Le sujet étant toujours d’actualité, puisque révoilà le même problème qui se pose de nouveau, après un semblant de réparation qui s’apparente à un menu bricolage qui n’a duré que le temps d’un soupir de soulagement pour revenir à la case départ, à travers la même situation que nous avions relatée dans notre édition du 23 septembre dernier; et que nous reproduisons de nouveau dans son intégralité, pour une éventuelle prise en charge sérieuse du problème que subissent les citoyens qui vivent impuissants ce déni de salubrité publique. Parler de concours du meilleur quartier de la ville, dans des conditions pareilles, au vu et au su des autorités locales est tout simplement un acte contre nature. Un égout central obstrué, en plein milieu de la chaussée déverse des eaux nauséabondes, voilà plusieurs jours, entre la cité 150 logements Sonacome et les lotissements à Sidi Djilali tout près de la trémie et tenez- vous bien pas loin de quelques centaines de mètres du siège de l’ O.N.A. abréviation de l’Office National de l’Assainissement, de l’autre côté de la route d’Oran, sans que cela n’ interpelle aucun responsable. En somme un laisser -aller qui empoisonne la vie de centaines de citoyens, et particulièrement ceux de la cité des 144 logements Hanifi Bachir, située plus bas en aval et qui reçoivent par ruissellement toutes ces eaux usées aux odeurs pestilentielles, stagnantes au niveau de leur cité et qui représentent une pollution caractérisée , et un danger potentiel de cross connexion avec toutes ces fuites d’eau potable que l’ADE qui, elle aussi, ne se soucie guère de réparer.Cette situation favorisée par un ruissellement d’eaux usées sur plusieurs centaines de mètres en passant par des avaloirs obstrués faute d’entretien, et ce à la veille des grands orages d’automne. C’est à travers ce triste décor qu’évolue une population livrée à elle même dans l’insouciance totale des responsables sensés gérer les affaires de la ville, mais beaucoup plus préoccupés par leur confort personnel et des luttes de clocher. C’est peut -être là toute l’explication de ce mépris affiché des administrés envers l’administration qui ne répond pas du tout à leurs préoccupations toutes primaires, bien plus occupée à peindre des trottoirs aux couleurs bizarroïdes, alors que la ville est d’une saleté repoussante, où les ordures ont pignon sur rue . Un proverbe du terroir dit bien: « qu’il ne reste plus à cerner de khol les yeux aveugles » .C’est là, le fidèle message que les citoyens concernés nous ont chargé de transmettre à travers cet article.
Mais où est passé l’O.N.A. ? Faut-il écrire à l’ONU pour déboucher un égout ? (2ém partie)
One thought on “Mais où est passé l’O.N.A. ? Faut-il écrire à l’ONU pour déboucher un égout ? (2ém partie)”
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Vous avez le droit de garder le silence tous ce que vous revendiquer sera retenu contre vous ! La loi de la jungle on gère comme on veut et nous ferons ce qui nous plait quant à la population donnez nous la solution cela c’est passé à Oran Il nous faut BABES à S.B.A pour trouver où se cache le problème.On s’intéresse uniquement aux projets fructueux une fois pour le projet et dix fois pour le responsable .Sera t-elle la MISS cité il y a 5.000.000,00 Da EN JEU donc réparer ou décorer !où est passé la direction de L’ENVIRONEMORT.Ceux qui arrivent tard à table ne trouvent plus que les os.