Cela a commencé par des SMS et échanges sur Facebook entre fans de l’USMBA et blogers : « L’ex président de l’ESS, M Serrar Abdelhakim était pressenti à la direction de la SSpA USMBA et reste toujours attendu pour gérer les affaires du club de la Mekerra » . Est-ce un leurre, une feuille de route établie bien avant l’acceptation du contrat de notre « Arsen lupin » ou tout simplement une assertion qui trouve son origine dans les fins fonds d’un bureau en charge du dossier USMBA pour des raisons évidement connues?
Il est dit que l’arrivée de Bira au sein de la Mekerra, suivie de l’achat des grosses pointures telles celles de Faradji, Achiou, Belkaid etc.. n’était pas l’œuvre d’un simple hasard ou découlant de négociations ordinaires mais est intervenue grâce à de véritables interventions et course contre la montre pour arracher les joueurs de la trempe de Belkaid ou Faradji des griffes de l’ESS. N’oublions pas que M Henkouche avait subi la foudre des dirigeants de MC Saida en raison de son accord de principe conclu secrètement avec le staff de l’USMBA et obtenu quelques jours après les premières négociations infructueuses avec M Bira au mois de janvier 2013 ,dans une Villa à Alger.
La perspicacité de M Belamri dans son récent commentaire est plus que déterminante s’agissant de la description effective de notre entraineur, M Bira. Aussi , notre ami Djillali C, dans son article, avait bien soulevé ces débuts de grincements entre les deux directions du club (administrative et technique) . Ce jour-ci , l’appel lancé par le président sur la nécessité de renflouer les caisses du club pour payer l’entraineur et prévoir le paiement des salaires colossaux des joueurs est resté « lettre morte » à ce jour , mettant le club et ses dirigeants en « danger ». La ligne rouge est largement dépassée , la grogne semble s’installer durablement dans les rangs d’El Khaddra, une force occulte ou tout simplement une malédiction semble frapper de plein fouet l’USMBA à moins que …. »LE MESSIE » TANT ATTENDU DAIGNE SE MONTRER. Et voilà où M.Serrar reste attendu de « pied ferme » , il pourrait probablement racheter d’un trait toutes les actions de l’USMBA et prendre les rennes du club, ce qui a fait dire à un actionnaire tout à l’heure qu’il serai prêt à lui céder ses parts gracieusement si cela s’avère vrai. Au fait , M Bira et Serrar sont de vieux amis c’est ce qui ressort de cette image où il pose avec Mustapha Salhi président de L’ESS et Abdelhakim Serrar chargé des relation extérieur lors de la saison 1997/1998 accession .
Salim@bel-abbes.info
J’ai posté un commentaire sur l’USMBA avant le début du championnat ou tout était dit en toute transparence cherchez le et lisez le supporteurs quant à mr SERRAR il reste ou il est CHEZ LUI parmi les siens . on n’en veut pas des parachutés merci
Je viens de lire sur OUEST-INFO un article de mr hassani sur l’USMBA je veux vous dire monsieur que les belles paroles et les bons conseils n’ont jamais fait une équipe quant aux louanges elles sont destinées à dieu pas aux etres humains mortels comme nous tous qui ne pensent qu’à leurs intérêts et ils ne sont que de passage vous avez les memes problèmes tous les ans cherchez ou est la solution vous etes intelligent parait-il ?
Le problème de l’USMBA réside dans ses dirigeants et quand nous parlons de gestion, les gens simplifient cette notion à l’aspect technique ; or, la gestion d’un club de foot est d’abord dans la personnalité de ses hommes ou femmes –pourquoi pas -, en charge de sa destinée sur le plan financier, sportif et surtout moral. Les dirigeants actuels possèdent-ils ces critères pour jouir du respect des supporteurs, des responsables locaux, de ceux de la FAF, des autres dirigeants des équipes concurrentes etc… ? Quand on répond à cette question fondamentale, le problème est largement résolu. De par mon expérience, et compte tenu de l’état d’esprit de « l’environnement » du club, seul MUSTAPHA HASSANI est en mesure de répondre à la situation, à condition que les autorités lui viennent en aide financièrement avec pour objectif l’accession. Parler de SERRAR à la tête du club est une insulte à toutes les capacités (au sens large du terme) locales, autant perdurer dans la médiocrité.