Comme chaque année , les participants à cette 9ème édition du festival international des danses populaires se sont regroupés dès 15 h, cet après-midi du 26 juin ,devant le lycée Azza Abdelkader pour entamer le défilé habituel dans un ordre judicieusement établi jusqu’à la place Carnot où devait se dérouler les présentations de chaque groupe aux officiels de la ville.Le Wali n’y était pas, la député Bousmaha, le président d’Apc et un chef de daira enthousiaste assis aux cotés de Mme Halima Hankour, étaient les seuls visibles aux invités et à la presse venue des quatre coins du monde, on signale la présence de France24, Euronews,MBC et bien d’autres chaines étrangères. Une organisation parfaite doublée d’une surveillance policière importante.Plusieurs drapeaux de pays , les uns connus , d’autres nouveaux au festival, portés par les chefs de files de chaque groupe , flottaient tout au long de l’artère principale qui était bondée par une foule nombreuse.Les représentants de la Serbie, l’Ukraine,la Grèce,la Turquie,la Tunisie,la France, les Emirats arabes unis,Le Bélarusse, l’Albanie et bien d’autres pays comme le Liban ont, tour à tour, exhibé aux cotés des nationaux venus aussi nombreux de Laghouat, Ghardaia,Sétif , Adrar,Tizi Ouzou, Ain Témouchent , leurs danses populaires.Sur les quatorze pays invités , douze ont répondu à l’invitation , la Palestine devait rejoindre le festival qu’aujourd’hui le 27 juin.Dans les coulisses du festival, la grogne ne cessait de croitre parmi les organisateurs en raison du commissaire du festival désigné en la personne de Mme Hankour Halima , directrice de la culture à Mostaganem, il y a bien longtemps par la ministre de la culture alors qu’elle y était parmi l’exécutif de SBA dirigé par le Wali Benthabet Mokhtar. Cette dame, selon quelques indiscrétions, ne semble pas vouloir lâcher le poste malgré de nombreuses oppositions constatées dans la Mekerra. Un peu plus loin, sur la place Carnot, quelques retraités surveillaient de loin tout ce branle-bas, apostrophés, ils n’hésitèrent pas à fustiger les élus locaux en soulignant l’inutilité de ce festival devenu budgétivore pour le contribuable. »Nos enfants sont entassés chaque début d’année scolaire à 45 et parfois 50 dans les classes d’écoles , de CEM et même de lycée, notre ville est sale et sans éclairage à l’approche du ramadhan et nous continuons à dépenser de l’argent là où il ne faut pas. » poussent-ils.
La coupure générale d’internet survenue, sur le réseau Fawri et probablement sur l’ensemble des autres fournisseurs que nous espérons se rétablir le plutot possible ,ne nous a pas permis de publier cet article à temps et de même pour le film sur le festival qui ne sera disponible qu’ultérieurement.
à regarder les photos prises par si Reffas aujourd’hui mème;on ne peut parler de festival ni de culture!
les retraitès de la place « carnot » pensent bien! c’est du gachis pour rien! les choses primordiales sont à traiter en premier!