« Quand la demande du savoir serait un domaine associé aux règlements de comptes et repose sur le clientélisme et les connaissances »
À entendre le ministre lui-même discuter sur la disposition du gouvernement de prendre en charge les soucis des étudiants dans leurs cursus, de mettre en avant la recherche scientifique aux besoins du développement de la science et de la recherche scientifique, l’on dirait que l’ont est tout simplement dans un mauvais rêve qu’il faut juste oublier au réveil. Malheureusement, c’est loin d’être le cas. C’est une pure réalité à la saveur amère et insupportable.
Les doctorants en biologie à la faculté des sciences de la nature et de la vie (SNV) de l’université Djillali Liabes sont dans une situation des plus alarmantes. Ils ne savent maintenant plus quoi faire pour terminer les travaux de recherches afin de pouvoir présenter leurs soutenances. Déjà, à l’université de sidi bel abbés l’on fait savoir qu’il y’a 14 laboratoires.
Un nombre largement suffisant pour prendre en charge les doléances des étudiants en matière de travaux de recherches. La plus grande majorité a été même, inaugurée par l’ancien ministre de l’enseignement supérieur Mr Mebarki dans sa dernière visite à sidi bel abbés. Il s’avère malheureusement qu’il ne s’agit que de simple construction démuni du moindre matériel qui soulage les étudiants et booste la recherche scientifique qui reste bien loin des espérances et des intentions, et bien sur des exigences de l’évolution en générale.
Les doctorants sont délaissés sans assistance. Certains se dirigent vers des laboratoires privés, mais ne pourront pas toujours trouvés ce qu’ils cherchent pour entamer leurs recherches. D’autres se dirigent vers d’autres wilayas, affronter les difficultés quotidiennes avec de maigres bourses pour satisfaire des besoins énormes.
L’on a été sollicité dans ce cas par un groupe d’étudiants, en majorité filles. Elles implorent l’intervention des autorités compétentes, en occurrence le ministre afin de mettre fin à leur cauchemar. Le hasard a voulu que leurs recherches soient conditionnées par la disponibilité de souris cobayes, malheureusement introuvable à sidi bel abbés vu l’absence totale d’une animalerie, encore moins de matériels adéquats.
Pris par l’urgence, devant soutenir dans un délai de 05 années, elles demandent l’autorisation de se diriger vers la faculté Mostefa Stambouli de l’université de Mascara. Après des préparatifs administratifs et accord du doyen de la faculté le 09/05/2015, les étudiantes ont commencé leurs travaux de recherche la journée qui a suivi. Elles font savoir avoir poursuivi pendant 06 mois défiant toutes les difficultés, à savoir le transport quotidien et la durée du trajet qui dure 04 heure, la sortie trop tôt le matin et le retour tardif chaque soir sachant qu’elles sont des filles, aussi avec une maigre bourse, à peine subvenir aux besoins du transport. S’ajoute à ce décors la présence de ce lieu où l’on assure l’élevage des souris situé dans un coin retiré plein de risque, encore le moment a coïncidé avec le mois de ramadan et la saison estivale, « Notre nombre était notre seul motif de courage », ont-elles souligné
Cette situation a duré jusqu’au 27/10/1015, ou elles ont reçu un appel téléphonique à 11h du matin de la part de la responsable leur apprenant qu’elle a reçu des instructions du doyen stipulant de ne plus autoriser les étudiants en doctorat de sidi bel abbés. Cette décision irresponsable, arbitraire et surtout incompréhensible, du moment qu’elles étaient sérieuses, très disciplinées et penchées entièrement aux travaux de recherche qui exigeaient de minutieuses attentions, de grandes patiences et de sacrifices, a mis en total désarrois les étudiantes qui ont sacrifié beaucoup de temps pour préparer des travaux de recherches qui leur permettent en fin de présenter leur soutenance et assouvir leurs rêves.
Désappointées, les étudiantes vont voir leur encadreur qui prend contact avec le directeur de l’université de sidi bel abbés, qui, à son tour contacte le doyen. Ce dernier lui apprend qu’il a reçu des instructions fermes du directeur de l’université de Mascara (K.A) de ne plus accepter les étudiants de sidi bel abbés, et en particuliers les doctorantes qui préparent des travaux de recherches.
Toutes les probabilités étaient consultées, mais le motif bizarre semblait telle une aiguille dans une botte de foin, selon-t-elles, jusqu’à ce que le voile descendit en fin pour faire apparaitre l’inadmissible et faire surgir en surface le vrai motif. La fille du directeur de l’université de Mascara aurait déposé un dossier de candidature pour un concours de professeurs à la faculté de SNV de sidi bel abbés. Le diplôme, selon le témoignage ne correspondait pas aux critères consignés en application de la loi relative à des points cités au journal officiel. Notre recteur l’aurait mal pris et a voulu se venger ne sachant de quelle manière prenant en otage, non seulement des étudiants, mais toute la recherche scientifique qui boite malheureusement pour des raisons d’inconscience, de négligence, d’injustice et d’impunité manifestes.
