Malgré les différentes réformes concrétisées il y a quelque temps par l’élaboration de la Charte communale, la gouvernance locale continue de présenter de sérieux dysfonctionnements. Quelques années seulement après sa mise en application, le système de l’unicité de la ville commence à montrer ses limites.
    En l’état actuel des choses, la Charte communale est imparfaitement respectée. Il est donc légitime de se demander dans quelle mesure les objectifs majeurs fixés par la Charte amendée, en termes de gouvernance locale, peuvent être atteints. En effet, la nouvelle législation sur les communes et les provinces entend rationaliser la gestion communale, améliorer la participation et la transparence, uniformiser les méthodes de travail et renforcer les pouvoirs tant du président que des assemblées. Cette réforme a été motivée essentiellement par l’amélioration de la gouvernance.
    Il faut noter cependant que les rapports entre les communes et les citoyens n’ont pas été améliorés.
    Blocage, retard, mauvaise gestion, pratique non démocratique, la gouvernance locale est pointée du doigt. D’ailleurs les Conseils des villes dans différentes régions du pays n’arrivent pas à mener à bien le programme, voire à gérer au quotidien les affaires courantes.
    La Charte communale a introduit en matière d’innovation le mode d’élection du président du Conseil communal et la «mise à disposition» comme option pour les fonctionnaires. Il est question aussi de la limitation et de la rationalisation de la délégation de pouvoirs, à une nouvelle architecture pour les commissions permanentes et au renforcement des structures administratives communales. La nouvelle mouture vise une meilleure gestion des villes en instaurant notamment le groupement d’agglomérations et le renforcement du système de l’unité de la ville. La réforme a préconisé également l’amélioration des rapports des communes avec les citoyens en instaurant le droit d’information et le droit de participation.
    D’où la reconnaissance du droit des citoyens à l’information sur la gestion locale qui permet de contrôler l’action locale et de contribuer au renforcement de la transparence, d’une part et, d’autre part, donne la possibilité d’associer les citoyens au processus de prise de décision.
    Manque de moyens
    La tutelle qu’exercent l’autorité, à savoir le ministère de l’Intérieur, revient en force comme une limite aux prérogatives aux communes, notamment en ce qui concerne le champ d’action des Conseils communaux. Pour qu’ils deviennent efficaces et répondent à leur mission, plusieurs recommandations ont été formulées mais qui, par la suite, n’ont pas été adoptées malgré leur pertinence. Il est préconisé de doter les entités en question de ressources financières et humaines conséquentes.
    La moralisation de la gouvernance locale se pose avec acuité. Elle constitue une arme contre les violations de la législation communale, la corruption, les détournements des deniers publics et la mauvaise gestion des biens et des affaires de la commune.
    Le renforcement de la sanction et la lutte contre l’impunité demeurent les moyens qui doivent aider à instaurer une bonne gouvernance locale.
    Sur le plan financier, si 90% des collectivités locales parviennent à couvrir leurs dépenses, elles n’arrivent cependant pas à offrir de nouveaux services (propreté, hygiène, sécurité…). «Ce manque de moyens financiers entraîne la dépendance des collectivités locales vis-à-vis de l’Etat car elles n’ont pas les capacités de rechercher des financements. Cette insuffisance financière constitue donc un handicap dans la mise en œuvre de la Charte communale amendée, contraignant les communes à mettre en place un plan communal de développement, une commission spécialisée et une commission genre. «Les élus locaux sont appelés à faire preuve de dynamisme et à faire du marketing territorial pour drainer des ressources», a expliqué Mohamed El Amrani, professeur universitaire.
    Il a précisé que «la subvention centrale de l’Etat, notamment sous la forme de restitution d’une partie de la TVA, étant inscrite d’office, ne laisse qu’une marge très réduite aux Conseils communaux de juger de l’opportunité d’investir ou de programmer les fonds de leurs communes».
    Par Charaf Jaidani
    Unité de la ville : quatre facteurs bloquants
    Quatre principaux facteurs expliquent les problèmes que connaissent actuellement les Conseils de la ville. Le premier est l’absence d’une homogénéité au sein des majorités dirigeant les Conseils. Ceci se répercute directement sur la qualité de gestion du Conseil, étant donné que les partis formant la coalition restent otages de calculs étriqués. Le deuxième facteur concerne la fragilité de l’engagement politique chez certains conseillers qui n’hésitent pas à voter contre les orientations de leur parti. La culture du butin, troisième facteur, fait que certains conseillers cherchent des profits personnels et des privilèges au détriment de l’intérêt général. Le quatrième facteur est que l’autorité locale, animée par des calculs qui lui sont propres, exerce une tutelle qui nuit à la gestion du Conseil de la ville. Ce sont ces quatre facteurs d’ordre politique qui expliquent les problèmes et les blocages qui marquent certains Conseils de la ville. L’autre problème relevé au niveau de l’unicité de la ville est qu’avec ce système, certains maires s’attachent à exercer toutes les prérogatives qui leur sont confiées par la loi refusant de les déléguer à leurs collègues, ce qui induit une pratique centralisée au sein d’un système de décentralisation. Ces problèmes, qui sont d’ordre politique et sont liés à la qualité des élites locales, ne portent pas seulement atteinte au système de l’unité de la ville, ils menacent également le projet structurant de la régionalisation élargie.

  2. je tien a rapporte un peut de lumiere sur ces depassement au sein de APC de sidi bel abbes le probleme boumelik est le president sur les papier au niveau de la wilaya est un ou plusieur president deriere le rideau qui derige APC et ces des P/APC officieux et plus grand malheure un agent de securitè repris de justice lui aussi il est aussi un president de l’assemblee il fait la pluie et le beau temps
    deux decission de recrutement pour deux femmes une decision de recrutement option 05 heures une appartien RND et autre FFS se signifies que notre tres chers P/APC c’est coureure de jupons ………….la suite prochainement

  3. IL FALLAIT S.Y ATTENDRE ON PREPARE LE PLAN B DEGOUPILLER LE MALHEUREUX BOUMLIK POUR INTRODUIRE L.ELU DORMANT MIS EN RESERVE
    La main basse sur la ville a ete premedite par le mouhafedh fln et son compere khamis avec la benediction de belkhadem des le choix des candidats.En effet afin que les mediocres soient reconduits tout à ete planifie pour leur servir l’apc et ses avantages personnels sur un plat.Que l’on nous dise pas que des elus ont fait passer une petition contre le papc concernant cette affaire puisque tous les elus etaient au courant.Le but est de se servir de la naivete du papc le poussant aux erreurs pour attirer le couroux de la tutelle et preparer pour le supplier le predateur dans l’ombre décrie par la population et le catapulter comme papc en pretextant le mot clé « allah ghaleb » il fallait un changement et le tour est joué.Cependant le papc actuel averti on ne le trompera pas 2 fois FAKO

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