Existe-t-il vraiment un problème sans solution ?
L’objectif de création de plus d’un million de logements du plan quinquennal 2010-2014 lancé par le président n’est pas un hasard qu’il tombe dans les suspicions d’un échec probable. À chaque bide, il y a forcement des causes, et il n’y a pas mieux que de restreindre le sujet pour d’abord en simplifier la recherche aux fins d’en sortir avec un échantillon à appliquer sur tout le territoire de notre pays et ainsi évaluer les dimensions des défaillances délibérées et les souffrances qui en résultent.
De là, où nous sommes, le projet de construction de 200 logements de BEN AOUDA (le rocher) à Sidi Djillali nous oblige à implanter notre création, le ‘’LABO des pouls’’ à la ville de SIDI BEL-ABBES qui servira à ‘’peser‘’ les souffrances langoureuses et incommensurables des souscripteurs de ce projet qui s’avère après plus de 14 ans dans la nullité sans solution aux ‘’horizons abstraits’’.
Les résultats des recherches que va nous régurgiter cet échec seront le produit d’un cocktail de sons de bégaiements sibyllins des différents services concernés de prés ou de loin, DLEP, CNL, DUC, DUCH,. Même les autorités appelées à veiller à la participation et aboutissement du grand projet du président BOUTEFLIKA semblent des abbés en fief totalement détaché ne prêtant aucune responsabilité à un défi ‘’anticipé’’ sous forme d’instruction du premier magistrat du pays.
Les multiples révoltes des illusionnistes bénéficiaires, traduites par tous les langages de protestations aux fins d’arriver à faire entendre raison et parvenir à passer un message légitime d’un droit au logement prévu par la force de la loi, agonisent sans assistance dans l’abime.
Les cris poussifs ont perdu la force du souffle. Pas question même d’y penser qu’un projet de construction de 200 logements prévu sur une durée de 2 ans au maximum, arrive à épuiser ses 14 ans, le projet, nous racontent les prétendants, a commencé depuis l’an 2000, et depuis, toutes les recettes magiques propres au pays ont été essayées et aucune n’a abouti à la moindre des solutions ou même réaction. Que des mensonges qui révoltent et font perdre toute confiance.
Des sit-in, des rassemblements, des souffrances multicolores sous toute forme de protestations, du mécontentement, des dépassements de l’autre part, de la marginalisation, une dictature de l’autorité, insubordination par le fait de négliger des instructions à caractères de sécurité d’état….. Un désordre qui sonne comme un bruit de torture dans l’envi profond d’un petit repos,……..
C’est fou ce qu’on peut tolérer certaines choses qui dépassent tout entendement. Ces gentils pères et mères de familles sont d’une patience incomparable. Ils ont gagé tout ce qu’ils possédaient croyant pouvoir un jour très proche s’abriter avec leurs familles sous un toit de rêve qui s’avère malheureusement le pire cauchemar d’une tombe qui étouffe son propriétaire à attendre le suspens qui rend fou.
Une inspection générale de l’urbanisme a été dépêchée à sidi bel-abbés, elle a, d’après les informations, visité tous les services concernés dans ce projet du rêve anticipé du président de la république. Plus de six mois, qu’est ce qu’on peut dire d’autres, sachant que ces pauvres souscripteurs comme tant d’autres dans de multiple projets souffrent toujours une dictature sous un autre habit qui procure étonnement ‘’l’intouchabilité’’.
Bon dieu, les mots se bouleversent dans ma tête à ne plus savoir comment transmettre une souffrance, la décrire. Comment provoquer une réaction de sauvetage ultime. Les lois ne sont pas faites au dessus de tout le monde ? Pourquoi que les défaillantes des autorités restent malgré tout impunies ?
Que quelqu’un ai l’audace de consacrer un temps même minime pour se déplacer au lieu de ce projet en souffrance depuis plus de 14 ans, punissant des familles abusivement…. Ou faut-il tout simplement se résigner à jamais et comprendre qu’il n’y a plus de solution au problème…. Existe-t-il vraiment un sans solution ?
salut Mr KADI. ce que vous voyez comme véritable problème a été raporté sur BAI le 07/08/2011. http://bel-abbes.info/?p=2940
Je pense avec tout le respect que je dois à BAI que cet article n »a pas fait apparaitre le veritable probleme c’est à dire quel est le devenir des souscripteurs de logements quand le promoteur décéde et que son chantier se heurte à des problemes d’heritage et que ses biens restent bloqués pendant des annees .Connaissant de son vivant l’entrepreneur BENAOUDA il a toujours terminé ses projets jusqu’au jour en entamant les 200 logts il décédat .Certainement ce n’est pas le premier cas en algerie et la legislation n »a certainement rien prevu en cas de disparition de l’entrepreneur (par deces et peut etre meme par fuite à l’etranger) tous ces cas de figure au_rait dù etre prevus pour ne pas tenir en otages de pauvres citoyens c’est un cas qui doit etre tranché judiciairement tous les autres partenaires administratifs et techniques ne peuvent poursuivre l »operation