BEL-ABBES INFO

Le premier journal électronique de la wilaya de Sidi Bel-Abbes

ByRedaction

Mai 23, 2019

En toute « fraternité.
Il est vrai que Bahreïn héberge la Vème flotte des États-Unis pour contrôler la région et s’assurer de la docilité des régimes bananiers du coin, de la sécurité des routes commerciales et des ressources naturelles des enturbannés en gandouras aérées.
Beaucoup s’imaginent que les États-Unis et les oligarques qui les pilotent dans l’ombre n' »en veulent qu’aux harkis indigènes.
Qu’ils se détrompent: le vrai but de Washington, via le pétrole et sa monnaie, le dollar, servent à serrer le kiki des Européens, des Japonais et des Chinois et verrouillant leurs approvisionnements énergétiques, via les enturbannés.

Tout le reste comme d’habitude c’est du roman à l’intention des médias mondialisés et de nos brillants intellectuels qui répugnent à l’idée de leur arabité et se pâment devant l’Oncle Sam et leur larbins parisiens, ce faisant ils ne sont guère différents des crétins du Golfe dont ils veulent se distinguer à tout prix (très élevé).

Créée en 1944 puis dissoute en 1947, la Vème flotte a été reformée le 1er juillet 1995. Son quartier général se trouve à Manama.
On se demande au juste, compte tenu de la taille de ces micro émirats artificiels et supplétifs, qui héberge qui…

Djeha,Mardi 21 mai 2019

Oman appelle les pays arabes à apaiser les « craintes d’Israël »

AFP, S. 06/04/2019 à 19:54

Le chef de la diplomatie omanaise a appelé samedi les pays arabes à prendre des « initiatives » afin « d’apaiser les craintes » d’Israël concernant son futur au Moyen-Orient, suscitant des critiques de la Jordanie.

« L’Occident a offert un soutien politique, économique et militaire à Israël qui dispose maintenant de tous les vecteurs de pouvoir (…) mais malgré cela, (Israël) craint pour son futur en tant que pays non-arabe entouré par 400 millions d’Arabes », a déclaré Youssef ben Alaoui ben Abdallah.

« Je pense que nous, Arabes, devons être capables d’examiner cette question et essayer d’apaiser les craintes d’Israël à travers des initiatives et de vrais accords entre Israël et nous« , a affirmé le ministre omanais des Affaires étrangères lors d’un débat en marge du Forum économique mondial sur le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord, en Jordanie.

Israël n’a de relations diplomatiques qu’avec deux pays arabes, l’Egypte et la Jordanie, mais courtise depuis quelques mois les pays du Golfe qui partagent son inquiétude vis-à-vis de l’Iran, puissance régionale chiite et rival historique.

En février, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a rencontré M. ben Abdallah, quatre mois après s’être rendu à Mascate où il s’était entretenu avec le sultan Qabous.

La plupart des pays arabes ont historiquement fait du règlement de la question palestinienne la condition d’une normalisation avec Israël.

La suite de cet article ICI

La conférence sur le plan de paix américain vise à aider les Palestiniens, assure Bahreïn

AFP, mardi 21/05/2019 à 17:34

Bahreïn a assuré mardi que la conférence sur le plan de paix américain qui doit se tenir le mois prochain dans le royaume n’avait « pas d’autre objectif » que d’aider les Palestiniens, après que ceux-ci eurent déclaré ne pas avoir été consultés.

Intitulée « De la paix à la prospérité », la conférence « n’a pas d’autre objectif » que d’aider le peuple palestinien à « développer ses capacités et à accroître ses ressources », a assuré le chef de la diplomatie bahreïnie, Khaled ben Ahmed Al-Khalifa.

Le royaume de Bahreïn « continue de soutenir le peuple frère de Palestine concernant la restauration de ses droits légitimes sur son sol et la création d’un Etat indépendant avec Jérusalem-Est pour capitale », a-t-il affirmé dans un communiqué.

La Maison Blanche a annoncé dimanche qu’elle co-organiserait avec Manama une conférence les 25 et 26 juin sur les aspects économiques du très attendu plan de paix américain.

« Nous n’avons été informés par aucune partie de la réunion annoncée à Bahreïn », a réagi lundi Saëb Erakat, secrétaire général de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP).

« Nous n’avons mandaté aucune partie pour négocier en notre nom« , a-t-il ajouté.

LIRE L’ARTICLE EN ENTIER ICI