Entre ceux qui sont pour et ceux qui sont contre, toute une histoire à écrire. Nos mœurs et coutumes vu les chansons qui ne peuvent être entendu en aisance avec toute la famille ni en public, religion du moment que cet événement coïncide à chaque fois avec le jeune et que nous sommes plus appelé à se rapprocher d’avantage de dieu, du bruit assourdissant qui dérange la tranquillité des riverains du stade 3 frères Amirouche bravant les libertés citoyennes, la consommation des boissons alcoolisées qui se multiplie par l’excitation sans frontière, les conséquences de tout cela qui fortifient les fléaux sociaux et pénalise la societé de différent drames et accidents …Le festival du RAI pointe de nouveau son nez. Il est prévu du 19 au 26 juin 2014.
L’étrange c’est que tout le monde veut que ça s’arrête mais personne ne cri son refus ou justifie son silence signe d’acceptation. La joie éphémère vaut elle vraiment une dénaturalisation humaine perpétuelle ! Au moins régulé la chanson RAI, la rendre auditivement acceptable dans notre societé réservée.
Le directeur de la culture Mr Taibi Med montre sa compréhension devant le souci de certaines franges rapporté à travers les questions des journalistes dans un forum organisé au siège de l’agence de presse ce samedi 01/06/2014 « je suis comme vous, je comprends qu’il y’a des limites à accepter en public, et de surcroit avec sa famille mais y’a-t-il des règles qui délimitent ce qui doit être accepté de ce qui ne le devrait pas » confit-il pour conclure « nous n’avons pas le droit de censurer tant qu’on ne possède pas une critique sur la chanson du RAI »
Une tache ardue, qui suppose un réel suivi en amont, quand il énumère les missions qui relèvent de son secteur. Des activités ordinaires conférées aux maisons de culture, des festivités nationales et internationales, l’activité des bibliothèques, l’inventaire des biens culturel, historique et artistique, monument et même les lieux qui symbolisent la mémoire collective comme celui de GRABA, TAHTAHA…sauf que dans tout cela Mr Taibi explique que la direction de culture n’est qu’un intermédiaire « il faut la collaboration de tous les secteurs » rappel-t-il.
Bien dans sa peau, le directeur de la culture rapporte que le devoir de la société civile et des associations demeurent la clé de la réussite de chaque projet culturel à intérêt général. Le souci doit d’abord se manifesté de la base pour ensuite escalader l’échelle à travers les differentes administrations pour en fin se concrétiser. Cela va de soit pour le patrimoine « de ma part, mes services sont disposés à apporter le soutient final qu’il faut » réconforta-t-il.
Sidi bel abbes, le pole culturel de l’ouest comme qualifié par Mr Taibi directeur de la culture envisage l’année prochaine de créer des centres culturels dans les daïras et communes pour apporter cette activité dans les zones enclavées où la jeunesse n’a aucune distraction.
Plusieurs chanteurs animeront le festival tel Chabba Lamia, CHAB Miloud, el Handi, Nabil en plus d’une probable présence du célèbre sentimentaliste Chab Nasrou.
Djillali Toumi
Bonsoir
Et cheb Dauphin ,fifi et abdou ! seraient-ils présents ? !!(rires)
J’ai bien aimé savoir l’avis de Mr Taibi directeur de la culture de notre ville à propos de ce festival et nous dire qui a choisi cette date !!
C’est quoi un projet qui se veut « culturel » ?
Est-il une action ponctuelle ? comme c’est le cas avec ce festival du raï , choisi à la fin de Chaâbene et à trois jours du mois sacré de Ramadhan !!!!
Quelle est la visée de cette action? est-elle éducative, ludique ou poétique…
Qui a participé à l’élaboration de ce bestival et quel est SON BUDGET? SACHANT QUE POUR CETTE ANNÉE ,LES SERVICES SOCIAUX DE LA WILAYA DE BELABBES ONT RECENSE PRESQUE 43000 FAMILLES JUGÉES NÉCESSITEUSES ET N’ONT PAS DE QUOI PASSER RAMADHAN !!!!.
« LIMANE TAQRA’E ZABOURAKA YA DAOUD »
Eh oui !!!! Quand la CULTURE se résume au Raï Ettelaff, à SBA….!!! Un autre somnifère….!!!
pauvre algerie … festival du rai !!! ….chebs et chebbas pour chanter lalcool la drogue et divers maux sociaux..
quand est ce un festival de sciences et de culture
quan d est ce un rassemblement de chercheurs et dimminents professeurs qui ne demandent qu une petite invitation officielle pour donner un savoir combien precieux et tres benefique pour des milliers d etudiants qui ont soif de savoir et connaissances culturelles …mais helas…nos oulemas sont tellement marginalises au point ou ils se cachent de peur detre malmenes par une secte sans foi ni loi
et comme disait malek bennabi une grande partie du peuple algerien eddeuff (ettbal) le rassemble et un policier le disperce…..