Un groupe de professeurs ayant partagé ces souffrances a voulu prendre part dans cette ‘’dégringolade’’ et entamer des mesures pour récupérer les souris cobayes pour ne pas voir 06 mois de travail jetés en l’air, et permettre aux étudiantes de soutenir leurs doctorat avant les délais, mais vainement. Les étudiantes sollicitent aujourd’hui l’intervention du ministre afin de mettre fin dans l’urgence à ce comportement qui prend toutes les formes sauf celui de la raison et l’encouragement aux études supérieures dans le pays.
Djillali T
Bonjour
Les doctorants de la faculté de biologie souffrent devant le manque de considération des responsables. Ils n’arrivent pas à faire leurs travaux devant l’absence de laboratoires.Une honte. Ils font de l’aumône au niveau des autres universités. Dire que les doctorants participent par leurs propres moyens aux congrès. Grave ce qui se passe au niveau de la faculté de biologie.
Bof c.est un tout qui ne va pas bien..regardez l.exemple de l.anulation du concours de residanats a Oran si l.administration est bien formè il n y aura ni bavure ni annulation y.a pas un pays au monde qui annule des resultat de cette manière..si au depart il y avait incompetance dans l.organisation des concours ce sont ces administrateurs qui seront appelè a la barre du tribunale administrative et non un limogeage..Donc ils n.ont pas le droit de l.annuler ce n.est pas l.etudiant qui porte la faute..il a participè s.il y avait une triche c.est le rapport du surveillant qui fait foi dans le proces verbal.. bien que dans les concours il ya toujours des mecontant maisLa reglementation a prevus le.droit de recours pour une double correction.Pour alors demander une annulation avant de faire tourner la machine reglementaird dela double correction..les etudiants doiventDeposer une motion a la facultè pour anuler l.arreter de l.anulation du concours et exiger l.aplication du texte reglementaire de la double correction..Pour ce qui est de la facultè de biologie de bel abbes ce n.est pas vrai o.etat.a.deboursè des milliards pour cette facultè sauf que les mauvais etudiants occupent le devant de la scene et empeche l.etablissement d.une veritable dynamique de.savoir c.est l.etudiant et etudiante qui doit courir derriereLe.savoir et non l.inverse..le.code administratif est claire « »Il est interdit de fermer les portes.des bureaux » » tout le monde doit etre.visible.du couloir
salut tout le monde j’ai vue l’article même sur chourouk je pense que c’est vraiment dommage car on raconte pleins de mensonges surtout quand il s’agis de gents instruits d’abord le dossier de la fille du recteur de l’université de mascara était accepté car elle as un doctorat selon vous la fille d’un recteur n’as pas le droit être recruter? il n’y a jamais eu de règlement de compte car les étudiants de madame Toumi travaillai a Mascara de façon irrégulière car il ne pouvais pas y être sans co-encadreur alors les gents ne pouvant pas dire la vérité et assumer leur actes ils disent du n’importe quoi sur les gents .
rabi yahdikoum
@hala leila
si la reglementation exige qu’il fallait un coencadreur ou le reglement interieur du departement exige un coencadreur il fallait le dire avant que les étidnates entame leurs traveaux.Donc l’histoire du coencadreur ne tient pas de bout si les étudiantes portent pleintes contre l’université pour avoir des dédomagement physique et morale et elles ont le droit et la liberté de le faire.
Comme on connait l’etat de la recherche en algerie il se peut que les étudiantes tournaient en rond..faire l’experimentation sur les souris ça demande une chaire de biologie tres ancienne et des competences y’a que les Russes qui maitrisent ce créneaux..Fallait pas faire ce genre d’experimentation si on n’a pas ni les competences ni les moyens..
il faut rester simple et faire »une science purement nationale algerienne » »avec des publications nationale et algerienne » »dans des revues nationale et algerienne »…d’apres les etudiantes elles faisaient des travaux sur les plantes medicinales..il faut etre raisonable meme certains Etats aux etats unis ne pretendent pas faire ce genre de travaux..et des fois lorsqu’ils tombent en panné de competence ils font appelle aux Russes dans le domaine de la biophysique..la résponsabilité des 2 conseils scientifique de bel abbes et mascara est engagée..car c’est eux qui examine le coté »scientifique » le coté pedagogique ça releve du CPC , c’est le CPC qui a droit de se prononcer si oui les etudiante peuvent faire ou non l’experimentation..voila tout est khalouta chacun fait ce qu’il n’a pas droit de faire..c’est l’esprit »tarzan » en arabe atarzaniya…lol
Faudra pas faire du chiki et laisser les pauvres étudiants dans le balancement..bonne chance les filles..et choisser le simple »khfife drrif »
salutation
Le plus grave problème de cette université qui ne peut pas sortir de ses différents scandales, c’est la personnalité des responsables qui ont géré et qui gèrent celle-ci.
