« La croissance et le développement économique sont un apaisant politique qui étouffent toute contestation et permettent aux gouvernements d’éviter tout affrontement avec les riches. La bonne gouvernance permet de bâtir une économie juste et durable.. »BENALLAL Mohamed
.
En économie comme dans toutes les autres branches de la science d’une manière
générale, il s’agit de bien présenter les étapes de la méthode dite
scientifique c’est-à-dire d’identifier dans un premier temps le problème qui se
pose, ensuite procéder à l’analyse de façon profonde et analytique pour enfin
concevoir d’éventuelles solutions positives.
En effet La vision stratégique qui définit les grandes lignes d’une action
orientée vers l’avenir, pour ce qui se rapporte aux propos de l’économie d’un
pays ou plus exactement du modèle économique de développement ; un projet politique
capable de déterminer un projet social intégré accompagné d’un modèle
économique pour aboutir à un résultat donnant un mode de vie dans un cadre de
vie bien avancer et bien balancer. Cela nécessite évidemment une stratégie de
développement tout secteur et segment confondus. Mais puisque nous parlons
économie , son développement doit être mis en œuvre par des investissements
pouvant générer une croissance économique positive permettant d’aboutir à un
meilleur cadre de vie assurant également un bon niveau de vie pour tous, une
richesse globale plus importante, plus d’emploi et moins de chômage, plus de
satisfaction et moins de misères et de pauvreté , plus de possibilités, plus de
moyens disponibles pour faire face contre les défis du négativisme( corruption,
mauvaise répartition du revenu, croissance négative…) enfin pour plus de
bonheur car La corruption dans le gouvernement, dans l’État et dans la société
provoque manifestement le sous-développement qui peut se faire sentir dans
n’importe quel secteur. Il est faux de garder le silence sur la corruption au
point où elle devient la norme générant le négativisme et la
déliquescence.
La question la plus importante qui oriente et préoccupe les politiques
économiques de notre temps, est comment faire pour améliorer la croissance, et
diminué le chômage tout en améliorant le niveau de vie ?
Il y a deux conceptions qui peuvent se coaliser.
1- La première consiste à faire le choix d’un système économique : qu’il soit
de type socialisme, capitalisme, libérale ou bien ultra libéral.
Pour le socialisme ca a été expérimenté chez nous suivit de l’adage de notre
terroir qui dit : « Une galette de pain préparée par dix personnes ne peut être
cuite, et si par hasard elle est cuite, elle ressort griller du four ».
Le capitalisme est une autre voie ou la propriété des moyens de productions ne
font plus partie du monopole de l’état, le libéralisme permet aux agents
économiques d’être plus susceptible de s’adapter aux circonstances des marchés,
les sphères de productions de biens et services de distributions , de
commercialisation, de monétarisation et de financiarisation , qui seront de
l’apanage des entreprises par conséquent il y aurait moins de charges sur la
société et plus de croissances économique positive quand c’est orienté vers une
société de production.
2-la seconde est que l’état devrait se préoccuper de la société, pour un
meilleur pouvoir d’achat, pour la création de plus d’emplois par une politique
d’investissement par mobilisation de l’argent public et privé constitué par
l’épargne bancaire. Procéder à faire un renversement des relations de force
entre les actionnaires et les employés et entre les petites entreprises et
grandes entreprises pour une meilleurs symbiose et une synergie productive
positive.
Se sont deux aspects de modèle économique mais un brassage des deux conceptions
menées par un état fort( état de droit) pouvant amorcer par une elite, un essor
économique basé sur la croissance, issue
d’un surplus de la richesse et la bonne répartition du revenu. Par contre
l’inconvénient est que le capitalisme prôné par notre système actuel est plutôt
rentier(Bazard), un capitalisme sauvage favorable aux prédateurs ; l’argent
public est soutiré de la ressource naturelle tarissable(Hydrocarbures) et qui
n’est pas destiné à être investi dans le développement des entreprises
créatrices de richesse mais vers l’importation de biens et de services
empêchant toute création de biens faute de différence de couts et de qualité
sur le marché intérieur.
Cette rente pétrolière a permis seulement de faire augmenter les salaires sans
contrepartie et sans création d’emplois, n’a pas permis d’améliorer les
services, la recherche n’a pas été prise en considération, le mauvais emploi
des crédits pour l’investissement n’a pas donné de résultats escomptés etc……
Ce système rentier a ses propres limites et ses
conséquences sont fâcheuses et désastreuses, car il est désormais confronté à
une crise (chute des prix des hydrocarbures) de son pacte social issu du modèle
rentier la suite se fait par El Hirak qui vient de balayer le gouvernement le président
et il reste à se que le système lui-même disparait.
L’emploi public garanti représente l’un des piliers de l’Etat providence non
productif, ne fonctionne plus de façon productive et efficace mais engendre
plus de freins, de goulots d’étranglements, de bureaucratie et bien d’autres
méfaits qui empêche tout effet de croissance et de développement.
