Nouvelle passée, comme d’habitude, inaperçue.
Des banques suisses ont découvert des milliers de comptes ouverts avant 1955 et inactifs depuis au moins cinquante ans, rapporte dimanche le journal allemand Welt am Sonntag. (Cf. dépêche plus bas)
Cela suscite moult interrogations:
1.- La question n’est pas le nombre de comptes mais les sommes en jeu.
2.- Les banques ont fait le mort justement pour continuer à utiliser cet argent qui n’est réclamé par personne.
3.- Rien d’étonnant à ce que les rapaces sionistes aient été les premiers à vouloir mettre la main sur ce trésor.
4.- Est-il vraiment nécessaire de se demander comment et par qui le Congrès juif mondial a été informé de l’existence de ces fonds.
5.- Il n’est pas plus surprenant que le gouvernement suisse, sans doute informé de ce pactole depuis longtemps n’ait pas cherché plus tôt à mettre à plat ce dossier.
6.- saurons-nous un jour combien ces fonds ont rapporté?
7.- Ce qui est vrai des banques helvétiques l’est tout autant des autres banques de part le monde.
8.- Il reste une question (qui n’est sûrement pas la dernière) : d’où, de qui et dans quelles circonstances cet argent a échoué en Suisse ? Les banques disposent de ces informations. Seul le très lucratif sacro-saint secret bancaire expliquerait la discrétion de ces honorables trésoriers.
9.- Comment ne pas rapprocher cette affaire de la gigantesque économie d’endettement entretenue à l’échelle de la planète. Mécanisme par lequel les nations sont subordonnées. Cela sachant que se négocie dans le plus grand secret les termes d’un traité par lequel les Etats seraient soumis aux capitaux privés dans des tribunaux off shore où se déciderait le sort des peuples.
Affaire en cours la souveraineté de l’Argentine pourchassée par des « fonds vautours ».
Djeha,
V. 08 mai 2015
Enquête en Suisse sur des milliers de comptes inactifs
Reuters le D. 03/05/2015 à 16:17
BERLIN/ZURICH (Reuters) – Des banques suisses ont découvert des milliers de comptes ouverts avant 1955 et inactifs depuis au moins cinquante ans, rapporte dimanche le journal allemand Welt am Sonntag.
Ces comptes ont été mis au jour à la suite de l’adoption d’une nouvelle législation en Suisse qui oblige les établissements bancaires à enquêter sur les comptes où aucune activité n’a été décelée depuis un demi-siècle.
Une porte-parole de l’Association des banques suisses a confirmé l’information du Welt am Sonntag, précisant que les comptes en question avaient été ouverts par des clients suisses et étrangers. Elle a ajouté qu’aucun lien spécifique n’avait pu être établi avec de l’argent nazi. « Les banques peuvent maintenant rechercher les ayants-droit de ces sommes non réclamées qui sinon finiraient par être remises au gouvernement », a-t-elle poursuivi.
Dans les années 1990, le Congrès juif mondial a mené une campagne très active pour que les banques suisses communiquent sur les comptes des victimes de l’Holocauste et restituent ces fonds. (Emma Thomasson à Berlin et Alice Baghdjian à Zurich; Guy Kerivel pour le service français)
DJEHA
V. 08 mai 2015
Enquête en Suisse sur des milliers de comptes inactifs
Reuters le D. 03/05/2015 à 16:17
BERLIN/ZURICH (Reuters) – Des banques suisses ont découvert des milliers de comptes ouverts avant 1955 et inactifs depuis au moins cinquante ans, rapporte dimanche le journal allemand Welt am Sonntag.
Ces comptes ont été mis au jour à la suite de l’adoption d’une nouvelle législation en Suisse qui oblige les établissements bancaires à enquêter sur les comptes où aucune activité n’a été décelée depuis un demi-siècle.
Une porte-parole de l’Association des banques suisses a confirmé l’information du Welt am Sonntag, précisant que les comptes en question avaient été ouverts par des clients suisses et étrangers. Elle a ajouté qu’aucun lien spécifique n’avait pu être établi avec de l’argent nazi. « Les banques peuvent maintenant rechercher les ayants-droit de ces sommes non réclamées qui sinon finiraient par être remises au gouvernement », a-t-elle poursuivi.
Dans les années 1990, le Congrès juif mondial a mené une campagne très active pour que les banques suisses communiquent sur les comptes des victimes de l’Holocauste et restituent ces fonds. (Emma Thomasson à Berlin et Alice Baghdjian à Zurich; Guy Kerivel pour le service français)