Par la présente lettre, je vous informe que je souhaite déposer une plainte contre le docteur B, de sexe féminin, exerçant au service de chirurgie infantile.
A la date du 20/8/2014, j’ai été victime d’une agression verbale de sa part. Ce manquement au code de déontologie médicale s’est déroulé de la façon suivante (dieu en est témoin) :
Ce jour, c’est-à-dire le 20 août, je me suis rendu au service de chirurgie infantile où mon enfant était hospitalisé pour remettre à mon épouse qui était garde malade, quelques affaires . J’ai été surpris, comme tout parent, en voyant un œdème au niveau du bras opéré de mon fils où l’attelle me paraissait trop serrée. Réaction légitime d’un père.
En demandant des explications à l’infirmière, cette dernière me répondait qu’elle ne pouvait rien faire, et elle a fait appel au médecin de garde. Ce dernier, après consultation a confirmé que l’attelle était serrée et qu’il fallait prévenir le docteur B. L’attente dura 35’ à peu près. Au lieu, de consulter mon enfant, elle s’est adressée directement à ma personne en me traitant de tous les noms devant les honorables gardes malades qui sont restées étonnées. « Sortez immédiatement, vous n’avez honte de regardez les femmes ». J’étais présent à côté de mon fils et inquiet de sa situation. C’est une structure publique, et les visites sont autorisées.
Dès lors, je lui ai demandé gentiment de se calmer, et de corriger son langage, car elle est avant tout médecin. Elle me répondit : « Hada hak eli opérète weldkoum ». Je lui ai répondu, que c’était son devoir et non un service rendu. Elle m’a menacé de faire appel à la police, et qu’elle ne verrait plus cet enfant. Grave encore, lorsque j’étais quitté le service, elle a malmené mon épouse devant mon enfant malade, en nous traitant d’insolents et d’ingrats.
Je tiens à vous faire savoir que mon fils a été repris au bloc chirurgical par un autre médecin pour nettoyer sa plaie et se trouve actuellement en observation.
Devant une telle humiliation de la part d’un médecin qui est censée réconforter les parents par le discours qu’il faut à la place qu’il faut, je vous demande de vous prendre ma plainte en considération.
Mes sincères respects.
Mohamed Samir ISSAD
La situation est complexe un peu partout. Ce peré de cet enfant ne dit pas où il travaille, car s’il travaille lui aussi dans un service publique lui aussi se comporte de la sorte sinon pire. Ici à bel abbes on se plaint que lorsqu’on reçoit une tuile sur la tête, jamais on se rende compte sur ces tuiles qu’on jette quotidiennement sur bel abbes. Bref on se mande comment se fait il que la chirurgienne soit dans la salle? Son role est terminé et c’est ensuite d’autres médecins et infirmières qui prennent l’opéré en charge..si cet homme va déposer plainte devant un juge, celui ci normalement va convoquer cette chirurgienne.. et la situation va se compliquer sur l’hôpital car dans la hiérarchie tout ce monde se plaigne, chacun n’est pas à sa place. Peut être que cette affaire sera bénéfique pour les professionnels de la santé publique, le juge va rétablir les limite de droit pour chaque fonctionnaire..le médecin dans ses limites, le chirurgien dans ses limites, l’infirmière dans ses limite et la famille du malade aussi dans ses limites..le médecin se plaint aussi lorsqu’il va à l’école, au lycée, à la poste, à la mairie….chiche, qu’il porte plainte pour que cette chirurgienne puisse elle aussi vider son ras-le-bol..tout dépend du juge..s’il dira ana khatini
Je vous dit d’annoncer sur la montagne de tessala comme l’avait fait l’ancien moujahid. 3likoum bel machi bel gayma mais belkiyama
Salutation
Bonjour,
Devant un tel acte, il ne faut pas se taire. Si les autorités sanitaires à Bel-Abbes ne réagissent pas, il faut frapper aux portes supérieures, surtout que les réseaux sociaux donnent une image lamentable de nos hôpitaux et nos services sanitaires. Je crois qu’à mon avis, il faut dénoncer ces dépassements. C’est un bon début d’avoir dénoncé ce chirurgien sur le quotidien BAI et je préfère qu’il faille dupliquer ce récit sur tous les journaux nationaux qui puissent exister, arabophones et francophones, en signifiant même le nom de ce chirurgien.
Dans la logique, chez les états de droit, dans chaque hôpital il existe un commissaire des plaintes, généralement un médecin et qui est mis à la disposition des usagers (les patients et leur famille). Chaque hôpital dispose de son conseil d’administration où toutes les catégories sont représentées : l’administration et les divers comités qui siègent pour toutes les affaires de l’hôpital. Parmi les divers comités, le comité des usagers est toujours en contact avec les patients et leur famille et ce afin de s’enquérir de tout ce qui touche les malades et leurs proches. Et chacun connait ses droits et ses devoir au sein de l’hôpital, aucun dépassement ni de la part des professionnel(le)s, ni de la part des usagers, n’est toléré.
Chez nous, la caractéristique de notre loi est : LA LOI DU PLUS FORT EST TOUJOURS LA MEILLEURE.