Il est à croire que la paire « Algérie télécom + modernité » va très mal et ne peut aboutir à un résultat! Sinon comment croire notre interlocuteur du vieux quartier de Sidi Yacine de la ville de Sidi Bel abbès , à qui on vient de lui attribuer un nouveau numéro pour la deuxième fois consécutive en l’espace d’une année , vient de signaler un dérangement sur sa nouvelle Ligne 68 et qu’il est sans internet depuis la 3 Août 2016 , date de basculement à cette nouvelle numérotation.La solution est toute trouvée chez Algérie Télécom, on dit que « c’est problème national pour la nouvelle numérotation!
Bref , il n’y a aucun doute , selon notre interlocuteur, lui-même, un spécialiste des télécoms, il signale que rien « n’est encore maîtrisé du coté d’Algérie Télecom de Sidi Bel Bel-abbes: la preuve , les premiers essais d’une telle décentralisation d’une numérotation numérique qu’on envisage d’introduire dans un premier temps pour faciliter l’intégration à la toile , est un fiasco. » Et pour preuve , un grand nombre d’abonnés (quartier de Sidi Yacine et Hai Badr) branchés à cette chambre métallique qu’on a installé au niveau de la cité des Amandiers, ne cessent de se déplacer depuis la datte sus-citée à l’agence Actel de la rue de la paix pour divers réclamations.
Pire encore, les bons de recharge de l’Adsl Idoom n’arrivent pas à être validés pour cette numérotation, par le système d’Algérie Télécom, c’est à croire qu’il existe un écart technologique ou une mésentente entre services d’Algérie Télécom, tout cela s’est passait le dimanche 6 Aout où un grand nombre d’abonnés n’arrivaient pas à comprendre ce meli-mélo engendré par ces bons achetés au niveau de ces agences .
Autre fait marquant de cette journée, un abonné venu réclamer son blocage de l’e-paiement depuis plus de six mois à ce procédé qui lui permettait de régler ses facture de l’Adsl par internet sans se déplacer aux Actels malheureusement depuis décembre 2015, il n’arrive plus à payer sa facture de l’ADSL par ce procédé virtuel et n’a trouvé aucun canal pour régler son problème même les doléances ou requêtes en ligne ne passent pas, dit-il. Pour lui ce « e-paiemnt ou autre n’est que khorti tant qu’Algérie télécom se fie à des privés méconnus sur la scène numérique de leurs logiciels » et d’ajouter « comment peut-on payer des millions de dollars à un étranger entraînant le foot et négliger ou interdire le paiement d’un spécialiste dans un secteur aussi névralgique que les télécoms »