D’abord, ils minimisent et surtout étouffent ces « maladies honteuses » comme les triches, les fraudes, le clientélisme, le favoritisme. D’autre part, Ils ont « la folie des grandeurs »: c’est d’ouvrir à tout azimut des Ecoles par ci et par là sans se soucier si les étudiants auront une formation convenable. Pour ceux, l’existence des murs leur suffit pour décréter l’ouverture de filières nouvelles. Le résultat, on le voit à travers cet article où les étudiants sortent de leur silence pour crier leur désarroi!
@abassia
Tant que la science reste théorique, on peux ouvrir les spécialités tant qu’on voudra. Après les années 84, avec la crise et les pénurie, les universités algériennes faisaient que de la vulgarisation scientifique : un cours de la télévision qui vous montrera comment la terre s’est formée, comment les électrons parcourent un métal, comment la bactérie touche l’œil et provoque l’inflammation..
Pourquoi les gens évitent l’expérimental?? car c’est là où se différencie le vrai universitaire du faux..l’université, c’est le labo pas la craie ou le vidéprojecteur..A l’université de sidi bel abbes , les gens de labo existent mais la majorité fait pression pour maintenir la craie au dépend du labo car c’est dans le labo qu’on connait les vrais des faux qui ont été exclue d’ailleurs et qui sont venus s’entasser a l’université c’est eux qui font la folie des grandeurs pour cacher leurs incompétences..ils achètent du matériel lourd pour frapper les imaginaires..alors qu’avec du petit matériel standard on arrive de former d’excellents étudiants dans tous les domaines. Comment faire tout est bloqué?? la seule solution c’est la retraite qui réglera ces problèmes accumulées pendants des années. Au moins, on espère que les jeunes équipes d’enseignants moins de 35 ans auront a vivre un autre environnement..Mais est ce que les ennemis du pays vont baisser les bras pour saboter encore plus,,?? eux aussi sont devant la problématique du vieillissement de leurs troupes… »je suis vieux je ne vois pas bien, la chkara devise des stages dans le sachet plastique je n’étais pas un voleur d’honneur mais un petit cafards qui travaille pendants les heurs de repos »
souhaitant le bien pour ce pays et la science pour nos étudiants
salutation ABBASSIA resteants debout
l’histoire de la faculté de biologie on la connait, elle était miné par la course entre chimiste, physiciens, et médecin..ils ont voulu casser le département de biologie et de l’informatique des concurrent sérieux et dans certaine manières les étudiants payent les pots cassés..deja ils ont arrivées a scinder la biologie en trois blocs en conflit les biologiste les agronomes et le reste..alors qu’il y avait l’institut d’agronomie a alger et ‘itma et l’inra etaient encore fonctionnelle au lieu de batailler pour transformer l’itma en pole superieur ils se sont entassé sur les biologistes..c’est normal l’institut jais de biologie ne savait pas quoi faire donc on n’a fait ni fondamentale ni appliqué.
Les souris c’est la biologie fondamentale c’est la zoologie c’est la physiologie animale c’est la biochimie c’est la cytologie c’est l’hystologie c’est pathologie etc..ou sont tout ces departements??
Il faut être claire soit vous faites de la science soit vous fermez..
bon maintenant je crois enfin que les biologiste vont avoir du repos en opérant la séparation entre les fondamentaliste et les appliquées..ya khouya
l’itma est redevenue une école a part entière. il y aura la faculté d’agronomie et la faculté de biologie..Comme ailleurs dans le monde les facultés de biologie sont composé par la biologie animale qui intègre certaine spécialité médicale car il travaillent sur le même substrat et la biologie végétale..
dans ce cadre oui les encadreurs sont tenues responsable pour avoir donner des sujets sans avoir le matériel nécessaire et le conseils scientifique qui a accordé l’autorisation d’ouverture sans examiner la situation pédagogique..si il ya une sanction qui sera sanctionné et sur quelle base??
A MON AVIS LE MINISTRE DOIT INTERVENIR POUR OBLIGER LA FACULT2 DE DONNER DES STAGE DE 12 MOIS POUR CHAQUE ÉTUDIANTS EN FRANCE POUR TERMINER LEURS MANIPULATIONS
vous avez raison baraka ellaho fik