Ce n’est pas du tout un hasard que le niveau des études est descendu aussi bas à devenir alarmant. L’école est désormais le premier responsable étant la seule qui a le pouvoir et les capacités d’instaurer des règles après de minutieuses études.
Ces règles devront prendre en compte à préparer un climat favorable à l’élève. Un milieu qui lui permet d’être à son aise dans de meilleures conditions psychiques et morales afin de bien suivre ses cours.
Ce climat rassurant dans tous ses points devrait être anticipé et préparé de façon que l’élève soit content des choix qu’on lui propose, des décisions qu’on prend à sa place, mettant à l’approche plusieurs paramètres afin de lui éviter des imprévus fâcheux qui feront entrave à bien suivre ses études.
Selon des indiscrétions, l’on apprend qu’un bon nombre d’élèves dans le moyen et le secondaire souffre des retombées de décisions prises sans analyse par la direction de l’éducation.
Une élève qui a préféré garder l’anonymat par crainte plutôt de mépris tenant toujours à l’espoir de suivre ses études normalement, l’on apprend de ses proches qu’elle n’a pas réussi son passage à la troisième année moyenne.
La jeune élève qui habite à la cité 400 logement tout juste devant le CEM GHAZI DJILLALI et à quelques mètres du CEM HAIRECHE AEK fut par malheur affectée au CEM HOUARI BEL-ABBES situé à presque 1 KM plus loin. La fille devait faire un bon trajet deux fois par jour aller/retour totalement démoralisée.
Elle se faisait agresser à chaque fois sur son chemin apprend-t-on de son proche. Ayant très peur et ne trouvant d’autre solution, ses cours étaient interrompus par des retards et des absences répétés. Son père préférait qu’elle reste à la maison que de se trouver confronter à pareilles épreuves.
Messieurs les directeurs des établissements censés comprendre ce langage ne voient rien en la protection de l’enfant, sa sécurité ainsi que des conditions favorables pour qu’ils suivent bien ses cours. L’on apprend que le père de l’élève n’a pas cessé de les supplier pour transférer sa fille tout proche pour qu’elle puisse continuer ses études.
Rien à faire, la fille n’a maintenant plus le courage de revivre une autre année de terreur où elle ne pense qu’à être agressée, et son père s’est résigné à garder sa fille à la maison de peur d’un accident qu’il regrettera toute sa vie.
Quel droit a l’élève dans ce cas si le directeur de l’établissement lui refuse une logique palpable ? que fait la direction de l’éducation si elle ne peut pas jouer l’arbitre devant ce comportement arbitraire et injuste envers des enfants innocents que les organes de l’éducation devraient prendre en charge totalement au lieu d’assister les mains croisées à des abus d’autorité sur des personnes fragiles.
Djillali T
Aux directeurs de ces établissements scolaires, nous voudrions dire tout simplement ceci: un peu de compassion dans votre attitude, messieurs, ne nuirait guère à l’accomplissement correct de votre tâche. Ne soyez pas bêtes au point de vous priver de la joie de pouvoir secourir un père de famille et sauver l’avenir scolaire d’un élève!
C’ est le dernier des soucis des responsables de l’education ils ont d’autres chats à fouetter sauf s’il s’agit d’enfants de responsables alors là ils se plient , se courbent , s’agenouillent devant leurs maitres comme des ……… quant à la société que peut on attendre d’une société pareille ? RIEN sauf LE PIRE .