Si la journée du savoir est conçue à encourager la recherche dans toutes les disciplines quelles soient littéraire, technique, scientifique ou juridiques, Promouvoir le Savoir et le diffuser, mettre en valeur les jeunes lauréats qui ont consacré de longues années pour atteindre un haut niveau de la connaissance, Publier les articles de recherche, réaliser et diffuser des études dans toutes les discipline et faciliter contacts et dialogues entre diplômés et chercheurs et favoriser la coopération entre eux et développer échanges et recherches interdisciplinaires afin de consacrer tous les efforts vers un développement efficaces de tous les secteurs.
Si nos efforts devraient s’orienter vers la science de l’éducation afin de comprendre les comportements des écoliers dans nos écoles, et si cette journée devrait être en réalité l’initiative de l’université censé regrouper le savoir, elle est souvent l’ouvre des services de la wilaya pour conclure à un événement plus protocolaire, à comprendre généralement dans son programme des activités qui reflètent de loin le but pour qui elle est conçue réellement.
L’événement reste tributaire à une rétrospection en l’hommage à l’illustre savant Abdelhamid Ibn Badis disparu le 16 avril 1940 et son parcours rayonnant pour la vulgarisation du savoir ‘’EL 3ILM’’, la journée s’avère désormais sans âme. Elle n’est autre qu’une ‘’formalité’’ comprise dans le programme des activités dites culturelles de la wilaya.
Des activités qui ont plus tendance à remplir un programme politique routinier stérile compris entre la chanson, les visites de livres scientifique onéreux qui serviront juste à garnir des étalages, ainsi que d’autres activités à caractères plus sociales comme celles relatives au mois sacrés de Ramadan et le lancement de l’opération de Zakat el fitr.
L’événement, heureusement, qu’il renvoi à se rappeler de la figure emblématique, l’homme du savoir Abdelhamid Ibn Badis qui a lutté avec son association pour promouvoir le savoir et le diffuser afin de mettre en valeur des exploits, malheureusement ni réellement acquits, ni véhiculés à travers les générations, ni développés pour accompagner les différents progrès dans les différents secteurs.
Djillali Toumi
bin il faut du temps pourque une region va faire la liaison entre savoir et richesse.
lorsqu’une region saura que le savoir=argent, la oui tout le monde cherche le savoir sinon comment comprendre que tous les étudiants veulent faire medecine?? Medecine=statut+argent…malheureusement nos sommes passé par des periode de lutte de guerre imposé a nous par des envahisseur et des étrangers qui nous ont imposé un genre de débat. et nous transmit leurs tourments. au sud qui etait loin de ce champs les gens parlent de philosophie de religions de soufisme de datte de légumes etc….meme les belles habitudes des années 70 on les avaient perdus. les premonade d’écolier découvertes, la visite des etudiants dans les usine les ports les aeroports, les salles de cinéma et la decouverte des appreilles de projections, la visite aux hopiteaux la decouverte des salle des operations, la visite au mont el 3atouche entrer pour visiter l’emeteur de la televison parler avec les techniciens qui vont vous montrer les emeteur faire comprendre leur puissance.visiter un aussi un champs de labour participer au moment de la moisson, ça crée une journée heureuse de travailler, voir un champs de Fraise participer aussi a la plantation et revenir pour voir le resultat et participer a la collecte ..dans ces visites chaque jeunes étudiants fait sa propre idée d’un metier chacun va aimer un secteur et desire de faire de ce créneaux un metier d’avenir..mais lorsque un enseignant n’a pas de priorité absolue au logement ya sidi même de fonction, on n’a pas dit donner lui un logement pour qu’il puisse le revendre..la c’est le probléme