La ville de Sidi bel abbès, a vécu ces jours-ci de fortes pluies, submergeant un grand nombre d’artères dans l’ensemble des zones, faisant songer, aux risques d’inondation, qui pourraient survenir. Ainsi, l’obstruction des caniveaux apparaissant de visu, est un problème sérieux, qui est indexé, particulièrement en cette période d’automne. Grand nombre de caniveaux sont bouchés par des ordures de toutes sortes, exposant la ville à un risque d’inondations.
Les pluies qui se sont abattue au cours de la semaine, ont submergés d’eau certaines zones et artères de la ville. Ainsi au fur et à mesure que les pluies tombaient les routes principales étaient envahies par l’eau, qui n’arrivait pas à se frayer un chemin. Plusieurs ruelles se trouvaient dans la même situation. Cet état de chose, nous incite à rappeler une fois de plus la nécessité de procéder au curage des caniveaux, été, en prévention des périodes pluviales et cette mission qui revient à l’ONA, devrait être incluse dans son programme d’action.
Dans ces cas présent, cela revient à l’incivisme des citoyens, dont certain n’ont trouvé d’autres dépotoirs que les caniveaux et aux agents des poubelles mobiles de Nadifcom qui ont laissé faire, en permettant aux poussières cumulées de pénétrer dans les caniveaux. En outre, il y a lieu de signaler que les curages, lorsqu’ils sont engagés, se font, à la va-vite.
A croire aussi, que les caniveaux actuels qui parfois ne répondent plus aux normes d’effectuer des opérations de curage, avec extension générale, qu’il y est, ou qu’il n’y est pas de pluie, semble ne pas être fidélisée à un programme d’assainissement périodique, car il va sans dire que le curage des caniveaux, doit être un service continu.
Les comités de quartier, ont également leur part de responsabilité à ce sujet, en veillant à ce que les ordures et autre sable ou boue ne soient pas éparpillées, le long des trottoirs, pour prévenir, les probables répendues d’eau dans leur rue.
Pour ce qui est des pluies d’hier, nous apprenons qu’une intervention rapide du service de ONA, durant toute la nuit a permis l’assainissement de 15 regards et le débouchage de 65 avaloirs. Selon Mr Menouar Réguig Issad vice président de l’APC : « Cependant demeure le point noir de Bab Daya qui par Saturation du Réseau, en raison de son branchement ai réseau de « Makem Chahid » ou il sera nécessaire de trouver une solution pour la séparation de ces deux réseaux, dc par ce fait l’ONA et Hydraulique devront coordonner un Plan d’action conjointement avec l’APC et les Services de la Daïra afin d’éviter ces désagréments, dans le futur ».ajoutera-til