Mr Bouchentouf Belhadj a déposé un dossier de retraite anticipé le mois de novembre 2016. En 2017, le mois d’octobre, après presque une année, voyant sa pension de retraite traînée dans l’oubliette lui causant des difficultés financières énormes pour mener à bon train son existence avec sa petite famille, il décide de déposer une requête le 11/10/2016 dans l’espoir de connaitre le sort de sa demande de retraite anticipé.
Apres 08 autres mois, exactement le 07/05/2017, la commission de recours prend la peine d’envoyer une correspondance au réclamant que son recours fut accepté et que la commission a en fin tranché pour le bénéfice d’une pension de retraite anticipée après recours à la décision 86/47 datée du 08/02/1986, aussi à la décision n° 140 datée du 21/06/187 qui fait ressortir que Mr Bouchentouf Belhadj a réellement travaillé chez son employeur, comme le confirme aussi sa carte professionnelle déposée avec le dossier.
Mr Bouchentouf fait savoir qu’il fut obligé de ramener une preuve des services de l’APC de sa résidence à Boukanefis pour confirmer qu’il est le seul à porter le non de Bouchentouf Belhadj dans cette commune, comme si tous ceux qui portent ce nom portent la même date de naissance et sont de parents aussi identique du nom et ont aussi tous travaillés dans la même entreprise. n’est-ce pas étrange? c’est-il demandé. Mr Bouchentouf, étant père de famille, devant des exigences de mariage de sa fille aînée, ce voit demander de la charité pour pouvoir subvenir d’abords à la bouffetance et vivre dans l’humiliation. Son cri de détresse, il tient le faire parvenir à Mr le wali. Sa déduction après tout ce temps inacceptable, inadmissible, c’est qu’on lui fait infliger la plus affreuse injustice pour un droit foncièrement absolu.
Djillali T