les quat-za : Rencontre du 16 juillet : reminiscences d’un potache

“Buvons encore une dernière fois,

A l’amitié, l’amour, la joie,

On a fêté nos retrouvailles,                                         

Ça me fait de la peine, mais il faut que je m’en aille!

(G. Alwright)

 Cette deuxième rencontre qui s’est déroulée – tout comme la première – dans une ambiance bon enfant, a été marquée par  – déjà ! – des nouveautés. Le bureau en exercice aura accompli quelques prouesses que les membres voudraient voir pérennes et croissantes

L’accueil fait au café et gâteaux, et l’inévitable eau indispensable aux « hoquets » que provoquaient certaines retrouvailles ! Revoir Hamdad après 40ans à coup sûr, le choc est prévisible ! Aura apporté un peu de fraîcheur durant cette torride journée de la mi-juillet.

Le discours qui s’ensuivit devenait un peu fastidieux, à force de vouloir démontrer comment accéder au site de l’association, mais c’était sans compter les répliques des « cancres » et les anecdotes resurgis des subconscients ! Bellaid qui appelait au téléphone ZINAI, entretemps « croqué » par  Lakehal. Ziani aura eu en live, le «tmanchir» Mais l’intervention de Boukhdimi aura sans doute été la cerise sur le gâteau. D’un air plein d’émotion, l’amphi aura vibré sous les intonations des narrations de Boukhdimi, qui remontaient au temps de la colonisation ! J’ai retenu « Quand la politique pénètre en classe, il ne reste à l’enseignement qu’à en sortir ! » phrase lancée par le proviseur du lycée de l’époque à l’endroit de Boukhdimi, mais qui reste d’une brûlante actualité !

L’après-midi a eu sa surprise. Elle était de taille ! Lacarne Abbès en tant qu’enfant du Lycée improvisa une « Halka » dédiée aux  potaches redevenus le temps d’un moment, enfants ! Une magnifique prestation qui mêlait adages du terroir (Mostefa Ben Brahim, Benharrat, El Medjdoub…) à  R. Kipling et Victor Hugo dédiant son poème à sa fille Léopoldine ! Bien soutenu par son compère de toujours, Bensaid, Abbès aura subjugué l’assistance !  L’on  pourra dire alors que le Couscous  (servi par l’Association je le  précise !)  aura été facilement digéré ! De plus, il était succulent !

La rencontre s’acheva par une réception finale autour des gâteaux et boissons chaudes et fraîches !

N’omettons pas de signaler  la prouesse du bureau, qui a consisté en la diffusion d’un double CD, sur la précédente rencontre. Un document sublime conseillé à tous les anciens !

Enfin, la minute de silence observée à la mémoire des chouhadas et des anciens du Lycée disparus, aura fait planer les ombres et les âmes de Benaricha Youcef, M’Rabet, Horr « P’tit » Dida, Melaab, Ghliss,  et…..