Deux actions sont donc menées de front quand « madame crise » se prononce
« ElHiraks » s’annonce
Par ailleurs, une politique d’austérité (coupe budgétaire) devrait être arrêtée, afin de faire face à la chute des cours pétroliers., les services subventionnés de l’eau, de l’essence , de l’électricité et de certains produits de large consommation devront être reconsidérés à leur juste valeur.
la solution de décollage économique nécessite de
sortir du tout pétrolier et réformer l’économie pour la mettre sur les rails du
cadre de la création de richesse, c’est pourquoi il faudrait mettre au point
avec des « think tank » algériens , nos doctes, un plan économique, une
stratégie et un modèle de sortie de crise avec un nouveau projet de société et
politique.
C’est certain dans un premier temps que sur les PME que repose la majeure
partie de l’emploi et de la création de richesse. Malheureusement les PME sont
en majorité des sous-traitantes des grandes sociétés qui se trouvent à
l’extérieure, et se sont ces grandes sociétés qui possèdent cette politique de
développement et de réinvestissement des dividendes, par conséquent il devient
logique que les plans de charges des PME se retrouvent amoindris et par delà se
soumettre aux politiques des grands.
La création un système équivalent aux fonds souverains permettant de drainer
l’épargne et recouvrer l’argent gaspillé et détourné par les prédateurs qui
serait mis à la disposition du financement de nouveaux investissements
productifs. Malheureusement le grand problème de ce système, en période de
crise, les citoyens perdraient leurs épargnes par le biais de l’inflation, de
dévaluation et de la décroissance même les marchés se trouvent affecté.
Finalement, quelle solution reste-t-il ? Comme on vient de le voir, Il ne nous
reste que le pouvoir politique à changé, car il peut potentiellement forcer un
changement dans ce système ou le diagnostique nous a permis de voir le fond du
vrai problème qui est en fait la mauvaise gestion de la gouvernance, de
l’économie, des ressources humaines et des infrastructures. Les jeunes perdus
dans la corruption, le chômage et la mauvaise gouvernance, représentent un cout
très important pour l’état. L’Algérien devrait savoir que certains responsables
Walis-directeurs et institutions(APN-senat-APW-APC)
plantent des graines d’échec dans ce pays pour enfin récolter des maux sociaux
et ils affirment dans le même temps que nos jeunes ne sont pas en mesure de
travailler, ni de produire de la valeur, ni des pensées de l’art de
l’innovation et de création de richesse.
Les
civilisations, l’économie et l’argent sont faits par l’homme.
Par conséquent, Il faut cependant que les citoyens le comprennent bien, que les
gens luttent et manifestent contre ce mauvais système rentier, La gestion est
l’ingrédient le plus important dont nous manquons aujourd’hui les gens de ce
peuple ont un sentiment de conscience historique et reconnaissent facilement
ceux qui travaillent à leur avantage et les soutiennent pour que le pays soit
en marche. Les prédateurs devront rendre des comptes et l’argent nécessaire
pour le développement
BENALLAL MOHAMED ancien cadre
si chaque commune s’aorganise bien et redevient comme un etat autonome avec des lois et des regles, je pense que c’est laaaargement suffisant..
l’etat n’est qu’un tresor nationale chaque commune versse une contribution, et le tresor servira pour les ayants droits qui sont connue dans le coran. le tresor n’est qu’un tresor formé par les sadakate qu’on appelle chez les français impots, mais les français ont éxagéré dans ce domaine, il font de la construction d’un trotoire un alibis pour percevoir de l’impot.. ce qu’on appelle chez eux le fond publqiue destiné a financer les projets publqiues. chez nous on a copier ce systeme sans regarder l’historique de la france. tu prends un exemple, si la commune ne preleve pas l’argent pour collecter les ordures, normalent les gens vont devoir trouver une solution eux meme. meme s’ils se reunissent ensemble et decide que chacun cotise, en pratqiue c’est tres difficile de l’appliquer car au moins quelques uns ne vont pas verser leurs part. d’ou l’ecaltement entre eux des escarmouches…ils vont logiquement porter le cas devant le maire qui fait office de juge par interime. comment va t’ils regler ce probléme?? deux solutions soit traduire les recalcitrants devant la justice pour les obliger a payer leurs cotisation soit il va le faire lui meme, en prelevant de force les quotes part chez chacun et faire le travail de ramassage lui meme par le billet dur service publique c’est a dire les service de la commune..mais voila le maire va rencontrer des probléme dans l’organisation du service publqiue car c’est une société crée pour accomplir un service. cette société est financé par le fond des citoyens, donc normalement
cette société obeit en terme de lois comme une société par action, elle est sous l’autorité d’une direction compôsé par les actionnaires, c’est eux qui doivent organiser son fonctionnement sa comptabilité etc. le maire n’a aucun droit sur la dite société car ce n’est pas lui qui la finance …ce probléme n’est pas posé en france en ces termes. la france laisse les choses dans un cafouillage qui va permettre toutes les déperdition les détournement le gaspillage les surcout les surfacturations etc des cotisations car les contributeurs actionnaires n’ont aucun droit de regards sur le fond publiques..
donc voila j’ai donné aujourd’hui une base de réflexion, car nous sommes dans le système français, bon ou mauvais il faut l’analyser c’est tout..
mais les cotisations dite nationale leurs beneficaires sont connu les pauvre les femmes enceintes les handicapé les voyageur les étudiants le logement dite sociale etc